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lundi 23 février 2015

Zadistes : voyous et casseurs .


 
 
Le 23/02/2015
 
Aux dernières informations, une dizaine de gugusses auraient été arrêtés. Demain, ils seront dehors, de nouveau dans leur « ZAD » à glander en touchant les aides sociales, tout en crachant sur notre société.
 
Les commerçants de Toulouse en ont assez, les habitants aussi, car depuis l’automne dernier, les manifestations de ces casseurs ne cessent pas.
Le préfet irresponsable les autorise à manifester et la fin est toujours la même : des CRS qui tentent tant bien que mal de défendre les citoyens mais sans faire ce qu’il faut, de peur des « bavures ».
Ce n’est pas à Toulouse qu’il y a une zone à défendre (ZAD) où il n’y a que des CAD (commerces à défendre).
Ces voyous inutiles et parasites sont installés dans le Tarn, sur des terrains agricoles où les propriétaires ne peuvent même plus se rendre.
Mais c’est bien à Toulouse qu’ils viennent tout casser.
Dans les champs, que voulez-vous, ils n’ont rien à faire, ils s’ennuient ferme, et surtout ils n’ont pas de vitrines à démolir.
C’est donc tout à fait officiellement, avec autorisation du préfet c’est-à-dire de l’État, qu’ils viennent le samedi dans la capitale régionale pour se défouler.
 Ils arrivent armés, bien entendu, et même en temps de Vigipirate « renforcé », personne ne leur dit rien.
 Essayez d’entrer dans un magasin avec une batte de baseball ou autre objet contendant, vous serez immédiatement refoulé.
 Là, rien, pas un policier ne bouge : « Ils ont l’ordre de ne rien faire. »
Vous pensez, ce sont des « manifestants » qui sont officiellement déclarés comme des « écologistes », des militants du parti anticapitaliste et autres mouvements comme les antifas, protégés par notre gouvernement.
C’est donc devenu habituel, et samedi dernier, les Toulousains ont encore eu la désagréable surprise de constater les dégradations.
 Les grenades lacrymogènes ne gênent que les promeneurs, les « autres » sont équipés.
 Aucune réaction de force de la part de la police ou presque : la peur de se retrouver au tribunal, sans doute.
Il n’y a pas si longtemps, la masse des Charlie embrassait notre police, la félicitant de son action pour nous protéger.
Samedi, à Toulouse, où étaient les Charlie, où étaient ceux qui veulent que notre police nous protège ?
Où était le ministre de l’Intérieur si prompt à se déplacer dans tous les cimetières qui ne sont pas catholiques (il paraîtrait que les cimetières catholiques, cela n’existe pas…), si prompt aussi à se déplacer si l’on soupçonne une mauvaise action qui serait de droite ?

La seule réaction fut celle du maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc qui, indigné, a publié un communiqué de presse pour expliquer qu’autoriser ces manifestations était irresponsable et que la ville ne paierait pas les dégradations.

 L’État s’en fiche.

 Il paiera, ou fera payer la ville autrement, et continuera à autoriser ces casseurs d’extrême gauche à sévir : c’est son électorat.

Aux dernières informations, une dizaine de gugusses auraient été arrêtés.

 Demain, ils seront dehors, de nouveau dans leur « ZAD » à glander en touchant les aides sociales, tout en crachant sur notre société.

 Ils ne craignent rien : Taubira veille !

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