Crédit : Thomas Prouteau
INFO RTL / REPLAY -
Paris, Lyon, Marseille et d'autres villes sont concernées par la prise de pouvoir d'imams radicaux dans certaines mosquées.
Mais le phénomène s'étend aussi aux villes moyennes.
Vitrolles, Alès ou Brest ont vu certaines mosquées passées sous la coupe de fondamentalistes.
À chaque fois, la stratégie est la même.
Un groupe de jeunes perturbateurs conteste l'imam en place, affirme la supériorité des versets les plus radicaux et finit par installer son prédicateur, parfois même à l'occasion de vacances.
Pas d'incitation directe au jihad
Depuis les attentats, les policiers spécialisés ont encore renforcé leur surveillance, déjà étroite.
Les appels au jihad ne sont jamais directs, cela serait illégal, mais les prêches poussent au radicalisme, estiment les renseignements.
À Marseille, la note relève par exemple des incitations à "quitter la terre des mécréants".
Aujourd'hui, vingt salles de prière supplémentaires seraient menacées.
Les policiers relèvent que dans certains cas, un simple signalement au commissariat suffit à éloigner les radicaux.
Les appels au jihad ne sont jamais directs, cela serait illégal, mais les prêches poussent au radicalisme, estiment les renseignements.
À Marseille, la note relève par exemple des incitations à "quitter la terre des mécréants".
Aujourd'hui, vingt salles de prière supplémentaires seraient menacées.
Les policiers relèvent que dans certains cas, un simple signalement au commissariat suffit à éloigner les radicaux.
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