Un jour viendra où les édentés se réveilleront et renverseront ce président indigne des fonctions qui lui ont été confiées. Le plus tôt sera le mieux.
Les historiens du futur se pencheront probablement avec délectation sur l’année 2014.
Tout part à vau-l’eau.
Les valeurs de la République, dont se paraient les socialistes, menacent de mourir et ils en sont, avec leurs prédécesseurs de « droite », les uniques responsables.
Confessions et révélations fracassantes s’enchaînent à un rythme effréné.
C’est à qui tirera le premier.
Avant-hier Arnaud Montebourg, hier Cécile Duflot et aujourd’hui Valérie Trierweiler.
L’amour adolescent du Président pour les actrices bourgeoises, plus jeunes et plus accortes que sa personne, n’est pas sans conséquences.
Il a réveillé une furie en la personne de son ancienne compagne.
Valérie Trierweiler s’est muée en la diablesse que décrivaient les Guignols de l’info. Humiliée, trompée, elle est rapidement passée de l’amour transi à la haine viscérale de ce bon François, qui sous l’apparente bonhomie cache une muflerie que n’égale que son mépris de classe.
François Mitterrand et ses amis appréciaient se moquer de ce plouc de Bérégovoy, mais Tonton ressemblait à Louis XI alors que le règne de son successeur s’apparente plutôt à celui de Louis XVI.
Dans « Merci pour ce moment », Valérie Trierweiler se défait de sa tenue d’ex-première concubine pour se parer des atours de la journaliste.
Elle a tout noté dans le plus grand secret, et s’étale complaisamment dans un livre inédit, mais dont les meilleurs passages ont été révélés dans la presse.
Ce livre ne restera probablement pas dans les annales pour sa qualité stylistique (je ne l’ai pas lu mais j’en prends le pari), pas plus que pour son propos qui n’est que la confession ridicule d’une femme cocufiée comme il en existe des millions.
Il est même révélateur de cette propension malsaine qu’ont les « people » de parler au bas peuple pour gagner quelques centaines de milliers d’euros et faire pleurer dans les chaumières avec une thérapie exhibitionniste à peu de frais.
Pourtant, ce bas morceau verbeux restera dans l’histoire pour les révélations qui y sont faites et comme témoignage d’une époque où la bassesse rivalise avec l’indécence.
Le pouvoir est faible, les équipes changeantes.
En manque d’incarnation, nos dirigeants ne tiennent aucun de leurs engagements mais observent fidèlement la règle de conduite imposée par Terra Nova : mépriser la France et les Français.
On n’est donc pas surpris que François Hollande, qui avait déclaré ne pas aimer les riches, n’aime pas non plus les pauvres.
Il n’a de respect que pour ses camarades de la promotion Voltaire et le milieu du spectacle, qu’il aime à fréquenter, de très près…
Pour lui, les Français de condition modeste sont des « sans-dents ».
Il oublie simplement de préciser qu’il est celui qui les arrache en compagnie d’Emmanuel Macron et de son camarade Michel Sapin.
Un jour viendra où les édentés se réveilleront et renverseront ce président indigne des fonctions qui lui ont été confiées.
Le plus tôt sera le mieux.
Tout part à vau-l’eau.
Les valeurs de la République, dont se paraient les socialistes, menacent de mourir et ils en sont, avec leurs prédécesseurs de « droite », les uniques responsables.
Confessions et révélations fracassantes s’enchaînent à un rythme effréné.
C’est à qui tirera le premier.
Avant-hier Arnaud Montebourg, hier Cécile Duflot et aujourd’hui Valérie Trierweiler.
L’amour adolescent du Président pour les actrices bourgeoises, plus jeunes et plus accortes que sa personne, n’est pas sans conséquences.
Il a réveillé une furie en la personne de son ancienne compagne.
Valérie Trierweiler s’est muée en la diablesse que décrivaient les Guignols de l’info. Humiliée, trompée, elle est rapidement passée de l’amour transi à la haine viscérale de ce bon François, qui sous l’apparente bonhomie cache une muflerie que n’égale que son mépris de classe.
François Mitterrand et ses amis appréciaient se moquer de ce plouc de Bérégovoy, mais Tonton ressemblait à Louis XI alors que le règne de son successeur s’apparente plutôt à celui de Louis XVI.
Dans « Merci pour ce moment », Valérie Trierweiler se défait de sa tenue d’ex-première concubine pour se parer des atours de la journaliste.
Elle a tout noté dans le plus grand secret, et s’étale complaisamment dans un livre inédit, mais dont les meilleurs passages ont été révélés dans la presse.
Ce livre ne restera probablement pas dans les annales pour sa qualité stylistique (je ne l’ai pas lu mais j’en prends le pari), pas plus que pour son propos qui n’est que la confession ridicule d’une femme cocufiée comme il en existe des millions.
Il est même révélateur de cette propension malsaine qu’ont les « people » de parler au bas peuple pour gagner quelques centaines de milliers d’euros et faire pleurer dans les chaumières avec une thérapie exhibitionniste à peu de frais.
Pourtant, ce bas morceau verbeux restera dans l’histoire pour les révélations qui y sont faites et comme témoignage d’une époque où la bassesse rivalise avec l’indécence.
Le pouvoir est faible, les équipes changeantes.
En manque d’incarnation, nos dirigeants ne tiennent aucun de leurs engagements mais observent fidèlement la règle de conduite imposée par Terra Nova : mépriser la France et les Français.
On n’est donc pas surpris que François Hollande, qui avait déclaré ne pas aimer les riches, n’aime pas non plus les pauvres.
Il n’a de respect que pour ses camarades de la promotion Voltaire et le milieu du spectacle, qu’il aime à fréquenter, de très près…
Pour lui, les Français de condition modeste sont des « sans-dents ».
Il oublie simplement de préciser qu’il est celui qui les arrache en compagnie d’Emmanuel Macron et de son camarade Michel Sapin.
Un jour viendra où les édentés se réveilleront et renverseront ce président indigne des fonctions qui lui ont été confiées.
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