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vendredi 17 mai 2013

Trocadéro : Valls et Batho ont financé les casseurs du PSG

 

valls-batho
 

Toujours partants pour promouvoir des bobards, les médias de l’oligarchie, et singulièrement Le Monde, ont mis en cause les « ultras » dans les violentes émeutes du Trocadéro. « Ultra », suivez mon regard et certaines photos, bon sang mais c’est bien sûr : c’est encore « l’extrême droite » !
Il n’en est évidemment rien. Les émeutiers, principalement d’origine africaine et maghrébine, venaient des banlieues de l’immigration.

Et ils n’étaient pas là par hasard mais par la politique conduite par le Parti socialiste.
Le PSG n’a pas toujours vécu de l’argent du Qatar. Du temps de Canal +, le PSG a été largement financé par les collectivités locales : Paris et la région Île-de-France.

Lorsque les socialistes ont conquis la région capitale en 1998, ils ont posé, pour prix de leur soutien, leurs conditions au PSG : épurer la tribune de Boulogne jugée trop accueillante aux jeunes Blancs, suspects de hooliganisme, et développer la « diversité ». Tout y est passé : conventions de plus en plus exigeantes, distribution de billets gratuits dans les banlieues de l’immigration, encouragement au développement de la tribune Auteuil dont les membres viennent de ces mêmes banlieues.

Succès complet de cette politique : la racaille a découvert le chemin du Parc des Princes (à son actif, de nombreuses violences et le meurtre d’un jeune Blanc en 2010). Et dans la foulée, la direction du Trocadéro : les supporters immigrés de la tribune Auteuil ayant amené avec eux les casseurs venus faire une razzia sur les beaux quartiers de Paris. Alléluia, le XVIe a découvert la « diversité ».

Deux ministres peuvent se féliciter de la réussite de cette politique : Manuel Valls, vice-président aux Finances de la région Île-de-France de 1998 à 2002 ; c’est lui qui a généreusement ouvert les cordons de la bourse pour financer l’arrivée des banlieues au PSG. Une politique menée de concert avec Julien Dray, en charge de la politique de la ville dont les dossiers de subventions étaient alors préparés par son assistante, une certaine… Delphine Batho.
Les vrais incendiaires du Trocadéro siègent au gouvernement !
Benjamin Blanchard, le 16 mai 2013

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