La France, ce pays où même les plus vils criminels trouvent des égards dignes d'un palace !
Prenez Salah Abdeslam, ce tristement célèbre terroriste des attaques de Paris, qui dispose d'une salle de sport rien que pour lui.
Ou Nordahl Lelandais, qui, dans le calme de sa cellule, a réussi l'exploit de devenir père depuis l'ombre de ses barreaux.
Oui, messieurs dame, dans nos prisons, certains semblent trouver la recette du bonheur familial, malgré les crimes effroyables qui les y ont conduits.
Il y a quelque chose de presque ironique, n'est-ce pas, dans le fait que nos politiques, trop effrayés par la division que pourrait engendrer une réforme radicale du système carcéral, choisissent le statu quo ?
Le système des partis politiques, ce merveilleux mécanisme de la "démocratie représentative", semble paralysé face aux enjeux de la justice et du traitement des prisonniers.
On en vient presque à se demander si ce n'est pas nous, citoyens, qui devrions reprendre les rênes de cette décision. Après tout, ce n'est pas tous les jours que l'on voit sur TikTok des influenceurs derrière les barreaux nous concocter des petits plats ou organiser des courses de kart en prison, n'est-ce pas ? Et tout cela, sous nos yeux, dans une société qui peine à décider du sort à réserver à ses pires déviants.
Si l'on peut, de nos jours, commettre des actes aussi horribles que dépecer et démembrer une enfant sans vraiment être puni – c'est-à-dire, sans vraiment souffrir de son confinement – ne devons-nous pas nous interroger sur le choix qui nous a été retiré ? Le choix de la sévérité, de la pénitence, de la justice qui fait vraiment « justice » ?
Ce dilemme, aussi vieux que la démocratie elle-même, soulève la question cruciale de notre capacité à gérer les extrêmes de notre société. Mais en attendant, les déviants vivent parmi nous, souvent mieux lotis que certains citoyens libres.
Ironie du sort ou échec du système ? La décision revient à la nation, au citoyen. Un choix difficile, mais oh combien nécessaire.
Les systèmes totalitaires (communisme, fascisme, national-socialisme) se sont toujours appuyé sur des criminels pour commettre leurs œuvres. Il n'est pas étonnant qu'au Frankistan les racailles soient laissées libre ou emprisonnés dans des conditions confortables. Seuls les honnêtes citoyens seront menacés, insultés, poursuivis. Ces systèmes marchent par la peur.
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