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mardi 30 avril 2024

Volonté et détermination payent toujours


 

Le Gouvernement anglais vient de gagner  sa partie de bras de fer avec la Haute Cour de Londres et la CEDH qui voulaient empêcher le premier ministre Rishi Sunak de mener son projet à terme. 

Celui de l’expulsion des clandestins déboutés du droit d’asile, vers le Rwanda. 

« Aucune Cour étrangère ne nous empêchera de faire décoller les avions. Et s’il faut choisir entre la sécurité de nos frontières et l’appartenance à une Juridiction étrangère, je donnerai la priorité à notre sécurité nationale ». Il faut un ministre non anglais d’origine qui seul, fasse respecter la législation anglaise.

C’est là un bel exemple donné aux pays européens, que quand on veut on peut. Une belle leçon aussi au freluquet de l’Elysée pour qui la submersion migratoire que nous subissons est inévitable, car marquée par le destin et qu’il faut faire avec. Une façon bien à lui de se dédouaner de toute responsabilité, alors qu’il est responsable depuis 2017 d’une augmentation sans précédent de l’entrée de milliers de bouches inutiles sur notre territoire.

Mais une question s’impose quand même. Combien faudra t-il de vols entre Londres et le Rwanda pour expulser l’ensemble des migrants, car avec les gangs pakistanais et d’autres nationalités importunes, ils sont des millions qui posent problème à la GB ? Chaque trajet coûte une petite fortune et chaque avion étant très limité en places, cela donne l’impression de vider la mer avec une petite cuillère. D’autant plus, que les entrées illégales sur le territoire britannique continuent par Calais et ailleurs. Peut être, le choix d’évacuations par bateaux entiers serait plus économique.

Mais comme il est impossible à l’Angleterre de chasser tous ses migrants. D’ailleurs est-ce son désir ? Son économie a besoin d’une certaine immigration choisie. Ces mesures prises récemment auront plus pour effet de dissuader toute arrivée non souhaitée, mais à quel prix ?

Il existerait un moyen plus radical encore de dissuasion. Le plus simple, mais le plus difficile à organiser, surtout en France où les divisions sont nombreuses sur le sujet de l’immigration. Pour cela, il suffirait de s’en prendre aux pompes aspirantes. Plus un sou pour les ONG pro-immigrationnistes ni pour les associations pro-immigrationnistes en décourageant tous les bénévoles par de fortes amendes et bien sûr, plus d’accès aux Caisses sociales : RSA, AME, CAF, ADA, ni à tout employeur potentiel d’embaucher un étranger extra-européen. Il faudrait que ces gens qui n’ont rien à faire chez nous partent d’eux-mêmes, parce que la France n’a plus rien à leur offrir ni les moyens et l’envie de les entretenir gratuitement pour qu’ils s’installent chez nous à vie. NO WAY… Or pour le moment, on fait exactement le contraire. En toute logique, ce serait plutôt au voyageur (le migrant) de payer pour son hébergement et pas à l’hôtelier (le pays d’accueil) de payer pour lui. Bien sur, ça chouinerait dans toute la gauche bien pensante, mais quand les chiens aboient la caravane passe.

Onyx

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