Brigitte & Jean-Michel sont dans un bateau
Jean-Michel saute à l’eau. Que reste-t-il ?
samedi 20 mai 2023, par
Je profite d’un voyage en Algérie en avril-mai 2023 pour ajouter cette contribution à ma « Chronique du #brigittegate » et à la rubrique Brigittologie en panne depuis un certain temps.
J’avais été l’un des premiers, voire le premier à part les enquêteurs Xavier Poussard & Natacha Rey, à penser que cette affaire pouvait nous débarrasser des Bonnie & Clyde du Macrovidistan.
Mais vite
dépassé par Alain Beyrand qui a fourni le colossal dossier Pressibus
avec son intuition de généalogiste et l’aide de nombreux citoyens, je
me suis désengagé de l’enquête pour me concentrer sur le volet
humoristique en créant & abondant le fil Telegram Perruques jaunes et la chaîne Youtube Coccyx Grue, le tout dans la veine française de la mazarinade : la brigolade, sœur aînée de la casserolade [1].
J’avais une autre raison de me désengager de l’enquête : c’est que je
ne suis pas encore retraité, et que je n’ai pas trop envie de subir la
même mésaventure que René Chiche,
être suspendu de travail & salaire par la Makrommandantur. Tout
cela pour ne faire que relayer ce qui est écrit noir sur blanc dans
Wikipédia, à savoir que la détourneuse de mineur de l’Élysée aurait pu
écoper de la prison. [2]
Constatant que 3 ans après le début de la tyrannie nationale-covidiste,
la majorité de nos concitoyens, voire compatriotes, ont ENFIN compris
en quoi consistait la macronie, nous pouvons à nouveau tenter de
convaincre la proportion des réveillés juste de prendre connaissance du
dossier, afin de se faire leur propre opinion. Inutile de compter sur l’« Opposition contrôlée »
, qui soutient à fond l’omerta sur l’affaire. Je vais éviter de trop me
répéter, pour passer à la partie algérienne du dossier qui à elle seule
– pour peu que l’on daigne juste ouvrir les yeux – suffit à mettre plus
que la puce à l’oreille des plus complotosceptiques !
Je crois que nous avons plus de chances de les réveiller sur ce point
obscur du macronistan qu’avec l’arnaque covidiste. En effet, avec toutes
les couleuvres vipérines que nos amis mougeons ont avalées avec plus ou
moins de consentement, on est confrontés à une amnésie post-traumatique
comme en cas de viol. Il faudra dans certains cas graves des années
avant que nos amis comprennent et acceptent de reconnaître qu’ils se
sont fait violer ; d’autant plus que vu l’état du monde il y a autant de
chances que ces criminels reconnaissent leur acte que le gouvernement
turc reconnaisse le génocide arménien. Un crime d’État ne peut être reconnu et condamné que lorsque les assassins ne sont plus au pouvoir ; c’est aussi bête que ça.
Bref, l’objectif de cet article est double : d’une part relancer
l’intérêt pour le #brigittegate auprès de nos amis en phase de réveil ;
d’autre part solliciter des témoignages de toutes personnes qui
pourraient éclairer notre lanterne sur le volet algérien de l’enquête.
En effet, comme me l’a prouvé mon récent voyage, le nombre de
pieds-noirs ou autres personnes susceptibles d’avoir des souvenirs
précis de cette période, y compris de personnes qui auraient pu croiser
Jean-Michel Trogneux à Alger dans les années 1961-1963 est important.
Sans oublier ceux qui l’auraient connu lors de son service militaire,
période qui semble blanche dans notre enquête.
Né en 1945, Jean-Michel Trogneux est âgé de 78 ans. Si l’on en croit la
légende de la presse macroniste, il ne vivrait pas en Ehpad, mais en
reclus dans une HLM amiénoise, car il n’a pas pu se remettre de
l’indignité d’être devenu le beau-frère d’un président de république
virtuose de la batterie de casseroles, et pour rien au monde il ne
sortirait de son gourbi pour faire cesser le terrible harcèlement
« transphobe » dont sa petite sœur est victime depuis deux ans, alors
même que s’il se présentait juste une fois au bras de ladite petite
sœur, ledit harcèlement cesserait en un clin d’œil ! Mais ne le dites
pas trop fort, il y a des gens qui croient cette fable !
Pour avoir enquêté pendant des années lors de l’écriture de mon roman M&mnoux auprès de personnes âgées de 70 à 102 ans, je sais pertinemment que d’une part leur mémoire est d’une grande acuité, soutenue par des archives papier sans doute mieux organisées que nos disques durs, d’autre part étant retraitées, ces personnes sont disponibles & flattées qu’on accorde de l’intérêt à leur témoignage. Je lance donc un appel aux lecteurs du présent article qui auraient parmi leurs relations des personnes susceptibles d’avoir connu dans les années 1961-1963 un jeune homme né en 1945 en France, ayant séjourné à Alger, y ayant fréquenté l’école Notre-Dame d’Afrique, voire Saint-Joseph. Les photos & les noms devraient mettre en branle l’usine à souvenirs d’un certain nombre de personnes, et sait-on jamais si l’on en tirera des informations utiles…
Prologue. À propos de « harcèlement transphobe »
L’histoire de Chibritte aurait pu nous émouvoir & attendrir comme celle d’Amanda Lear. Iel est né, à l’instar de Chibritte, en 1939 selon les manifestants, en 1950 selon la police. Iel aurait officié dans la Paris interlope sous le nom de Peki d’Oslo, et on se demande bien pourquoi l’Élysée agite de méchants mots comme « transphobie » pour cacher quelque chose de si naturel. On remarque dans le documentaire d’Arte ci-dessous Appelez-moi Mademoiselle (2022) dont nous avons repris des extraits dans la brève vidéo ci-dessus, que plusieurs journalistes posent clairement la question « Êtes-vous née homme ? » Pour Amanda Lear, « Êtes-vous née femme ? » = bon journalisme. Pour Brigitte Macron, « Êtes-vous née femme ? » = Odieuz rühmer transföb ! Le plus vindicatif qui va jusqu’à lui citer des « faits & documents » (à la minute 47) n’est autre que… Marc-Olivier Fogiel, un des grands potes LGBT du couple présidentiel dont on peut se demander s’il aura un jour les couilles de poser les mêmes questions « transphobes » à son vieille copine Chibritte. N’est-ce pas amusant cette « transphobie » à géométrie variable des lécheurs d’anus des médias de la caste ?
Chibritte à Alger : un tournedos Rossini !
Il est sans doute pénible pour la confrérie des chasseurs de complotistes que Chibritte elle-même ait maladroitement vendu la mèche. En effet, un article daté du 1er décembre 2017 nous apprenait que « Brigitte macron visitera la fac centrale d’Alger, où elle aurait des souvenirs », or hélas, mille fois hélas, la visite fut annulée selon un article daté du 11 décembre de la même année ! Avec une précision dans L’Expression, dont je cite cette phrase : « Impossible, pour le moment, de trouver dans la biographie officielle de Brigitte Macron, des traces de ces « souvenirs » ».
Cela se passait au début du premier mandat de Choupinet qui avait des
raisons de se rendre en Algérie histoire de régler ses dettes, alors
qu’il s’y était déjà rendu pendant sa campagne. Voir à ce sujet le
documentaire « Macron l’Algérien » de Martin Scorsese, pardon, de Off investigation ! Très bizarrement, un livre intitulé France-Algérie – 50 Ans d’histoires secrètes,
Tome 2 (1992-2017), Fayard, 2019, reprend l’anecdote mais en inventant
une histoire capillotractée de « une de ses grandes-tantes ». On nous
prend vraiment pour des cons ! « Ce 5 décembre 2017, l’événement est
passé inaperçu pour les médias de l’Hexagone, tous focalisés sur la mort
du « héros français » Johnny Hallyday. Pourtant Emmanuel Macron était
attendu là-bas comme un ami, après qu’il a qualifié la colonisation de
crime contre l’humanité. Il estime, maintenant président de la
République, ne plus vouloir revenir sur ce passé houleux.
S’ensuivent des déclarations, une rencontre entre présidents et surtout,
pour le bonheur des étudiants algérois, une faculté centrale totalement
repeinte en blanc. En effet, Brigitte Macron, qui devait accompagner
son époux en Algérie, avait émis le souhait de visiter l’université de
la capitale, où une de ses grandes-tantes avait étudié. Très
certainement pour des raisons d’agenda, la Première dame de France a
tout simplement annulé sa visite » (p. 226). Tu parles, Charles !
N’est-il pas stupéfiant, alors même que ces deux enfants de la bonne
bourgeoisie amiénoise ont choisi pour gérer leur image un repris de
justice aux méthodes de barbouze (Mimi Marchand), que Chibritte & le collégien qu’elle détourna aient commis une telle bourde mémorielle ? [3]
Comment une personne née à Amiens en 1953 et censée être devenue
professeur de Lettres dans des écoles privées huppées en France
pourrait-elle avoir « des souvenirs » à la fac centrale d’Alger ? En
général on fréquente une faculté entre 18 et 22 ans. Les innombrables
biographes officiels & autres agitateurs de faits (fact-shakers)
auraient-ils connaissance d’un quelconque séjour de dame Chibritte à
Alger aux alentours de 1971-75 ? C’était tellement chic à l’époque
d’émigrer en Algérie pour un étudiant en Lettres de la bourgeoisie
amiénoise ! Si le dossier abracadabrantesque de l’affaire vous donne la
migraine, ne soyez pas étonnés : on est dans la même veine que l’opéra
bouffe que Rossini écrivit à l’âge de 20 ans, L’Italienne à Alger (1813). Je dirais même plus : L’Arlésienne à Alger ! L’épisode de la visite de 2017 se termina justement par une scène bouffonne relayée par ce site satirique : « le
président Bouteflika a commis l’irréparable, car au moment de l’entrée
de Macron et de son épouse au palais il a fait un effort surhumain pour
adresser quelques mots de bienvenue « bienvenue à toi et à ta maman chez
nous », heureusement que Saïd était juste derrière et s’est précipité
pour rectifier le tir en souhaitant à son tour la bienvenue à la
première vieille-dame de France, Brigitte.
De toute façon Brigitte Macron n’avait pas l’air très gênée par cet
accueil, vu le nombre de marchés que son époux va signer en Algérie,
Bouteflika peut même la traiter de grand-mère s’il veut, pour elle tout
ceci n’est que poudre de perlimpinpin. »
Jean-Michel Trogneux, L’Arlésienne à Alger.
Il est plus vraisemblable que Jean-Michel Trogneux (né en 1945) ait séjourné à Alger entre 1961 et 1963 (dates approximatives selon l’enquête Pressibus). C’est un document exhumé par Morad El Hattab, confirmé par Xavier Poussard, et qui n’a jamais été démenti par qui que ce soit, qui atteste au moins de la présence à Alger de ce garçon qualifié de « confiseur » à la date de son recensement militaire, le lendemain de ses 18 ans, le mardi 12 février 1963.
Alors quand même ce séjour fait question pour deux raisons, et c’est pourquoi les éclaircissements de nos lecteurs sont attendus.
« Jean-Michel & Brigitte Trogneux à Alger », par Morad El Hattab.
Pourquoi un garçon né en France part-il brusquement sans ses parents en Algérie alors que la guerre y touche à sa fin ? Ma mère m’a raconté pour M&mnoux à quel point elle était inquiète de la situation de mon père pendant la guerre, mais surtout lors du Putsch des généraux (avril 1961), car les communications étaient coupées. Imaginons cette famille bourgeoise si unie (voir la fameuse photo au lampadaire) qui expatrie son rejeton de 17 ans (Il venait d’avoir 17 ans) sous les bombes exotiques d’Alger. Certes, Jean-Mich avait raté l’Attentat du Milk-Bar, mais il pouvait obtenir sa palme de martyr à la session de rattrapage. Quelle excitation pour ses parents et sa fratrie lors de la Fusillade de la rue d’Isly (16 mars 1962) qui fit 50 morts sur ce Boul’Mich d’Alger où Jean-Mich aurait pu baguenauder. A-t-il survécu ? Gagné ! Enfin Jean-Michel aura pu prendre des photos lors des Massacres de harkis (entre 60 000 et 150 000 morts en 1962). En mai 1962, si Jean-Mich draguait le docker il aurait pu assister à l’Attentat du port d’Alger. On peut se demander pour terminer si au bas du boulevard Camille Saint-Saëns où il résidait, Jean-Mich aurait pu assister le 7 juin 1962 à l’Attentat de l’université d’Alger, la même université où Chibritte aurait eu de si étonnants souvenirs ? Le dossier Pressibus nous a appris que Jean-Mich avait peut-être un grand copain à Alger, Jean-Louis Auzière (ce n’est qu’une hypothèse) – qui jouerait subséquemment un rôle dans la biographie de Chibritte – dont le père Marius Auzière, avait été « officier interprète et du chiffre », et qui l’était peut-être lui-même, enfin autant qu’on peut l’être si jeune. Alors les amis, comme vous n’êtes pas du tout complotistes, vous gobez que cette famille bourgeoise trouvait tellement sympa que son rejeton de 17 ans reste jusqu’en 1963 tout seul à Alger à touiller ses confiseries, et quelques années après ait envoyé sa sœurette à la fac d’Alger histoire de consulter les quelques ouvrages de la bibliothèque qui n’avaient pas été détruits pendant l’attentat de juin 62…
Morad El Hattab se trompe dans son entrevue avec Amandine Roy en répétant que « Jean-Michel et sa sœur auraient étudié en même temps à Alger ». Ce n’est assurément pas en même temps
car ils sont censés avoir 8 ans de différence et Chibritte n’a pas
parlé de souvenirs dans une école primaire, mais à la fac ! Il nous faut
donc imaginer qu’une famille de la bourgeoisie picarde qui est tout
sauf pied-noire aurait envoyé en Algérie à cette époque dangereuse
successivement un garçon de 16 ans puis une fille à un âge qu’on ignore,
et pour quoi faire donc ? Je croyais naïvement que tous les pieds-noirs
(et les Français natifs de France vivant en Algérie sans oublier les
harkis ni les juifs pieds-noirs) avaient fait « La Valise ou le Cercueil »
selon l’expression consacrée en 24 h et avaient quitté l’Algérie entre
mars et décembre 1962. Or il faut bien croire que non si l’on en croit
l’histoire pour le moins abracadabrantesque de Jean-Michel Trogneux !
L’article Exode des pieds-noirs nous apprend que « fin 1962, il reste environ 200 000 pieds-noirs en Algérie, qui gardent l’espoir de continuer à y vivre ».
La présence persistante de ce jeune homme de 18 ans dont les parents
semblent ne pas se préoccuper du sort n’est donc pas totalement
aberrante, et les écoles françaises continuent à fonctionner pendant
quelques années. Pas jusqu’à trouver plausible qu’une Brigitte Trogneux
née en 1953 aurait pu fréquenter la fac d’Alger à l’âge de 18 ans, soit
vers 1971 ! Ou alors nous sommes preneurs de témoignages allant en ce
sens !
En effet, tout dans l’habitus de la famille Trogneux et de la très
sélect Brigitte qui deviendrait enseignante dans les écoles privées les
plus chic de la haute bourgeoisie française, nous éloigne du profil
gauchiste de ceux qu’on appelle pieds-rouges
(mot utilisé par Morad El Hattab). Alors par quel étrange concours de
circonstances Brigitte Trogneux aurait-elle étudié à la fac d’Alger au
début des années 70 ? Nul doute que celui que François Belliot a
qualifié d’« agent israélien » et d’« imposteur » dans L’Anti-conspirationnisme mis à nu à travers l’imposture Rudy Reichstadt va nous trouver la raison évidente ! [4].
Je peux mentionner ici le témoignage d’une octogénaire pied-noire qui
faisait partie de mon groupe touristique. Elle avait 20 ans quand elle a
quitté l’Algérie en 62, mais sa mère, qui était à 2 ans de la retraite,
avait accepté une proposition de rester à la Poste pour former son
successeur, laissant partir sa fille, à l’opposé des parents bourgeois
de Jean-Michel qui l’envoyèrent seul dans un pays que tout le monde
fuyait en catastrophe !
Trois hypothèses sur l’envoi incompréhensible de JMT à Alger
Plus raisonnablement, on peut émettre plusieurs hypothèses (qui ne sont pas forcément exclusives l’une de l’autre). J’en propose trois pour lesquelles je n’ai aucune préférence, mais je compte sur les lecteurs pour en proposer d’autres.
1. Formation d’un jeune agent de renseignement diligenté par sa famille
pour que sa présence soit moins repérable qu’un agent adulte. Morad El
Hattab a exprimé l’hypothèse dans cette vidéo du 15 mars 2023, que
macron aurait été « traité par la CIA » ; mais vu le nid d’espions qu’il
y avait en Algérie et dans le Maghreb à l’époque, on pourrait penser à
d’autres officines que la CIA :
« Emmanuel Macron & son conjoint », par Morad El Hattab. Extrait n°2/2
2. La famille avait des raisons d’éloigner ce garçon, voire de le punir en l’envoyant risquer sa vie. Je vous propose un parallèle avec un aspect peu connu de la biographie de Charles Baudelaire évoqué dans cet article : ce serait un épisode d’amitiés particulières qui aurait poussé le beau-père du poète à l’envoyer en bateau à Calcutta, moyennant quoi Baudelaire échappa à un naufrage et rentra en France sans voir l’Inde. Pourquoi ne pas imaginer un scandale dans une école privée de la bourgeoisie amiénoise, qui aurait nécessité d’éloigner & punir le coupable ? Le crime de détournement de mineur dont s’est rendu coupable Brigitte Macron auprès de son élève Emmanuel dans les années 1990, n’est peut-être que la réitération et une vengeance d’un drame de l’adolescence injuste & démesurément puni.
3. Variante bienveillante du 2. On a parlé de l’amitié ancienne entre Brigitte et Michou. Iel a assisté à ses obsèques en compagnie de « son
neveu, Jean-Alexandre Trogneux, propriétaire de la chocolaterie
familiale Jean-Trogneux à Amiens et très proche du défunt cabarettiste,
également natif de la ville picarde ». L’article nous apprend que
Chibritte aurait fait connaissance avec son « pays » Michou aux obsèques
d’Aznavour. J’émets donc une hypothèse. On sait que « Le 13 juillet 1956, Michou reprend le bar « Chez Madame Untel », au 80 rue des Martyrs Paris 18e »,
qui deviendra en 1960 le fameux cabaret transformiste. On est dans une
époque d’effervescence du monde transgenre. C’est au Maroc, à proximité
d’Alger, que « Le Docteur Burou
[…] fit de Casablanca la capitale mondiale du changement de sexe ».
« En 1956, il franchit un pas de plus et effectue sa première opération
de transsexuels ».
L’actrice Coccinelle est la première Française à sauter le pas à Casablanca en 1956, suivie par Bambi, native des Issers en Algérie. J’ai déjà expliqué au début de mon intérêt pour l’affaire (dans cet article « Brigitte Macron : « Et si c’était un homme ? »)
que je ne suis pas du tout mu par une quelconque transphobie, au
contraire je suis transphile ! Le narratif (qui n’est donc qu’une
hypothèse parmi d’autres) d’une famille bourgeoise mais tolérante qui
aurait compris le secret de son enfant et compati avec son
identification morbide à sa petite sœur Brigitte, a de quoi me séduire.
Cette petite sœur serait née en 1953 et morte en 1961 selon l’une des
hypothèses du dossier Pressibus (« Le décès de cette sœur cadette en
1961 a donc profondément marqué l’adolescent Jean-Michel, au point qu’il
voudra, plus tard, la réincarner… »), sa mort n’aurait pas été
déclarée, et Jean-Michel aurait été envoyé en Algérie pour cacher la
mort de cette sœur puis, de nombreuses années plus tard, la réincarner
tout en disparaissant à son tour.
La France était bien à la traîne en chirurgie de « réassignation
sexuelle » ; la première opération y aurait eu lieu en 1979, et le
spécialiste actuel est évoqué dans cet article : « Ce médecin a fait de Lyon la capitale française du changement de sexe ».
Est-il imaginable que les parents Trogneux soient allés assister au
spectacle de Michou, qui ne devait pas manquer d’être honoré par la
presse locale ? Qu’ils en aient parlé à leur garçon qui aimait
s’habiller en fille (je ne fais que des hypothèses), voire qu’ils aient
rencontré Michou lors d’une sauterie amiénoise ? Que du coup ils aient
vu d’un œil bienveillant toute cette effervescence transgenre, laissé
traîner à la maison des magazines traitant de la question, et que
Michou, ou Coccinelle, ou Bambi, soient devenus des modèles pour
Jean-Michel ?
Tintin à Alger sur les traces de Jean-Brichel
Je me suis échappé de mon groupe touristique à Alger pour me rendre aux deux adresses du même boulevard Saint-Saëns où Jean-Michel Trogneux aurait traîné ses guêtres (actuel Boulevard Mohamed V). Il s’agit de l’ externat Notre-Dame d’Afrique, au numéro 24, et de l’« Hôtel pension, location toute durée » au n° 87. C’était à 10 minutes de mon hôtel.
Voici les photos, que vous avez en plus grand ici.
Les numéros n’ont pas été décalés, on retrouve bien l’école au 24 et
l’immeuble au 87, avec deux numéros de rue 87, ce qui semble prouver que
la numérotation est ancienne. De façon générale, malgré tout le baratin
wokiste & les déclarations opportunistes sur les horreurs de la
colonisation, on est surpris de constater à quel point l’Algérie n’a
jeté ni le bébé de la colonisation, ni l’eau du bain. L’école est
toujours une école, mais arabe ; on distingue l’entrée au-dessus des
marches à travers une grille. La rue est en pente et serpente entre les
immeubles, comme tout Alger. Ça monte du 24 au 87, il y en a pour 5
minutes. J’ai pris des photos du hall du n° 87, l’ascenseur et les
boites à lettres. Il ne faut pas se laisser impressionner par le côté
décati. L’État restaure certains immeubles, et les gens attendent après
ça, ils laissent tout se dégrader car ils ne veulent pas payer
eux-mêmes. On peut supposer que la nouvelle que notre bien aimée
Première dame a vécu au 87 donnera l’espoir aux résidents de cet
immeuble qui tombe en ruine de voir rénover leur logement au frais de la
princesse (je pense qu’Ursula serait prête à débloquer 72 milliards
pour rénover un immeuble où notre Première dame a vécu) ! J’imagine déjà
la pétition ! Une plaque elle aussi détériorée posée à l’entrée de
l’immeuble indique que « L’Algérienne de gestion des autoroutes » (Algérienne des autoroutes), partie du « Ministère des Travaux Publics », a ou plutôt avait ses bureaux à cette adresse.
J’ai parlé à un type qui était assis en face du 87, et qui avait tout
pour être un flic, car ils sont omniprésents en Algérie, mais qui
prétendait habiter le quartier depuis Cro-Magnon. Il m’a dit que
l’immeuble du n° 87 avait été fermé pendant 20 ans après l’indépendance,
sauf un appartement cossu au 4e étage. Puis il avait été squatté. Sur
la visite annulée de Macron & Chibritte à l’université d’Alger (qui
est toujours en bas de la rue, mais que je n’ai pas photographiée) il a
dit que c’était par peur des mouvements sociaux que ça avait été annulé.
Tu parles ! À noter que le Boulevard Mohamed V débouche en haut sur le
fameux Aérohabitat,
un grand immeuble construit entre 1952 et 1955 dans l’esprit Le
Corbusier qui était en service à l’époque où Jean-Mich faisait le
trottoir de ce boulevard qui serpente en fait sur les lignes de crête et
n’a aucune raison de s’appeler « boulevard », sauf en référence au sens
étymologique et ancien du mot, du vieux néerlandais bolwerk (« digue, bastion, rempart »). Ce monsieur avec qui j’ai discuté, en plus de son métier potentiel de flic et de vieux sur un banc, percevait les droits pour les escaliers roulants installés en 1960
pour relier le boulevard Saint-Saëns à la rue Michelet, qui se trouvent
pile-poil en face de l’immeuble où habitait Jean-Michel ! Ils
fonctionnent toujours 60 ans après (les horreurs de la colonisation !)
Tout près de là se trouve la magnifique Cathédrale du Sacré-Cœur d’Alger,
consacrée en 1962, donc toute fraîche de décoffrage à l’époque du
séjour algérois de Jean-Michel. Je ne sais pas vous mais moi, si j’avais
été présent à ce moment-là, surtout si j’avais été une jeune fille bien
sous tous rapports de la bourgeoisie amiénoise catho, c’est plutôt à la
cathédrale qu’à la fac que j’aurais « des souvenirs »…
En quête de témoignages sur les condisciples de Jean-Michel
Le dossier Pressibus évoque deux établissements différents qu’aurait pu fréquenter Jean-Michel Trogneux. Il y a pléthore d’informations et je n’ai pas le temps de tout explorer, ce pourquoi j’en appelle à la collaboration d’enquêteurs bénévoles.
1. L’externat collège-lycée Notre-Dame d’Afrique, celui qui existe encore sous un avatar arabe et que j’ai pris en photo au 24 boulevard Mohamed V (ex Camille Saint-Saëns). Le CDHA (Centre de Documentation Historique sur l’Algérie) propose cette page dont il ressort que le collège a perduré jusqu’en 1969 et même au-delà sous un avatar arabe (mais les Algériens continuent à utiliser les anciens noms, que ce soit pour les noms de rue ou les écoles). On trouve de nombreuses photos de classe sur le site alger-roi, mais rien au-delà de 1957, et semble-t-il sur le site vitaminedz.com. Encore plus intéressant, la page de Copains d’avant consacrée à Notre-Dame d’Afrique. Un travail d’enquête de fourmi consisterait à tenter de contacter les quelques personnes mentionnées sur le site pour solliciter leur mémoire sur Jean-Michel Trogneux (voire sur Brigitte à supposer qu’il s’agisse de deux personnes différentes !)
2. Le pensionnat Saint-Joseph à El-Biar dont vous trouverez l’histoire sur cette page, qui ne semble pas être dans la ville d’Alger même mais dans le 7e arrondissement du grand Alger si l’on consulte cette page et celle-ci. La vidéo nostalgique est sur Youtube, et l’on pourrait s’adresser aux personnes qui y ont posté des commentaires.
En ce qui concerne cet établissement évoqué dans le dossier Pressibus,
même si je n’ai pas bien compris exactement lequel Jean-Michel aurait
effectivement fréquenté avec ses copains, voici une « photo de 1960/1961, Classe de Troisième, remerciement à André Salette ». Je relève sur Copains d’avant la fiche d’un homme né en 1952
qui aurait été scolarisé entre 1962 et 1969 en Algérie dans cette
école. Aurait-il des souvenirs éclairants pour nous ? Au risque de me
répéter, si des lecteurs veulent nous permettre de retrouver ce
malheureux déclassé nommé Jean-Michel Trogneux, ils pourraient tenter de
joindre les anciens des établissements qu’il fréquenta dans sa jeunesse
en Algérie, à partir par exemple de ces annuaires d’anciens élèves, ou
proposer aux administrateurs de le faire eux-mêmes.
Retour au fond du dossier
Après ce point sur un des multiples aspects problématiques du
dossier, j’espère que vous êtes convaincu qu’il n’y a pas « rien à
voir ». Je vous suggère de vous faire imprimer voire relier le PDF du dossier Pressibus, pour un meilleur confort de lecture, et si vous en avez les moyens, de vous procurer les 7 numéros de Faits & Documents.
J’en profite pour préciser mon avis en fin d’article, avis qui se
trouvera peut-être confirmé ci-dessous par les commentaires sentencieux
des Je sais tout en charentaises. Il est bien évident que ce dossier
gêne la macronie et qu’elle se défend de la façon la plus déloyale
possible. Autant que j’ai pu le comprendre, les ripostes simples &
franches ont été écartées, ce qui constitue le plus évident aveu pour
nous les brigittologues. Elles auraient consisté par exemple :
à demander à la famille Trogneux
élargie, les trois enfants de Brigitte, ses frères & sœurs
survivants, neveux & nièces, ainsi qu’à la maman de Manu qui se
targue d’être une trrrrèèès vieille amie de Brigitte, de fouiller dans
leurs albums de famille et d’en tirer une photo de Brigitte jeune,
enceinte, avec ses enfants en bas âge, que sais-je, allaitante ! (sans
parler des photos de Manu enfant en compagnie de ses parents aimants).
Ils auraient fourni l’une de ces photos que la reprise de justice Mimi
Marchand se serait empressée de publier dans Paris Match ou l’un
ou l’autre des magazines qu’elle abreuve de publireportages sur les
Bonnie & Clyde de l’Élysée. Mais non, pas une seule photo qui
pourrait prouver quoi que ce soit. Pas non plus la moindre photo de ce
séjour à la fac d’Alger à cette époque d’apogée de Kodak, pas plus que
du prétendu séjour à New York en 1969 !
à porter plainte en diffamation contre Faits & Documents et non en « droit à l’image » & « atteinte à la vie privée » contre Natacha Rey & Amandine Roy…
à organiser une conférence de presse sur le sujet.
à sortir Jean-Michel de sa
claustration de déclassé pour assister aux côtés de sa sœur à un
enterrement ou un mariage et en profiter pour prendre une photo qui
aurait mis fin en un clic à nos élucubrations « complotistes ».
Au lieu de cela, la stratégie consiste d’une part à faire publier par
la presse subventionnée à la solde de macron des truellées de papiers
ridicules avec les mots « odieuse rumeur » ou « transphobe »
en bandeau, d’autre part à payer des journalistes de seconde zone pour
allumer des contre-feux avec des documents plus ou moins convaincants
sur un aspect secondaire de l’affaire. La macronie use en cela de trois
procédés bien établis par Xavier Poussard ou François Belliot en matière
de soi-disant complotisme : ne jamais argumenter sur le fond, et
toujours mettre en avant un aspect ultra-secondaire & risible pour
disqualifier l’ensemble du dossier, et user enfin du théorème de Pasqua (« Quand
on est emmerdé par une affaire, il faut susciter une affaire dans
l’affaire, et si nécessaire une autre affaire dans l’affaire de
l’affaire, jusqu’à ce que personne n’y comprenne plus rien »).
J’ajouterai un 4e procédé qui est un trollage à géométrie variable. Aux
trolls disqualifiants, on adjoint des trolls qui détournent l’attention,
lesquels sont de deux catégories. Première catégorie : toujours ramener
l’attention uniquement sur Natacha & Amandine, le plus souvent
appelées « Deux femmes » ou « une voyante et une enquêtrice
auto-proclamée » (contrairement à Rudy, un enquêteur diplômé en
complotologie qui s’est vu remettre le prix Albert Londres et le prix
Footage De Goel (grand reporter flamand) !) Le but est de ne jamais
nommer Faits & Documents ou Pressibus, de façon à concentrer
l’attention sur l’aspect « transphobie » et éviter que l’aspect
usurpation d’identité, faux & usage de faux, détournement de mineur
voire espionnage soient évoqués. Stratégie facilitée par l’abondance
d’idiots utiles qui sautent à pieds joints sur cette transphobie qu’on
leur offre pour pas cher, tant il est vrai que le citoyen de base a
toujours besoin d’une catégorie de personnes à haïr. Cela l’aide à
vivre. Les discussions de Profession gendarme ou des chaînes Youtube
complotistes sont ainsi truffés de commentaires « transphobes » qui s’en
donnent à cœur joie sur les « LGBT », pain bénit pour les
anti-complotistes en quête de ce genre de saillies diabolisantes,
d’autant plus que là, ils n’ont même pas besoin de payer des trolls.
C’est un effet collatéral de l’affaire Chibritte, malheureusement, que
d’avoir développé une véritable « transphobie » dont souffriront par
ricochet peut-être de braves personnes trans qui n’ont vraiment rien à
voir avec les trans de plateaux-télé comme ceux que Chibritte et son
ancien collégien invitent à l’Élysée (voyez cet article).
Deuxième catégorie : les prétendus enquêteurs qui proposent de fausses
pistes ridicules pour décrédibiliser l’enquête, ou nous ramènent encore
et toujours sur des hypothèses soit nulles et non avenues soit écartées
depuis belle lurette (la photo de la gay pride, la mort d’Isabelle
Ferreira, l’abat-jour, j’en passe et des meilleures de crainte de
réactiver le feu éteint !) Nous avons l’habitude de nous faire engueuler
par des truellées d’abrutis en charentaises qui sous prétexte qu’on
sacrifie les trois-quarts de notre temps libre à ce genre d’enquête (car
en ce qui nous concerne, la maison brûle et nous ne regardons pas
Netflix !) estiment que nous devons sacrifier le peu qui reste à
répondre à leurs sommations ! Depuis que j’ai inclus dans cet article le
documentaire d’Arte sur Amanda Lear, je suis étonné par le nombre de
commentaires élogieux du type : « Oui mais Amanda, c’est une trans
réussie, et quelle belle personne », etc. Quand on a un gouvernement et
un président qui ne cessent de prôner la propagande LGBT, jusqu’à
presque obliger des enfants en bas-âge à pratiquer le « coming out »
transgenre, n’est-il pas honteux qu’un.e soi-disant.e « première dame »
s’offusque qu’on la débusque, et considère qu’être qualifiée de
transsexuelle soit une offense ! Et si c’était le fait de s’en offusquer
qui au contraire serait transphobe ? En tout cas, concrètement, les
dégâts sont palpables : en proposant à la France et au monde ce
pitoyable spectacle de vieux travelo qui a honte de lui-même, c’est
Chibritte qui engendre la transphobie. Ne ferait-iel pas mieux de
s’inspirer de l’attitude cent fois plus digne d’Amanda qui proclame que
jamais elle ne porterait plainte (44’30) ?
Bientôt le coming out ?
J’ai fini par me dire que Mike Borowski avait raison quand il a lancé en plaisantant il y a quelques semaines (c’était un message sur son fil Telegram ; je ne peux donc pas le retrouver) que la salve concertée de coming out [5], de Pif-gadgetteries et de publications érotico-pornographiques de ministres-branquignols de la macronie à laquelle nous avons eu droit en l’espace d’un mois (et encore, on nous garde sous le coude la nouvelle du concubinage d’Attal & Véran connue des lecteurs de Faits & Documents) aurait pour véritable objet de préparer le coming out ultime de Chibritte, qui devrait couronner cette grande brigolade qu’aura été la macronie. En effet, si l’on y pense, pour quelle raison au fond avoir choisi comme unique stratégie de dénoncer une « rumeur transphobe » si ce n’est pour justifier ce mot a posteriori par un retentissant coming out ? « Voyez comme ces suppôts de l’extrême drouâteuh sont transphobes : ils me poursuivent de leur haine alors que je suis une innocente personne transsexuelle ! » Le petit individu nommé macron aurait ainsi une chance de rester dans l’histoire de France comme premier dirigeant de la France à avoir été marié à une trans [6], alors que sa politique intérieure, extérieure, sociale, culturelle, sanitaire & économique ne laissera qu’un grand vide, aussi incommensurable que sa vacuité intellectuelle & humaine.
Conclusion
Les amis, l’heure est grave. Je cite Alain Beyrand (PDF Pressibus p. 110) :
« je sais ce qu’il en est pour Brigitte Macron et nous sommes des millions à être concernés par sa pédocriminalité et les méfaits de son conjoint. Il nous faut sortir d’une gouvernance basée sur leurs mensonges en tous genres. Elle nous a menés à une maladie mal soignée, à une piquouze généralisée aux effets non maîtrisés, à un apartheid et au désespoir de trop de soignants. Et l’endettement public, etc. Et ce couple pervers veut nous emmerder cinq ans de plus, « jusqu’au bout » ? »
Oui, il faut dégager ce couple satanique de l’Élysée avant qu’ils n’aient achevé l’œuvre de destruction de la France pour le compte de leurs commanditaires. Ne comptez pas sur l’opposition contrôlée pour ce faire : nos amis soi-disant résistants à quelques exceptions près, respecteront toujours totalement l’omerta et ne diront pas un mot de ce scandale de mœurs qui aurait dû faire tomber la macronie. Ils vous amusent, et vous marchez à fond la caisse (c’est dire si vous êtes cons comme dirait Matthieu Côte) avec le tableau de Miriam Cahn au Palais de Tokyo, alors là ils y vont à donf, ils ont des couilles méga. Mais pour dénoncer la pédophile de l’Élysée, il n’y a plus personne, les couilles se dégonflent. Donc en attendant qu’ils se réveillent eux-aussi, diffusez cet article. Si vous pensez qu’il peut convaincre vos amis, vos frères & sœurs, vos cousins, vos voisins, etc ., alors allez-y, semez cette petite graine ! Au moment où je boucle cet article, la presse de la caste multiplie les mentions de « Trogneux », pour un fait divers. Alors là, on a affaire à un déploiement inédit de presse « d’investigation ». Ils y vont à fond les chiens de garde. Comment dites-vous ? Jean-Michel Trogneux ? Connais-pas ! L’objectif principal est de noyer sur les moteurs de recherche les infos sur Jean-Michel sous celles sous un autre Trogneux, car un Trogneux peut en dissimuler un autre ! Prenons-les à leur propre piège : n’est-ce pas une occasion en or pour diffuser la vraie information Trogneux dans les commentaires de ces articles de propagande macroniste ?
Ouai bof vous parler pour ne rien dire au final !!!!
RépondreSupprimerM . jEAN-michel trogneux, avec son CAP de confiseur et qui devient sous officier en Allemagne ? Encore une romance de Marchand
RépondreSupprimerMais alors qui fait l'homme dans leurs cambuse ?
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