« Il suffira de trois mois après votre deuxième injection, ou votre première si vous avez eu le Covid, pour pouvoir bénéficier de votre rappel », a annoncé le Premier ministre Jean Castex lors de son allocution lundi 27 décembre 2021.
À cette même date, 34,5% des habitants de la Gironde avaient reçu une dose de rappel.
[#COVID19 Situation en #NouvelleAquitaine au 28/12]
📌Couverture vaccinale en Nouvelle-Aquitaine (dose de rappel) : 36,4%
0-40% : 11 départements
40-60% : Landes
60-100% : 0 département pic.twitter.com/WDjGgXEZVy— COVID — 19 – Nouvelle-Aquitaine (@NA_Covid19) December 28, 2021
Entre le 19 décembre et le 25 décembre 2021, on estimait à 24,8% la proportion de tests susceptibles de correspondre au variant Omicron dans le département.
Si la dose de rappel permet de stimuler le système immunitaire et d’éviter les formes graves, certains refusent d’avoir recours à cette nouvelle injection.
Effets secondaires qui persistent dans le temps et lassitude face à la durée de l’épidémie font partie des principaux motifs justifiant ce choix.
Suite à l’appel à témoignages lancé par Actu.fr sur les réseaux sociaux, certains d’entre eux nous expliquent leur décision.
Hypersomnie
Le lendemain de sa première et de sa deuxième dose du vaccin Pfizer, Davina Peyri-Garcia, habituellement insomniaque, a été prise d’hypersomnie.
« Il y a quinze jours, j’ai dormi du lundi au jeudi sans me réveiller. Sachant qu’avant je dormais quatre heure par nuit maximum. Maintenant, je me retrouve à dormir de 70 ou 80 heures d’affilée si je ne mets pas de réveil », ajoute la mère de deux enfants.
Des symptômes qui persistent encore aujourd’hui, dix mois après sa seconde dose.
On n’est pas sûr que ça vienne du vaccin, mais on n’est pas sûr que ça ne vienne pas non plus de là. C’est quand même une grosse coïncidence si mes deux premières crises se passent le lendemain de mes deux premières doses.
Malgré la volonté de ses médecins de lui fournir un certificat de contre-indication, elle n’a toujours pas eu l’autorisation de le récupérer : « Mon médecin a voulu me faire ce certificat mais les services de l’État lui mettent la pression pour qu’il ne le fasse pas, on lui a dit qu’il n’avait pas le droit. »
« Mes frais de santé me coûtent cher »Pour Kethleen Delignette, les effets secondaires étaient différents, mais tout aussi difficiles à vivre. Depuis sa deuxième dose du vaccin Pfizer en septembre 2021, elle ressent des douleurs quotidiennes.
« J’ai des règles horriblement douloureuses, et aussi de fortes douleurs en dehors de mes cycles. De l’eczéma est également apparu sur environ 40% de mon corps. À côté de ça, j’ai des démangeaisons incontrôlables. Même la nuit, ma peau s’est dépigmentée. J’ai des grosses tâches sur tout le haut de mon corps et ma peau est très douloureuse », explique la jeune femme de 24 ans.
Ne connaissant pas l’origine de ces effets indésirables, Kethleen est allée consulter plusieurs médecins généralistes, des psychologues cognitifs, ainsi que des spécialistes de la médecine alternative.
Chaque jour, je regrette de m’être fait vacciner parce que j’en souffre. Mes frais pour les rendez-vous auprès de différents spécialistes s’accumulent, ça me coûte cher et je ne m’en sors pas.
Aujourd’hui, aucune solution n’a pu être trouvée : « Depuis septembre, j’essaie d’avoir un rendez-vous chez un dermatologue mais, en attendant, mes problèmes ne sont toujours pas réglés. »
L’impression que ça ne s’arrêtera jamaisPour Pierre Bidou, qui ne souffre d’aucun effet indésirable, les raisons qui motivent son souhait de ne pas recevoir de dose de rappel sont différentes.
À l’origine, le Bordelais s’est fait vacciner pour des raisons pratiques, afin de pouvoir circuler plus facilement, en France et en Europe, et pouvoir aller dans n’importe quel lieu avec le moins de contraintes possible.
Pour lui, refuser la dose de rappel est une « question de moralité ». Face au manque de solution et à la lassitude de devoir répéter le même processus alors que le virus est toujours présent, Pierre refuse sa troisième dose du vaccin Pfizer.
« Cette dose de rappel va emmener une quatrième dose et ainsi de suite. La durabilité du test PCR est réduite et sa gratuité a disparu. Cette sensation de manque d’option ne me donne pas envie de faire davantage d’effort que ces deux premières doses faites à contrecœur », explique-t-il.
Pass sanitaire désactivéLe gouvernement a prévenu : le pass sanitaire sera désactivé pour tous ceux qui refuseront de faire le rappel. Pierre en a conscience, et ne se sent pas inquiet à l’idée de changer ses habitudes pour défendre ses convictions. « Je serai privé de cinéma, de bière, de restaurant, ce n’est pas insurmontable », ajoute-t-il.
Pour l’ancienne préparatrice en pharmacie Davina Peyri-Garcia, l’absence de pass sanitaire aurait de plus grosses conséquences. Régulièrement de passage à l’hôpital pour ses enfants en situation de handicap, elle craint de ne plus avoir la possibilité de leur apporter les soins nécessaires.
« Sans cette troisième dose, mon pass sanitaire sera désactivé donc je ne pourrai plus les emmener à l’hôpital. Je ne demande pas un passe-droit pour aller au restaurant. Moi ce que je veux, c’est juste pouvoir faire soigner mes enfants et qu’on ne m’interdise pas d’aller à l’hôpital parce que j’ai un problème de tolérance avec ce vaccin », explique la mère de 41 ans.
De son côté, Kethleen Delignette se pose des questions sur l’utilité du pass sanitaire et se sent prête à s’en passer pour éviter la dose de rappel : « Aujourd’hui, un vacciné peut accéder à un lieu public sans aucun problème, qu’il soit porteur du virus ou non, alors qu’un non-vacciné doit fournir un test négatif. Où est l’utilité concernant la propagation du virus ? »
« Je préfère me priver de liberté un certain temps plutôt que de mettre en péril ma santé pour une durée indéfinie », conclut la jeune femme.
Les FRANCAIS devraient maintenant prendre conscience du DANGER de ces piqûres de la MORT !!
RépondreSupprimerCes témoignages sont frappants.
macron le fossoyeur, après avoir détruit notre Pays, poursuit son oeuvre d'extermination ... piquer des enfants de 5 ans !!! n'est-ce pas un CRIME ?