Délirant avec cet exemple :
Mais en indiquant simplement sur le site internet mis en place par l’Etat pendant le confinement que ses 50 employés allaient se retrouver en situation de grande précarité, Ami K. n’a pas eu longtemps à plaider sa cause. Elle a sans aucune difficulté, et sans avoir à fournir le moindre justificatif, pu obtenir au total 210.000 euros d’aides financières.
Un magistrat confirme :
“Une simple déclaration sur internet suffisait alors, il n’y avait aucun contrôle”.
D’après les investigations policières, l’entrepreneuse a estimé nécessaire de prendre rendez-vous chez un chirurgien esthétique pour se refaire la poitrine et le fessier.
Facture totale de l’opération : 12.000 euros, réglés rubis sur l’ongle aux frais de l’Etat. Autres achats : une voiture pour un montant de 35.000 euros, des vêtements et des articles de grandes marques. Elle a également réglé un chèque de 25.000 euros pour les frais de scolarité de ses quatre enfants, avant de placer 90.000 euros sur les comptes bancaires de sa progéniture. Les autorités ont pu saisir son véhicule flambant neuf, des articles de luxe ainsi que 86.500 euros que la suspecte avait mis de côté. Au total, 123.500 euros sont perdus. Et ce n’est pas un cas isolé : ces dernières semaines, les dossiers d’escroqueries au chômage partiel se sont multipliés.D’après de premières investigations, ce sont sans doute plusieurs dizaines de millions d’euros qui ont ainsi été obtenus de façon illégale.
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