Note liminaire : ceci est une réflexion personnelle sur la stratégie islamiste de conquête de la France. La forme est évidemment toute de fiction.
Je suis en charge de la stratégie de conquête de la France, voici le raisonnement que je fais :
Nous sommes au moins 12 millions de Musulmans vivant en France. Notre nombre grandit vite par notre démographie naturelle nettement supérieure à celle des indigènes ; et par le flot constant de nouveaux arrivants, réguliers et clandestins ; au moins 400.000 par an. Nous sommes implantés dans des zones de plus en plus nombreuses et étendues où c’est notre loi islamique qui s’applique ; sauf pour les prébendes qui elles sont bien « nationales ». Nous sommes déjà en pays d’Oumma. Nous ne cherchons pas le « séparatisme » pour ces zones qui sont déjà autonomes de fait. Ce sont nos bases arrières et nos zones refuges où nous sommes les maitres et d’où nous diffusons notre action autour de nous pour établir le califat français. De plus en plus de petites agglomérations où nous étions quasi absents il y a peu connaissent elles aussi leurs quartiers islamiques. Nos emprises s’étendent.
Cette extension géographique s’accompagne de l’infiltration de tous les rouages et structures de la société française : mosquées bien sûr, de plus en plus nombreuses avec l’aide des pouvoirs publics, administrations locales et nationales, organismes sociaux d’aide aux personnes, écoles, associations de toutes natures (culturelles, cultuelles, sportives, etc), police, armée, services hospitaliers, services et sociétés de transport, entreprises, commerces etc. Par notre poids électoral, dès maintenant nous exerçons une forte influence sur le résultat des élections ; et cela ne fera que croître. M. Hollande nous doit probablement son élection passée; de nombreux maires aussi.
Sommes-nous gênés par les autorités indigènes?
En aucune manière. Ceux d’entre nous dont ils ont fait souvent imprudemment des Français ont le droit commun pour eux bien sûr. Mais aussi, presque tous ceux qui, étrangers, sont acceptés ou se sont invités, et sont reçus, logés, nourris, soignés, éduqués, transportés ; et ne sont pratiquement jamais expulsés. Le droit du sol, et le droit au regroupement familial qu’ils améliorent sans cesse, font grossir cette population ; et augmentent leurs dépenses, sans apparemment que cela les émeuve vraiment.
La mentalité pérenne de tous ces gouvernants depuis 30 ou 40 ans, pétrie d’altruisme universaliste, même si c’est au détriment de leurs compatriotes, a fait de nous des hôtes particulièrement choyés alors qu’ils auraient pu nous en vouloir de les avoir chassés. Et ils en arrivent même par leurs propres lois et la complicité de certains de leurs juges, à sanctionner les Français de souche plus ancienne qui, par leur seule voix, tentent de réveiller leurs compatriotes. En outre, nous sommes soutenus par les courants habituels les plus actifs, syndicats, majorité des médias, des « intellectuels » influents, du corps enseignant surtout universitaire, sans oublier M. Mélenchon et ses camarades, qui sont là pour rappeler au peuple français, noblesse oblige, que la tradition d’accueil de la France ne lui laisse pas le choix.
Je me dis donc que tout va pour le mieux, qu’il suffit d’être patient et de pousser nos pions. Pas de souci financier ; les aides extérieures, le trafic de drogue et les largesses de l’état envahi suffisent à nos besoins. L’Europe nous aide beaucoup ; surtout la cour européenne des droits de l’homme, qui comporte d’ailleurs, vous allez rire, des états musulmans non européens, et que nous ne remercierons jamais assez. Pas de véritable obstacle, pas même de ceux dont nous pourrions au moins craindre des réticences voire une restriction de crédits. Une partie de la population autochtone grogne bien parfois, mais rien d’inquiétant. Elle s’adapte petit à petit comme la grenouille qui s’habitue à une eau de plus en plus chaude et va cuire sans s’en rendre compte; parfois elle quitte nos quartiers et nous fait de la place.
Alors pourquoi voulez-vous que j’encourage les actions violentes ? Tout va si bien comme ça.
En fait les frères, bien intentionnés, qui régulièrement commettent des attentats nous nuisent. Je comprends l’impatience de nos jeunes qui ne supportent plus les lois des mécréants. Nous les formons dans la haine de la société impie et injuste dans laquelle ils vivent. Mais ils doivent comprendre que l’heure de la violence extrême pour tout renverser brutalement n’est pas encore venue ; il faut encore être plus fort et nous le devenons chaque jour. En attendant pratiquons la « taqîya », mentons, faisons comme si nous étions supportables, compatibles avec la république (ils sont d’ailleurs presque tous d’accord là-dessus même Mme Le Pen). Ne prenons pas de risque. On ne sait jamais ; même les lâches titillés sans précaution peuvent parfois avoir des réactions violentes. Il ferait beau voir que les politiques français, habituellement si aveugles et si veules, inquiets des possibles réactions de leur peuple excédé, prennent des mesures qui pourraient vraiment nous nuire. Freinons nos excités, mais ne les émasculons pas. Leur sève est généreuse et nous en aurons besoin bientôt.
Pour éviter un sursaut général des mécréants, iI y a un moyen. Il faut confier à certains de nos frères, éminents s’il se peut, la mission de faire semblant de se ranger de leur côté, et de se montrer en train de dénoncer nos soit disant excès. Désamorcer la vindicte populaire en mettant en avant des personnages apparemment de bonne volonté sera efficace, surtout avec les médias qui n’attendent que ça. Les chefs des souchiens seront ravis. Plus besoin de mesures sévères ; quelques décisions symboliques, prises sous le coup d’une émotion fugitive, qui ne nous gêneront guère paraitront suffisantes ; et s’ajouteront aux pitreries habituelles auxquelles ils aiment tant se livrer : palabres sur les plateaux télé, marches blanches, nounours et bouquets, auxquelles ils viennent d’ajouter distribution de décorations sous 48 heures. Cela redonnera du souffle à tous ceux, gouvernants compris, qui chancelaient, craignant d’être poussés à l’action, et qui pourront dire : « voyez, on progresse ; des Musulmans en vue acceptent la république, les autres suivront. Finalement on a raison d’être sympa avec eux, contre le vœu des populistes. Le pari peut être gagné ». Un lâche soulagement surgira. Et ils replongeront. Le mieux pour nous, si j’osais, serait un ou deux attentats anti Musulman. Cela leur permettrait de ressortir l’excuse qu’ils adorent : la fausse symétrie. Ils pourraient dire, comme le pape, que si on condamne les excès d’un camp, il faut condamner aussi ceux de l’autre et renvoyer ainsi tout le monde dos à dos. Plus de mesures décapantes ; de l’eau tiède. Ah ça, ce serait l’idéal évidemment.
Une bonne nouvelle pour terminer ; pendant les deux heures de temps de la rédaction de ce papier, plus de cent de nos frères sont arrivés
Général (2S) Roland DUBOIS
Volontaires pour la France – Ile de France
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