Publié le 23 octobre 2020 - par Louise Guersan -
Larmes de crocodile à l’œil, ils ont tous fait leur discours d’apaisement, se prétendant horrifiés alors qu’ils n’en ont rien à foutre.
C’est toujours la même histoire, parce qu’on oublie aisément que chaque jour 120 personnes sont attaquées au couteau en France. Le nombre de victimes ? Je veux dire le nombre de morts, parce que les blessés graves, de toute façon, on n’en parle même pas, quelles que soient les séquelles. Alors le nombre de morts ? Nul ne le sait. Les statistiques sont devenues désormais interdites. Il ne faut pas alerter le peuple, qui pourrait se révolter. On doit le pousser à se faire conduire sans heurts à l’abattoir, comme on le faisait avec les Juifs de 1940. Les moutons du sacrifice de l’Aïd musulman. Sauf que…
NON, NOUS NE SOMMES PAS DES MOUTONS PRÉPARÉS POUR L’ÉGORGEMENT RITUEL AU NOM D’UN DIEU FOU.À dire vrai, ce n’est pas Dieu qui est fou, ce sont les ignares, les monstres qui s’imaginent qu’un tel Dieu attend d’eux des sacrifices, comme les Romains le faisaient pour apaiser les divinités et obtenir d’elles des avantages dans l’au-delà. Un recul de deux millénaires ! Voilà à quoi nous conduisent des politiques imbéciles élaborées dans les cerveaux malades des ultra-libéraux américains relayés par des gens dépourvus de toute valeur.
Car les plus coupables, ce sont bel et bien les politiques vendus à l’étranger. Comme Pétain, Laval et compagnie qui se vendirent aux boches, aux schleus, aux tudesques. Aux germaniques, quoi. Quand je pense que Laval, en 1942, alors que notre pays était exsangue, soumis aux privations, à la faim, au froid, aux exactions des occupants, avait déclaré « je souhaite la victoire de l’Allemagne ». La victoire de l’occupant !!! Mais le petit, très très petit, président de l’actuelle République française va bien au-delà. Lui et ses sbires, et toutes les associations de salopards qui devraient être dissoutes car elles nous coûtent des milliards en subventions avec évidemment ristournes à ceux qui les reconnaissent et les immatriculent ; et aussi certains partis politiques qui, ne désirant que des voix pour les élections, laissent assassiner le peuple de France, les Mélenchon en tête. (mais il n’est pas le seul. « Insoumis », prétend-il ? Allons donc ! Soumis plus que personne. Et son vocabulaire tendancieux ne nous trompe pas.)
Alors tous ces traîtres ont bonne mine de pavoiser devant le corps privé de sa tête, ou la tête privée de son corps, comme on voudra, de ce martyr de professeur auquel on a rendu ridiculement des hommages militaires et non civils, comme si cela devait dédouaner ce gouvernement, le pire que la France ait jamais eu à subir. Ces gens à la tête de l’État, ces nuls, ces indésirables, ces cancrelats, ces privilégiés bien protégés aux frais de la République, c’est-à- dire à nos frais, ces larves infectes, ne comprennent rien, ou du moins refusent de comprendre. Faisant le jeu des ennemis de tous bords d’une population paisible – trop paisible à vrai dire mais qui ne le restera pas, ces traîtres, donc, continuent la même politique abjecte d’écrasement des Français par les impôts, l’augmentation permanente des taxes, les expropriations, les emprisonnements, les cabales, la vente des biens collectifs des Français à des sociétés privées, souvent étrangères… J’ai lu récemment que les jouets, dont la consommation a beaucoup augmenté pendant le confinement, allaient subir une taxe additive de 15 %. C’est ça, taxez maintenant nos petits. Mais ce n’est qu’un exemple parmi d’autres.
L’affaire Pétronin n’a été qu’une affaire de poudre aux yeux. Ce n’est pas 200 terroristes qui ont été relâchés, ce sont 201 islamistes puisque Sophie Pétronin, qui s’est convertie à l’islam, a déclaré vouloir y retourner. Ça valait vraiment pas le coup d’affréter un avion pour ce triste personnage et de dépenser un peu plus l’argent des Français. La réalité, c’est un cadeau de plus aux islamistes : une forte rançon – merci, cons de Français – et la libération des terroristes. Mais bon sang, ce sont eux qui auraient dû payer, sinon cela s’appelle avoir le beurre et l’argent du beurre. Une fois de plus Macron nous a enfumés. De toute façon, il ne sait faire que cela. On l’a bien vu avec le Benalla, ce porteur de valises – et on sait ce que cela signifie – qui est revenu en grâce, après une pantomime digne de la commedia dell’arte.
Nos abrutis de politiques, les uns après les autres, ont les mains ensanglantées. Ce n’est pas d’aujourd’hui. Souvenez-vous de l’attentat de la rue des Rosiers. Après 34 ans de demandes par la France, le criminel Hassan Diab a été extradé en 2017 et incarcéré. Puis, afin de faire plaisir au lobby musulman, on a déclaré qu’en définitive il n’était pas coupable. Malgré toutes les preuves. Et on l’a relâché au bout de quelques mois et un traitement de faveur en prison. Évidemment les magistrats ont obéi aux ordres, comme ils le font toujours, au détriment de la vraie justice, celle pour laquelle ils ont été nommés. Ils se croient à l’abri. Mais conscients de leurs saloperies diverses, ils ont fait voter une loi par laquelle ils ne peuvent plus être poursuivis. D’abord, une loi, ça se fait, mais ça se défait aussi par une autre. Eh oui. Entre parenthèses, je donne ici une bonne nouvelle car je viens d’apprendre qu’une certaine magistrate du tribunal correctionnel de Versailles, une ordure qui avait 100 % de condamnations, a été démise. Il était temps, mais il y en a beaucoup d’autres qui devraient recevoir un coup de pied au fondement qui, comme celui de tout un chacun, n’est pas plus divin.
La décapitation de ce malheureux est imputable à 100 % à ces politiques qui, tels les trois singes, se bouchent yeux et oreilles. Il y a longtemps qu’ils ont été alertés. Déjà en octobre 1980, il y a 40 ans ! Raymont Barre déclarait « Le terrorisme est un crime sans visage qui, par sa nature même, ne frappe que des innocents. L’horreur qui s’y attache est encore aggravée par le fait que l’attentat visait ceux d’entre nous qui, il y a quarante ans à peine, ont connu des épreuves indicibles. […] Une dure épreuve aussi, parce que les criminels, quels qu’ils soient et quels que soient ceux qui les ont inspirés ou qui ont armé leur bras, n’ont pas seulement frappé la France au cœur. Ils voulaient de toute évidence attenter à son âme. Ils espéraient compromettre son unité, saper les fondements de son système politique, profaner les valeurs auxquelles elle est profondément attachée. […] Les auteurs de cet acte criminel visaient manifestement à déclencher un processus de violence en chaîne, de manière à compromettre le fonctionnement démocratique de notre société. » https://youtu.be/cXnhaL1JL8k
Le problème n’est donc pas nouveau. Qu’attend le squatter de l’Élysée pour y remédier ? (je dis squatter, car pour être locataire, il y a un prix à payer qui ne l’est pas). Sur LCI, l’enseignante Barbara Lefevre rappelle que d’autres, dont trois enfants juifs assassinés en 2012 d’une balle dans la tête par une autre ordure, ne reçurent aucun hommage national. Pour elle, les actes antisémites étaient des signaux d’alerte pour l’ensemble de la nation ; celle-ci n’en a pas tenu compte. Elle en subit aujourd’hui les conséquences. Après tout, le Coran réclame la mort de tous les non musulmans, aussi bien juifs que chrétiens ou qu’athées. Des gouvernants, des politiques qui non seulement ne réagissent pas aux agressions répétitives de leur peuple mais les encouragent par les ordres donnés à la police et aux magistrats de ne pas intervenir, pire, de s’en prendre aux Français qui réagissent individuellement, refusant l’égorgement, portent l’entière responsabilité des meurtres. Ils devraient être sévèrement jugés. Leurs larmes de crocodile, leurs paroles lénifiantes, leurs vaines promesses ne nous atteignent plus. Il appartient au gouvernement de nous débarrasser de ces terroristes, de ces agresseurs, de ces racailles qui encombrent nos villes et nos campagnes. C’est son rôle. S’il n’est pas apte à l’assumer, qu’il laisser la place aux militaires. Car la France entière attend ce coup d’État militaire qui la libérera enfin de décennies d’incurie ayant conduit à une situation odieuse et ingérable.
Louise Guersan
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.