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mercredi 19 février 2020

L’hallucinante interview du nouveau « sinistre » de la santé !



L’hallucinante interview du nouveau « sinistre » de la santé !

Bonjour Monsieur le Sinistre et monsieur le dépité comme le disait avec son humour légendaire notre Coluche national.

Nous ne savons pas ce qui est sinistre…

Est-ce la santé qui est sinistrée, ou la pensée du ministre qui est sinistre.
A l’entendre, la Chine qui enferme en soudant des milliers de Chinois dans les immeubles dans lesquels il y a un infecté, gère effectivement avec efficacité cette « épidémie de grippette » et donne ainsi des calculs qui sont forcément très justes.
Personne ne va évidemment relever les cadavres dans ces immeubles d’infectés, personne ne s’approche de ces zones de pestiférés.
Avant d’écouter les propos (a minima) terriblement légers de notre nouveau ministre de la santé, je vous invite à regarder cette vidéo du Nouvel Observateur.
Une source sérieuse. Ecoutez bien.
Non seulement il tousse un peu ce qu’il devrait éviter de faire, car en Chine, c’est la chasse à ceux qui toussent.
C’est aussi l’enfermement de population d’immeubles entiers.
Ce qui se passe en Chine n’est pas une « gestion d’une épidémie », c’est l’endiguement de ce virus quoi qu’il en coûte.
C’est une guerre, et la guerre fait des morts, beaucoup de morts.

Quant aux déclarations du ministre de la santé, on comprend bien que le problème c’est effectivement la liberté, la démocratie.
Evidemment en Chine on ne s’emmerde pas avec ces principes d’une autre époque comme les réseaux sociaux, ou encore la liberté de parole ou de contradiction.
La propagande c’est tellement mieux.
D’ailleurs il nous fait remarquer à quel point la Chine a su construire un hôpital en quelques jours. Certes, il n’est pas luxueux, certes, il prend totalement l’eau, certes en réalité c’était juste de la propagande du PCC, le parti communiste chinois.
Alors que dans les faits, ce sont des gymnases et des palais de congrès et autres lieux collectifs qui sont réquisitionnés pour y mettre les malades dans des conditions sanitaires plus que douteuses.

Ce qui nous définit en tant que société, c’est la manière dont nous nous comportons lors des périodes de grands vents et la façon dont nous prendrons soin de nos plus fragiles et évidemment de nos malades.

Charles SANNAT

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