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mercredi 12 février 2020

Agriculteur maintenu en taule, violeur africain libéré : super, la justice !




Voilà un moment que je n’avais pas poussé une gueulante… mais là je n’y tiens plus.
 

Je lis sur le site Fdesouche qu’un agriculteur est maintenu en prison, sur décision du juge des libertés, alors qu’il a un domicile, un travail, une adresse, et donc une certitude de représentation au tribunal, puisque ce sont les critères essentiels de décisions de remise en liberté ou pas.

De plus, cet agriculteur n’a fait que défendre son bien ; il n’a pas tué conformément au Code pénal et à l’article sur la légitime défense des biens…
Il a tiré sur un voleur de carburant.
Sachant bien évidemment que cela faisait plusieurs fois que cet agriculteur était volé… comme d’autres dans la commune ou la région, manifestement.
Mais là, on en était quand même à 7 000 euros de préjudice, et chaque fois qu’il appelait les autorités, celles-ci mettaient une demi-heure à arriver, vu que dans la France rurale, on a fermé plein de commissariats et de gendarmeries !
Bref, ce brave paysan, qui doit faire tourner une entreprise agricole, est maintenu en prison sur la seule décision d’un juge… cette caste qui décide de la vie d’un homme, sans jamais avoir de compte à rendre à personne.
Cette caste qui laisse en liberté des dealers, des voleurs, des escrocs, des salopards, archi-connus de la police, mais qui laisse en prison un brave paysan… qui a eu le malheur de tirer sur un membre de la communauté des gens du voyages… en gros, un manouche.
Cette même communauté, parfaitement intégrée à la vie sociale de notre pays, dont les membres sont, comme chacun sait, des gens très honnêtes, courtois, gentils et serviables, qui payent des impôts et règlent leur charges sociales.
Ces braves voyageurs qui génèrent une bonne partie de la délinquance des lieux où ils s’installent et autour.
Ceux-là mêmes qui se permettent de bloquer des routes, après avoir tronçonné des arbres, juste parce que l’un d’eux n’a pas eu le droit de sortir de prison pour aller à l’enterrement de son père.
Mais qu’on ne touche pas, surtout pas, car c’est pire après.

Ces mêmes personnes pour qui il faut aujourd’hui tout un bataillon de gendarmes afin d’interpeller un seul de ses membres.
Bref des braves gens…
Donc on laisse en prison un travailleur, qui a défendu son outil de travail contre des exactions d’un membre d’une communauté de nuisibles patentés…
Ouah ! super, la justice !
Alors laissez-moi vous narrer une petite histoire.
Le 31 janvier 2020, la fille d’un ami, lesbienne, jolie, jeune, faisait une petite fête avec des copains à Paris.
Elle a été violée dans un bar, puis dehors, après qu’un salopard de prédateur lui a mis un produit dans son verre.
Elle a déposé plainte.
Inutile de vous dire que quand elle s’est retrouvée seule, perdue, en pleurs dans les rues de la capitale, aucun de ces connards de bons Français, bien-pensants, ne lui a porté secours ni prêté son portable pour qu’elle appelle son père.
Non, ces Parisiens de merde l’ont laissée se démerder seule !
Les policiers, et là, n’en déplaise à Schiappa ou Belloubet, ont reçu avec compassion, écoute et humanité, cette jeune femme.
L’espèce de salopard qui a violé cette jeune fille a été interpellé au bout d’une semaine !
Son ADN a été confronté avec celui relevé sur la victime.
Bien évidemment, je ne vous donne pas l’origine ethnique de cette crevure, mais sachez qu’il n’est pas blanc.
Disons qu’il est plutôt africain même…

Et bien sachez, chers amis, que les juges ont décidé de laisser cette ordure en liberté, parce que c’était la première fois qu’il faisait cela.
Ou du moins la première fois qu’il était attrapé.
Alors oui, il est sous contrôle judiciaire.
Mais qu’est-ce qui dit au juge que ce connard ne va pas rentrer au pays, et ne jamais revenir ?
Rien.
Alors, vous voyez, même si je ne porte hélas plus beaucoup les flics dans mon cœur depuis ce qu’ils ont osé faire aux GJ, et surtout depuis qu’on leur a retiré leur cerveau et leur libre arbitre pour 50 euros de plus par mois, il y a bien une caste que je déteste de toute mon âme : ce sont les juges !

Hugh !

Géronimo

ripostelaique

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