Alors voilà :
- L'architecte des travaux ne donne aucune explication accidentelle à l'incendie de Notre-Dame.
- L’ancien ingénieur chef de Notre-Dame déclare ceci sur LCI: «Du vieux chêne, il faut beaucoup de petit bois pour le faire brûler … Il y a 2 hommes en permanence jour et nuit pour aller voir dès qu’il y a une alerte et appeler les pompiers …
En 2010, on a remis à plat toutes les installations électriques, il n’y a pas de possibilité de court-circuit, toute la détection et protection incendie de ND.»
- Notre-Dame, en 800 ans n'a jamais brûlé, malgré les guerres civiles et les guerres tout court.
Et Notre-Dame brûle sous la Vème République, alors que les moyens humains et financiers mis en oeuvre pour sa conservation n'ont jamais été aussi importants.
- un contact ajoute : La fumée jaune au milieu de la fumée blanche naturelle à la combustion du très vieux bois bien sec, prouve qu’il y a un comburant et adjuvant complémentaire...
- un autre : Le chêne n'est pas de l'amadou , il est donc anormal que cette charpente ait pu brûler aussi vite d'autant que l'enveloppe extérieure du bois se consume en gardant intacte l'âme de la poutre ce qui fait qu'une charpente en bois mettra plus de temps à s'effondrer qu'une structure métallique , les deux fumées blanche et jaune confirment que le bois n'était pas seul à brûler !
- L'architecte en chef du chantier CONFIRME ... qu’ils construisaient encore l’échafaudage, qui n'était pas fini. De plus, l'ex architecte en charge de Notre Dame sur une précédente rénovation vient de déclarer :
« La propagation du feu est incompréhensible, seule l'essence peut etre une explication »
* Benjamin Mouton, Ex architecte batiments france cathédrale. Déclaration sur LCI ce jour.
- La charpente "la forêt" est en principe surveillée 24/24 par 6 personnes qui se relaient...la forêt : des milliers de poutres, certaines de 1200 ans, dont ces arbres encore plus anciens qui ont connu la fin de l'empire romain vers la cité du ciel : notre Dame de Paris
- Hier avant 22h le général Gallet (pompiers de Paris) affirme à 2 reprises que l'échafaudage ne peut être à l'origine de la propagation du feu sur bfm
- 10 mns après on nous affirme que le feu ne peut être d'origine volontaire alors que tout brûle encore et que personne ne sait rien quand à l'origine même du départ du feu
- « Le mystère sur les causes de l'incendie reste entier. Reprenant les propos de son successeur Philippe Villeneuve, avec qui il est en contact, Benjamin Mouton, Architecte en chef des Monuments historiques, est "totalement incrédule" face à cet incendie :
"Lorsque je me suis occupé de la détection incendie, qui a été un dispositif très onéreux, il fallait très peu de minutes pour qu'un agent aille faire la levée de doute, nous avons fait remplacer de nombreuses portes en bois par des portes coupe-feu, nous avons limité tous les appareils électriques, qui étaient interdits dans les combles.
Il faut une vraie charge calorifique au départ pour lancer un tel sinistre.
Le chêne est un bois particulièrement résistant.
La protection incendie mise en place dans la cathédrale était à son plus haut niveau
"L'incendie est peut-être terminé mais rien n'est fini, tout commence. L'ensemble des charpentes effondrées, cela ne fera pas de bien aux voûtes, et cela crée un choc mécanique important.
Les pierres vont se transformer en chaux, et les jets d'eau lancés par les pompiers créent un deuxième choc thermique.
En 40 ans d'expérience, je n'ai jamais connu un incendie de la sorte". »
- Comme le rappelle Julien Le Bras ( Patron de la société de restauration), "ce chantier débutait normalement".
Il explique par ailleurs, que ce lundi 15 avril, aucun travaux par point chaud ou électriques n'ont été effectués.
Ce jour-là , les rénovateurs ont placé des échafaudages : "nos outils sont des marteaux, des clés de 22" indique Julien Le Bras, rien qui puisse permettre un départ de feu.
Ceci étant posé - ce signe funeste doit être pris comme tel pour ceux qui ont des yeux pour voir.
Il y a plus grand que soit : c’est à la fois la raison de notre profond accablement et la possibilité d’un changement intérieur radical. Retour aux sources.
PS : A mes ennemis musulmans et aux trolls qui se targuent de connaître les intentions d’Allah, sautant sur l’occasion pour me dire que ce dernier a ainsi puni les chrétiens que nous sommes, je réponds que Dieu n’a nul besoin d’Allah pour se charger des châtiments.
Un peu d’humilité
- L'architecte des travaux ne donne aucune explication accidentelle à l'incendie de Notre-Dame.
- L’ancien ingénieur chef de Notre-Dame déclare ceci sur LCI: «Du vieux chêne, il faut beaucoup de petit bois pour le faire brûler … Il y a 2 hommes en permanence jour et nuit pour aller voir dès qu’il y a une alerte et appeler les pompiers …
En 2010, on a remis à plat toutes les installations électriques, il n’y a pas de possibilité de court-circuit, toute la détection et protection incendie de ND.»
- Notre-Dame, en 800 ans n'a jamais brûlé, malgré les guerres civiles et les guerres tout court.
Et Notre-Dame brûle sous la Vème République, alors que les moyens humains et financiers mis en oeuvre pour sa conservation n'ont jamais été aussi importants.
- un contact ajoute : La fumée jaune au milieu de la fumée blanche naturelle à la combustion du très vieux bois bien sec, prouve qu’il y a un comburant et adjuvant complémentaire...
- un autre : Le chêne n'est pas de l'amadou , il est donc anormal que cette charpente ait pu brûler aussi vite d'autant que l'enveloppe extérieure du bois se consume en gardant intacte l'âme de la poutre ce qui fait qu'une charpente en bois mettra plus de temps à s'effondrer qu'une structure métallique , les deux fumées blanche et jaune confirment que le bois n'était pas seul à brûler !
- L'architecte en chef du chantier CONFIRME ... qu’ils construisaient encore l’échafaudage, qui n'était pas fini. De plus, l'ex architecte en charge de Notre Dame sur une précédente rénovation vient de déclarer :
« La propagation du feu est incompréhensible, seule l'essence peut etre une explication »
* Benjamin Mouton, Ex architecte batiments france cathédrale. Déclaration sur LCI ce jour.
- La charpente "la forêt" est en principe surveillée 24/24 par 6 personnes qui se relaient...la forêt : des milliers de poutres, certaines de 1200 ans, dont ces arbres encore plus anciens qui ont connu la fin de l'empire romain vers la cité du ciel : notre Dame de Paris
- Hier avant 22h le général Gallet (pompiers de Paris) affirme à 2 reprises que l'échafaudage ne peut être à l'origine de la propagation du feu sur bfm
- 10 mns après on nous affirme que le feu ne peut être d'origine volontaire alors que tout brûle encore et que personne ne sait rien quand à l'origine même du départ du feu
- « Le mystère sur les causes de l'incendie reste entier. Reprenant les propos de son successeur Philippe Villeneuve, avec qui il est en contact, Benjamin Mouton, Architecte en chef des Monuments historiques, est "totalement incrédule" face à cet incendie :
"Lorsque je me suis occupé de la détection incendie, qui a été un dispositif très onéreux, il fallait très peu de minutes pour qu'un agent aille faire la levée de doute, nous avons fait remplacer de nombreuses portes en bois par des portes coupe-feu, nous avons limité tous les appareils électriques, qui étaient interdits dans les combles.
Il faut une vraie charge calorifique au départ pour lancer un tel sinistre.
Le chêne est un bois particulièrement résistant.
La protection incendie mise en place dans la cathédrale était à son plus haut niveau
"L'incendie est peut-être terminé mais rien n'est fini, tout commence. L'ensemble des charpentes effondrées, cela ne fera pas de bien aux voûtes, et cela crée un choc mécanique important.
Les pierres vont se transformer en chaux, et les jets d'eau lancés par les pompiers créent un deuxième choc thermique.
En 40 ans d'expérience, je n'ai jamais connu un incendie de la sorte". »
- Comme le rappelle Julien Le Bras ( Patron de la société de restauration), "ce chantier débutait normalement".
Il explique par ailleurs, que ce lundi 15 avril, aucun travaux par point chaud ou électriques n'ont été effectués.
Ce jour-là , les rénovateurs ont placé des échafaudages : "nos outils sont des marteaux, des clés de 22" indique Julien Le Bras, rien qui puisse permettre un départ de feu.
Ceci étant posé - ce signe funeste doit être pris comme tel pour ceux qui ont des yeux pour voir.
Il y a plus grand que soit : c’est à la fois la raison de notre profond accablement et la possibilité d’un changement intérieur radical. Retour aux sources.
PS : A mes ennemis musulmans et aux trolls qui se targuent de connaître les intentions d’Allah, sautant sur l’occasion pour me dire que ce dernier a ainsi puni les chrétiens que nous sommes, je réponds que Dieu n’a nul besoin d’Allah pour se charger des châtiments.
Un peu d’humilité
Bonjour, peux-tu citer tes sources, car pour ma part après 2 heures de recherche je n'ai trouvé nulle part de CONFIRMATION de l'architecte en chef PHILIPPE VILLENEUVE. Nom que j'ai trouvé très facilement par contre. désolé, mais le manque de source, de nom pourtant très facile à trouvé ne rende pas sérieux ton texte. Même si je suis d'accord sur le fait que ce feu est bien trop rapide pour être honnête, ton texte fait trop "complotiste" pour être pris au sérieux.
RépondreSupprimerDans Ouest France en ligne :
RépondreSupprimerÉgalement cité par Le Monde, Philippe Villeneuve, l’architecte en chef chargé des travaux à Notre-Dame, estime pourtant que l’hypothèse d’un point chaud « n’est pas la bonne » car « les travaux n’avaient pas encore débuté, seuls les échafaudages étaient en cours de montage ». Mais comme le note le quotidien du soir, on ne peut pas exclure que des outils électriques portatifs aient été utilisés pour garantir la tenue de l’échafaudage.
L'enquête est certainement encore en cours ?