1 - De la fumée blanche et jaune dès le départ de l'incendie, alors qu'un incendie "conventionnel" provoque de la fumée noire, et que la fumée ne devient blanchâtre qu'à partir du moment où l'eau est envoyée en quantité, et que la vapeur d'eau prend le dessus sur le carbone.
A gauche sur la photo du post, des fumées noires provoquées par la combustion du bois, qui s'échappent à travers la façade de Notre-Dame.
A droite, la combustion très puissante d'autre chose, chimique dans tous les cas, sans doute de la thermite (dont la combustion produit des flammes intenses et une fumée jaune).
Faisons la supposition que de la thermite ait été déposée à la base de la flèche et mise à feu.
La température d'un incendie impliquant des poutres de bois est de 800 degrés.
Le plomb fond à 335 degrés et ne change rien à la température de l'incendie.
La température de fusion de l'acier galvanisé de l'échafaudage est de 1485 degrés.
La température de combustion de la thermite est d'environ 2200 degrés.
Donc, s'il y avait eu combustion initiale de thermite à la base de la flèche, il serait logique que l'échafaudage soit fondu à proximité de la position initiale de la flèche, et de moins en moins fondu au fur et à mesure que l'on s'éloigne de ce point chaud.
Donc, s'il y avait eu combustion initiale de thermite à la base de la flèche, il serait logique que l'échafaudage soit fondu à proximité de la position initiale de la flèche, et de moins en moins fondu au fur et à mesure que l'on s'éloigne de ce point chaud.
Logique aussi, que les poutres ayant brûlé directement sous l'échafaudage ne lui aient causé aucun dommage.
Ça tombe bien, c'est justement ce que nous montre la deuxième photo ci-dessous !
Ça tombe bien, c'est justement ce que nous montre la deuxième photo ci-dessous !
Or, il est totalement impossible de faire prendre des poutres de chêne 400 mm à une telle vitesse.
Il faut plusieurs heures pour faire prendre des poutres d'une telle section (avec un feu normal).
De plus, les charpentiers du moyen âge faisaient subir des traitements par bains de minéraux à leurs bois de charpentes, pendant des années.
Ces bois sont pratiquement pétrifiés comme ceux qui sont immergés dans la lagune de Venise, et qui continuent de porter toute la ville, y compris la basilique de la place Saint Marc, structure au poids considérable.
Bref, au moyen âge vers 1200, les mêmes techniques de bains ont été utilisées pour Notre Dame comme pour Venise, et ces techniques, auxquelles nous ne connaissons plus grand chose, rendaient le bois imputrescible et ininflammable.
Enfin, l'ancien architecte officiel de Notre-Dame, responsable du bâtiment de 2000 à 2013, et architecte de sa sécurité incendie, est incrédule face à la rapidité de la propagation du feu :
https://youtu.be/9_qJuCgLEz4
3 – Une vidéo capturée à 17h05, à distance du toit de Notre-Dame.
Officiellement, il n'y avait sur le toit, que des monteurs d'échafaudage, dont les outils, selon la version officielle, n'étaient que des marteaux et des clefs de 22.
Les ouvriers disent être descendus de l'édifice à 17h20 et remis les clefs du chantier à la conciergerie.
Or, deux flashes peuvent être vus sur les vidéos, à la 3ème et la 16ème seconde, à proximité d'un homme.
Ces flashes peuvent s'expliquer par une mèche en magnésium pour activer la thermite.
On peut penser à une chaine pyrotechnique simple avec des mèches lentes, un détonateur, et une charge principale.
https://youtu.be/IL_F5Bjm8lk
Voilà quelques éléments qui peuvent faire réfléchir…
Chacun se fera son opinion…
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