Régis de Castelnau
Bravo à l’Armée de l’air pour ce tweet avec ce libellé qui en dit long.
Inventant une « amitié séculaire», il est complètement raccord avec la décision du freluquet de ne pas froisser Mutti Merkel avec une commémoration « trop militaire ».
Bêtise et ignorance assortie d’insultes, oui oui d’insultes désinvoltes.
Adressées à qui ?
À des gens qui n’ont pas « célébré l’amitié franco-allemande » entre 1939 et 1945.
Bizarrement à ce moment-là, les rel…ations étaient un peu fraîches, allez comprendre.
Des germanophobes nationalissses sûrement.
Lépreux même.
Adressées à qui ?
À des gens qui n’ont pas « célébré l’amitié franco-allemande » entre 1939 et 1945.
Bizarrement à ce moment-là, les rel…ations étaient un peu fraîches, allez comprendre.
Des germanophobes nationalissses sûrement.
Lépreux même.
Des as aussi, mais de la deuxième guerre mondiale ceux-là.
J’en ai retenu deux, tout d’abord Maurice Halna du Fretay, qui remontra pièce à pièce un vieux coucou et décolla pour l’Angleterre le 15 novembre 1940 à l’âge de 20 ans.
Affecté à une escadrille anglaise, il sera abattu aux commandes de son Hurricane le 19 août 1942 dans le ciel de France alors qu’il couvrait le débarquement canadien à Dieppe.
Ça c’est pour l’amitié franco-britannique.
Il y a ensuite Maurice de Seyne, pilote de l’escadrille Normandie-Niemen qui refusera de sauter de son avion en perdition malgré les ordres, pour ne pas abandonner son mécanicien soviétique qui n’avait pas de parachute.
Après plusieurs tentatives d’atterrissage infructueuses, le Yak 9 s’écrase et explose, tuant ses deux occupants.
Le capitaine français et le paysan de la Volga ont été enterrés côte à côte dans la même tombe à Doubrovka.
En Russie, ce récit est dans tous les livres d’histoire, symbole de l’amitié entre la France et la Russie.
Ce serait bien d’avoir un minimum de mémoire, un peu de respect pour notre Histoire, et d’éviter de débiter des conneries.
Ce n’est franchement pas le moment.
J’en ai retenu deux, tout d’abord Maurice Halna du Fretay, qui remontra pièce à pièce un vieux coucou et décolla pour l’Angleterre le 15 novembre 1940 à l’âge de 20 ans.
Affecté à une escadrille anglaise, il sera abattu aux commandes de son Hurricane le 19 août 1942 dans le ciel de France alors qu’il couvrait le débarquement canadien à Dieppe.
Ça c’est pour l’amitié franco-britannique.
Il y a ensuite Maurice de Seyne, pilote de l’escadrille Normandie-Niemen qui refusera de sauter de son avion en perdition malgré les ordres, pour ne pas abandonner son mécanicien soviétique qui n’avait pas de parachute.
Après plusieurs tentatives d’atterrissage infructueuses, le Yak 9 s’écrase et explose, tuant ses deux occupants.
Le capitaine français et le paysan de la Volga ont été enterrés côte à côte dans la même tombe à Doubrovka.
En Russie, ce récit est dans tous les livres d’histoire, symbole de l’amitié entre la France et la Russie.
Ce serait bien d’avoir un minimum de mémoire, un peu de respect pour notre Histoire, et d’éviter de débiter des conneries.
Ce n’est franchement pas le moment.
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