La Croatie ne signera PAS le pacte migratoire de l’ONU et rejoint ainsi les Etats-Unis, la Hongrie et l’Autriche.
Le site cite un article de Velimir Bujanec, journaliste de la télévision croate, qui a questionné la présidente.
Dans sa réponse au comité de rédaction, Grabar-Kitarovic déclare littéralement :
« Soyez assurés que je ne signerai pas l’Accord de Marrakech » [sur l’augmentation de l’accueil de réfugiés et migrants] (2), écrit Bujanec sur Facebook.
La réponse du Président a été transmise par sa porte-parole, Mme Ivana Crnić, et elle déclare, entre autres choses :
« Votre préoccupation au sujet de l’immigration illégale et de l’Accord de Marrakech est tout à fait compréhensible, mais dans le cas présent, il ne s’agit pas d’accepter des migrants illégaux, le Bureau du Président participe aux négociations sur la Déclaration et vous pouvez vous référer au Ministère des Affaires étrangères et européennes, qui est le détenteur des activités, pour avoir des détails… Et soyez sûrs que je ne signerai pas l' »Accord de Marrakech »… « .
La Croatie rejoint ainsi un nombre croissant de pays qui ont décidé de ne pas signer le pacte migratoire de l’ONU.
Auparavant, les Etats-Unis, la Hongrie et l’Autriche ont refusé de le signer.
Des pays comme la Pologne et la République tchèque s’y opposent également.
Règle numéro 1 : si la population d’un pays est majoritairement hostile à l’immigration massive, illégale ou légale, venant d’Afrique, et que son gouvernement s’entête à faciliter ou encourager cette immigration, alors ce gouvernement viole l’esprit de la démocratie et la volonté de ceux qui lui ont provisoirement confié le pouvoir en leur nom.
Règle numéro 2 : pour savoir si votre gouvernement respecte la démocratie qu’il est payé pour défendre, reportez-vous au point numéro 1.
Cet article sera probablement censuré en partie ou en totalité sur Facebook sans que nous puissions nous en apercevoir : Facebook a admis cette semaine qu’il bloque les Conservateurs qui emploient le terme « étranger illégal » et ses dérivés.
Un article du Washington Times (3) explique que l’aveu du géant des médias sociaux est intervenu après que William Gheen, responsable du comité d’action politique d’Americans for Legal Immigration, a constaté que ce qu’il a posté a été supprimé, et qu’il a été frappé d’une interdiction de 24 heures pour avoir osé inclure les mots « étranger illégal » dans son poste.
Gheen a dit qu’il ne comprenait pas quel était le problème, et il s’est plaint auprès de Facebook. Alors Facebook a admis que c’était une erreur de bloquer le conservateur et de l’exclure de son service et a réactivé son compte.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
Gheen a dit qu’il ne comprenait pas quel était le problème, et il s’est plaint auprès de Facebook. Alors Facebook a admis que c’était une erreur de bloquer le conservateur et de l’exclure de son service et a réactivé son compte.
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