Nicolas Sarkozy, l’ancien président de la République mis en examen dans une sombre affaire de financement de campagne par la Libye.
Libye que la France a bombardé avec l’aide de nos amis de la perfide Albion et de missiles fournis en quantité par l’Oncle Sam.
Libye dans laquelle nous avons changé le régime de force.
Libye, « petit » pays de l’autre rive de la Méditerranée que nous avons fait tomber dans le chaos dans le cadre de l’immense guerre pour l’énergie qui façonne le monde depuis maintenant 20 ans et plus que jamais.
Nous nous disputons les dernières gouttes de pétrole, sang vital de notre économie capitaliste, basée sur la consommation de masse de toujours plus de bidules inutiles dont l’addition forme ce que l’on appelle la croissance.
Croissance des morts, croissance de la pollution, croissance d’un malaise terrible.
Alors voyez-vous, toutes ces souffrances, toutes ces haines, toutes ces guerres et tous ces morts, c’est pour que l’on puisse écrire ce genre d’article à savoir :
La Libye ? Combien de barils ?
La Libye ? Combien de barils ?
Charles SANNAT
« Bien que la situation dans le pays reste tendue, l’industrie pétrolière libyenne retrouve progressivement sa cadence de production normale, a déclaré à Sputnik une source bien informée.
Dans une interview accordée à Sputnik, une source locale a décrit la situation dans laquelle se trouve actuellement le secteur pétrolier libyen.
« La production de pétrole brut varie à présent entre un million et 1,1 million de barils par jour. L’exploitation augmente ou diminue en fonction de la situation en matière de sécurité et des solutions apportées aux problèmes techniques », a-t-elle déclaré.
« La production de pétrole brut varie à présent entre un million et 1,1 million de barils par jour. L’exploitation augmente ou diminue en fonction de la situation en matière de sécurité et des solutions apportées aux problèmes techniques », a-t-elle déclaré.
Il a également ajouté que les gisements aux environs de la ville de Zella, au sud-est de Syrte, n’étaient plus exploités depuis 2013, après une série d’attaques terroristes.
En même temps, les gisements près de la ville de Marada le sont dans des conditions normales après que cette zone a été reprise aux terroristes en octobre 2016.
En même temps, les gisements près de la ville de Marada le sont dans des conditions normales après que cette zone a été reprise aux terroristes en octobre 2016.
Selon le dernier rapport de l’OPEP, la production de pétrole en Libye était de 968 000 barils par jour, soit une baisse de 37 200 par rapport au niveau de février.
La Libye et le Nigeria n’avaient auparavant aucune obligation de réduire leur production de pétrole dans le cadre de l’accord OPEP + parce que l’industrie pétrolière dans ces pays a été sévèrement touchée par les actions de groupes armés.
Cependant, après une réunion de l’ensemble des 24 pays, qui a eu lieu en novembre dernier, les participants de l’accord de Vienne ont décidé qu’en 2018, la Libye et le Nigeria limiteraient leur production au niveau de l’année 2017 : environ un million de barils pour la Libye, et environ 1,8 million de barils pour le Nigeria.
Cependant, après une réunion de l’ensemble des 24 pays, qui a eu lieu en novembre dernier, les participants de l’accord de Vienne ont décidé qu’en 2018, la Libye et le Nigeria limiteraient leur production au niveau de l’année 2017 : environ un million de barils pour la Libye, et environ 1,8 million de barils pour le Nigeria.
Dans le même temps, selon certaines informations datant de la mi-décembre, la Libye négociait avec l’OPEP sur la possibilité d’augmenter son quota de production de pétrole de 1,5 à 1,6 million de barils par jour. »
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