Le 13/11/2016
Charles Demassieux
Fabrice Bouglé organisait un rassemblement sur la Place d’Armes, au pied du château de Versailles.
Le 11 novembre 2016, à l’heure où les politiques se souvenaient plus ou moins sincèrement de l’énorme sacrifice consenti par nos aînés pour conserver un pays libre et indépendant de toute domination étrangère, Fabrice Bouglé – conseiller municipal, chef de file du groupe politique Versailles Familles Avenir élu en 2014 – organisait un rassemblement sur la place d’Armes, au pied du château de Versailles, emblème majeur de notre histoire, puis sous les fenêtres de la préfecture des Yvelines.
Il s’agissait de protester, entre autres, contre la décision du préfet des Yvelines, Serge Morvan, d’accueillir une centaine de migrants dans les locaux de l’institut de recherche de Rocquencourt.
« Versailles ? Une affaire de bourgeois ! » seraient tentés de clamer certains.
Au risque de les décevoir, la manifestation rassemblait pêle-mêle des Versaillais, des Parisiens, des provinciaux, de toutes origines sociales, politiques et confessionnelles, seulement motivés par la peur – justifiée – de voir disparaître leur identité avec la dissémination des migrants de Calais et d’ailleurs sur l’ensemble du territoire national.
Au risque de les décevoir, la manifestation rassemblait pêle-mêle des Versaillais, des Parisiens, des provinciaux, de toutes origines sociales, politiques et confessionnelles, seulement motivés par la peur – justifiée – de voir disparaître leur identité avec la dissémination des migrants de Calais et d’ailleurs sur l’ensemble du territoire national.
Et, après les échauffourées dans le quartier de Stalingrad à Paris ou les viols répétés de femmes européennes, beaucoup, dont une mère de famille de Rocquencourt venue parler avec sa petite fille, craignaient tout simplement pour leur sécurité.
Plusieurs intervenants se succédèrent, qui racontaient leurs angoisses face à ce déferlement de populations dont il serait hypocrite de ne pas considérer le danger qu’elles constituent pour notre mode de vie, étant donné l’incompatibilité de leurs mœurs avec les nôtres.
C’est, précisément, ce qui fut avancé, avec toutefois un respect de la personne bien éloigné de la haine militante dont sont coutumiers les pro-migrants.
Respect qui n’interdisait pas les critiques fermes et méritées à l’encontre d’élus et prélats de l’Église, complices de cette invasion qu’on nous maquille en devoir humanitaire.
À ce propos, une intervenante catholique déclara, avec raison, que le christianisme ne commandait pas qu’un peuple se laisse envahir par d’autres !
C’est, précisément, ce qui fut avancé, avec toutefois un respect de la personne bien éloigné de la haine militante dont sont coutumiers les pro-migrants.
Respect qui n’interdisait pas les critiques fermes et méritées à l’encontre d’élus et prélats de l’Église, complices de cette invasion qu’on nous maquille en devoir humanitaire.
À ce propos, une intervenante catholique déclara, avec raison, que le christianisme ne commandait pas qu’un peuple se laisse envahir par d’autres !
Des messages de soutien à cette juste cause furent lus (notamment celui de Jean-Frédéric Poisson) et Christine Tasin ne manqua pas de rappeler que, derrière cette invasion migratoire, il y avait la main de l’islam conquérant.
Enfin, le général Christian Piquemal, dans un discours concis et non moins édifiant, rendit un hommage appuyé aux forces de police, aussi incomprises et méprisées que les citoyens français, subissant le joug d’une idéologie mondialiste appliquée par des décideurs hors-sol, qui n’ont cure de la vox populi !
Enfin, le général Christian Piquemal, dans un discours concis et non moins édifiant, rendit un hommage appuyé aux forces de police, aussi incomprises et méprisées que les citoyens français, subissant le joug d’une idéologie mondialiste appliquée par des décideurs hors-sol, qui n’ont cure de la vox populi !
Tout s’acheva par une « Marseillaise » qui, entre la statue équestre de Louis XIV, au loin, et les drapeaux bleu blanc rouge fleurissant çà et là, rendait pour un instant l’espoir que les Français de cœur et d’âme oublieraient leurs dissensions pour s’unir contre un péril inédit.
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