Crédit : PHILIPPE HUGUEN / AFP
Une voiture de police (archive).
INFO RTL - Le jeune homme, qui a avoué avoir le meurtre de sa petite amie retrouvée morte à Perpignan, avait été signalé alors que son lycée s'inquiétait d'une "dérive sectaire".
Au lendemain du meurtre d'une jeune lycéenne par son petit ami à Perpignan, on apprend, mercredi 26 août, que le suspect principal, Kader D. (18 ans), avait été signalé en début d'année au service du renseignement territorial des Pyrénées-Orientales, à la suite d'un incident survenu dans son lycée.
Ce signalement avait fait l'objet d'une note confidentielle datée du 8 janvier dernier, soit au lendemain de l'attaque du siège de Charlie Hebdo à Paris.
Les policiers y évoquaient l'exclusion définitive de Kader de son établissement pour "mauvais comportement".
Le lycée Maillol s'inquiétait d'une "dérive sectaire" du jeune homme.
Ce signalement avait fait l'objet d'une note confidentielle datée du 8 janvier dernier, soit au lendemain de l'attaque du siège de Charlie Hebdo à Paris.
Les policiers y évoquaient l'exclusion définitive de Kader de son établissement pour "mauvais comportement".
Le lycée Maillol s'inquiétait d'une "dérive sectaire" du jeune homme.
Aucune suite concrète donné au signalement
Le document fait aussi état des propos tenus par la mère de Kader au proviseur.
Elle craignait que son fils, "maintenant livré à lui-même" et "suite aux récentes actualités", soit tenté de "faire une bêtise".
Les policiers du service local de renseignement avait, par la suite, pris attache avec la mère.
Elle affirmait alors regretter ses propos, assurait que son fils ne tenterait rien contre la République et qu'il ne semblait pas tenté par un départ pour le jihad.
Aucune suite concrète n'a alors été donné à ce signalement, les policiers ayant conseillé à la mère de Kader de tout faire pour "rescolariser" son fils.
Lequel a d'ailleurs décroché son bac au mois de juin dernier.
source
Elle craignait que son fils, "maintenant livré à lui-même" et "suite aux récentes actualités", soit tenté de "faire une bêtise".
Les policiers du service local de renseignement avait, par la suite, pris attache avec la mère.
Elle affirmait alors regretter ses propos, assurait que son fils ne tenterait rien contre la République et qu'il ne semblait pas tenté par un départ pour le jihad.
Aucune suite concrète n'a alors été donné à ce signalement, les policiers ayant conseillé à la mère de Kader de tout faire pour "rescolariser" son fils.
Lequel a d'ailleurs décroché son bac au mois de juin dernier.
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