Jusqu’à ces dernières heures, ça fonctionnait pépère, les choses se mettaient tranquillement en place, l’Etat Islamique détruisait Palmyre et ses alentours, Tsipras démissionnait, Hollandouille annonçait ses petites baisses d’impôt préélectorales, le Front National éjectait son père fondateur comme le dernier des peigne-culs, Juppé dégoisait deux-trois lieux communs sur l’Education Nationale pour quand il passerait Président, bref la routine, avec de quoi écrire mes deux ou trois pauvretés hebdomadaires histoire de tenir le Blog, ni plus ni moins.
La routine…j’allais écrire le train-train mais en l’occurrence, justement…
Come un colpo di cannone, eût dit Basile!
Et l’affaire du Thalys nous pétait soudain en pleine gueule, histoire de secouer un bon coup les puces médiatiques tout en nous rappelant de manière fort opportune que nul, de nos jours, ne se trouve plus en sécurité nulle part, même pas, peut-être, dans le tombeau.
Un vrai cas d’école cette histoire ferroviaire!
D’abord le fait générateur : Ayoub El Khazzani embarqué à Bruxelles afin, semble-t-il, de zigouiller le plus possible d’infidèles pour bien plaire à Allah et se réserver ainsi une place de choix dans ce lieu délectable sous lequel coulent des ruisseaux sans oublier les palanquées de houris aux grands yeux noirs vachement sexy placées là pour faire reluire le musulman méritant.
Ce brave Ayoub dont la photographie en tenue règlementaire de salafiste figure ce matin à la une de toutes les gazettes, faisait naturellement l’objet d’une de ces « fiches S » dont on perçoit désormais clairement l’intérêt avec l’expérience acquise grâce aux Mérah, Nemmouche, Kouachi, Coulibaly et consorts.
La « fiche S » sert à savoir, aussitôt le crime commis, que le coupable se trouvait dûment signalé et fiché.
Tout de suite on est fixé!
Ensuite les circonstances : un huis-clos dans un TGV lancé à pleine vitesse avec tous les ingrédients d’un roman à la Stephen King, un barbu fou à lier, armé jusqu’aux dents, des voyageurs terrorisés parmi lesquels un comédien de renom dont la bite creva l’écran, jadis, dans un certain nombre de films assez déshabillés quoique tout à fait convenables et puis les agents du Service Public bien claquemurés dans la cabine blindée du conducteur, totalement sourds aux appels de détresse des usagers livrés à la merci d’un criminel précisément sans merci.
Enfin le dénouement heureux lié à la présence, dans le wagon, de militaires américains bien décidés à vendre chèrement leur peau, lesquels parvinrent, non sans y laisser quelques plumes, à neutraliser l’ordure salafiste.
Un cas d’école, vous dis-je, une affaire exemplaire comportant l’ensemble des immondices qui nous adhèrent aux fesses!
Le péril musulman dans toute son horreur…mais attention, padamalgam hein, gaffe!
Le bordel européen, véritable passoire à terroristes.
Les gaités de la S.N.C.F. dont les agents apparaissent plus prompts à se foutre en grève qu’à porter secours aux clients en danger de mort.
Les récupérations politico-médiatiques avec l’accent mis à bloc sur l’incroyable courage des « Héros du Thalys »…de braves gens qui voulaient juste sauver leur peau au lieu de se laisser bousiller comme des veaux à l’abattoir.
L’étouffoir résolument collé sur le cœur du problème, à savoir notre incapacité avérée à contrecarrer les visées expansionnistes islamiques dont l’Europe Occidentale constitue désormais la cible privilégiée.
Une hirondelle ne fait pas le printemps, un salafiste isolé ne fait pas non plus l’islamisation de nos vieux pays, mais l’accumulation des attaques de ce genre depuis quelques années devrait tout de même nous inciter à prendre des mesures un peu sérieuses…par exemple arrêter une bonne fois pour toutes le flux ininterrompu de « migrants » qui nous déferle quotidiennement sur la gueule.
Parce qu’évidemment ça continue de plus belles!
Les bateaux pourris, pleins à ras-bord de candidats à l’invasion, se multiplient à la limite des eaux territoriales libyennes, les appels de détresse aussi…alors nos braves marins partent les récupérer, les sauvent, jusque là rien à redire, et puis, au lieu de les déposer gentiment sur la côte africaine toute proche, leur font traverser la Méditerranée afin de les conduire en Europe où ils nous causeront les pires emmerdements.
La seule question qu’il importe de se poser c’est : « comment peut-on se montrer con à ce point-là? »
Bien malin qui pourrait apporter la réponse…
Alors oui, on nous dit qu’il s’agit de réfugiés Syriens, des femmes, des enfants…
Cependant je les trouve en grande majorité bien noirs pour des Syriens, bien couillés pour des femmes et bien grands pour des enfants!
On me racontera ce qu’on voudra, les spécimens qui prennent le train à Vintimille pour venir nous squatter les collèges parisiens ressemblent autant au classique médecin de Douma et à sa famille que l’illustre Joey Starr à Alain Delon époque Rocco et ses Frères.
Maintenant, pour tout vous dire, entre les politico-médiatiques qui nous désinforment à marche-forcée, les associations humanitaristes de merde qui aident les clandestins à nous sodomiser sans vaseline et les doctes salopards genre économiste-sociologue-gauchiard dont le leitmotiv consiste à soutenir mordicus que nous pouvons absorber tout le trop plein d’Afrique, je ne vois pas très bien comment nous pourrions nous tirer d’un pareil guêpier.
Si vous ajoutez à cela nos amis les juges du Mur des Cons, complices avérés de tout ce qui peut ressembler de près ou de loin à un musulman fanatique, comme par exemple le Tribunal Administratif de Versailles qui s’assoit sur le droit de préemption d’un maire au seul motif que ce dernier souhaitait installer un poste de police en lieu et place d’un projet de mosquée.
Dans de telles conditions le jeu apparaît tellement truqué qu’il devient inutile d’y participer, c’est cuit d’avance!
L’avenir appartient à nos amis Islamistes, ils nous feront la peau avec notre assentiment!
C’est y pas merveilleux, ça, comme baisure!
Et pour finir, bien sûr, je vous reviens deux secondes sur les péripéties à la flanc de l’histoire des Atrides-Le Pen.
Entre le père à moitié gaga, la fille complètement inféodée à son vice-président centro-pédérastique et la petite fille qui essaie de tirer son épingle du jeu en louvoyant comme un régatier dans la pétole, comment voulez vous avoir confiance.
Alors bien sûr, on va voter pour eux, qu’est-ce que vous voulez faire d’autre?
Mais bon, faudra pas s’imaginer des avenirs qui chantent ou des lendemains de lys et de rose…pour ce qui relève de la vraie solution, vous pourrez toujours vous fouiller, il n’en existe aucune!
C’est la Démocratie qui veut ça…et puis la bonne grosse connerie traditionnelle bien de chez nous aussi…enfin un mix des deux : ça ne pardonne pas!
Et comme on dit chez nos potes du Thalys : « à nous de vous faire préférer le train », pas vrai Jean-Hugues?
Allez dans la paix des Valeurs de la République!
Et merde pour qui ne me lira pas.
NOURATIN
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