Publié le 18 mai 2015 - par Caroline Alamachère
Réflexions sur l'actualité et la politique Française. Avec quelques exceptions sur le reste du monde. Immigration, invasion, colonisation, islamisation, révolution.Covid
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lundi 18 mai 2015
Marseille-Paris-Calais : la préférence étrangère au service du Grand Remplacement
« Un ‘demandeur d’asile’ c’est un type qui force ta porte, que l’Etat nourrit à tes frais tandis qu’il campe dans ton entrée, en attendant d’avoir le droit de réclamer l’égalité de jouissance de ta maison et de faire venir sa famille » (Laurent Ozon)
MARSEILLE…
Journaliste spécialisé dans l’investigation judiciaire, José d’Arrigo présentait dans le 19-20 Provence-Alpes son livre au titre à l’interrogation sonnant comme un glas « Faut-il quitter Marseille ? », ouvrage dans lequel il dénonce un « Marseille, ville défaite, capitale du laisser-aller, du laisser-faire, royaume des incapables, des bras cassés », une cité devenue le théâtre de guérillas urbaines, d’où les mœurs françaises et le parfum de Fanny ont été effacés par le départ des vrais Marseillais dépossédés au fil des décennies de leur ville.
Escartefigue était cocu par sa femme, il l’est aujourd’hui une seconde fois par les énarques du pouvoir.
La mémoire collective, qui faisait du Bar de la Marine la référence marseillaise, a laissé place à un vaste ring cosmopolite où l’on se bat à coups de sabre, pour un regard, pour un territoire colonisé, la conquête d’un trafic de cigarettes.
La Canebière n’est plus qu’un ignoble cloaque puant et sale, dépourvu de Marseillais mais rempli d’une population incertaine, crasseuse et errante, inquiétante et hostile.
Pointant du doigt les problèmes, immigration massive, clandestins, attentats, mainmise des salafistes considérant la ville comme leur califat avec leurs fatwas anti-chrétiennes, José d’Arrigo relève la présence de policiers en faction permanente devant les synagogues pour les protéger.
Alors qu’il expose les faits, la présentatrice, dont on devine avant même qu’elle ait prononcé le premier mot de sa phrase ce qu’elle va dire, l’interrompt pour lui demander s’il n’a pas l’impression de se rapprocher des thèses du Front National.
Car bien sûr, c’est là le vrai danger, le FN !
On tue à Marseille, on agresse, on se torche avec la loi, on instaure le califat, mais peu importe tout cela, c’est du FN que vous devez avoir peur !
Et la réponse arrive comme une gifle : « à Marseille, les Français les plus patriotes ce sont les Arabes intégrés. Ils n’en peuvent plus, croyez-moi, ils n’en peuvent plus des clandestins et des blédards qui gangrènent cette ville ! ».
PARIS…
Métro La Chapelle, dans le 18e arrondissement.
Un camp de plusieurs centaines de déportés s’étale.
Erythréens, Soudanais, Tchadiens, Nigériens, Gambiens, tous victimes de luttes fratricides et venus chercher en France le réconfort et la paix, la générosité légendaire des Français rompus au don de leur personne, de leur argent. Interrogés, les clandestins déclarent avoir fui la guerre dans leur pays.
Pourtant il n’y a que des hommes…
Que doit-on en conclure ?
Qu’on nous roule dans la farine ou bien que leur culture ignore qu’un homme est censé sauver prioritairement les femmes et les enfants ?
Les autorités municipales s’avoueraient dépassées par le phénomène, devant le laxisme étatique, et en seraient réduites à mandater des associations comme France Terre d’Asile ou l’association musulmane Miséricorde, trop heureuses d’avoir là une occasion de reconduire leurs juteuses subventions d’une année sur l’autre.
Cette dernière explique sur son site qu’elle agit en fonction des priorités du moment répertoriées à l’aide d’ « un agenda défini par la Grâce d’Allah », c’est-à-dire en premier lieu la Syrie et la Palestine.
Ils ne viennent pas en aide aux populations du Donbass.
Tant mieux, notez, les malheureux n’ont pas besoin d’ajouter le prosélytisme à leurs malheurs.
Après l’Allemagne, c’est la France qui accueille le plus grand nombre de réfugiés en Europe, avec plus de 60 000 demandes.
Environ 40% des demandeurs d’asile vivent en Ile-de-France.
Depuis le mois de septembre la police n’effectue plus de contrôles d’identité et la mairie a fait installer des sanitaires pour limiter la puanteur du lieu, suite à des plaintes de riverains excédés.
De plus, une fois par semaine, les services de la voirie viennent sur le campement sauvage afin de nettoyer.
Outre ce campement sauvage, d’autres clandestins ont la chance d’être pris en charge et hébergés à l’œil, contrairement aux pauvres de chez nous, ceux que l’on a coutume d’étiqueter de cet acronyme froid « SDF ».
Claude Huet a été pendant dix ans l’un d’eux. Il atteste de l’absence totale d’aide des organismes français envers les plus démunis de leur propre peuple.
Il interroge : « un père qui délaisse ses enfants pour s’occuper de ceux du voisin est-il un bon père ? »
Une vidéo fournie par le Guardian montre des dizaines de clandestins soudanais et érythréens en train de se rebeller contre la police et de caillasser une voiture de policiers complètement dépassés et incapables de gérer la situation.
On frémit de la sécurité des citoyens français avec une telle misère d’effectifs et de moyens.
Un reportage de l’émission 90’ Enquêtes diffusé sur TMC le 27 janvier 2015 montre l’effarante fuite en avant de ces bonnes âmes incapables de réaliser le danger à introduire dans notre pays des individus dont la culture et les mœurs ne peuvent être qu’une promesse d’anéantissement des nôtres.
On nous explique que des boîtes de poisson séché sont distribuées mais que, par amateurisme de la part de Salam, certains clandestins en prennent plusieurs qu’ils stockent avant de les revendre aux plus faibles pour en tirer quelques bénéfices.
Claudine, la bénévole, commence à stresser face à l’afflux de tous ces clandestins qui accourent vers son dérisoire petit break.
Là encore il n’y a que des hommes.
N’y a t-il donc pas de femmes et d’enfants à protéger des conflits au Soudan ?
Le site de Salam indique qu’il faut payer aux passeurs entre 15 et 20 000 € et que certaines familles vendent leurs biens pour réunir la somme, ce qui signifie donc que l’épouse et les enfants abandonnés sur place n’ont plus rien.
Claudine craint pour sa sécurité, semblant réaliser l’espace d’une seconde, le danger qu’elle contribue à créer par son action.
Son acolyte Michel constate, lui aussi impuissant « ils nous volent ».
Oui, ils volent la marchandise préparée bénévolement pour eux…
Ces deux là découvrent l’eau tiède, mais ils persévéreront quand même demain et après-demain, jusqu’à la noyade finale.
Complètement à côté de ses pompes, Claudine justifie : « ils ont faim ».
Une expression de panique se lit sur leur visage tandis qu’ils essaient de s’échapper en hâte face au danger qui menace, alors que quelques clandestins parviennent à pénétrer dans le break pour y récupérer les quelques denrées qui y subsistent.
Jusqu’au jour où un fait divers nous apprendra que le corps de Claudine a été retrouvé, sa tête tranchée, et qu’un communiqué du procureur, le visage grave, tentera de nous faire croire que la thèse du suicide n’est pas écartée…
La séquence suivante montre une nouvelle tournée, elle aussi prometteuse d’adrénaline : un squat de Soudanais doit être achalandé grâce à un don de conserves de raviolis halal par un supermarché de la région.
Claudine, qui se rend pour la première fois dans ce campement sauvage, balaie immédiatement toute critique potentielle d’un revers de main « chacun sa religion, c’est pas mon problème ».
A ce moment-là, la voix off prévient que « les choses ne vont pas se passer comme elle l’espère ».
Et pour cause, les raviolis froids ça ne fait pas le même effet que les raviolis chauffés.
« Il nous faut du gaz », remarque judicieusement un Soudanais.
Claudine se passe la main sur la bouche en signe de perplexité.
Elle n’avait pas pensé à ça.
Mais on ne peut pas penser à tout non plus…
Autre problème, les boîtes ont dépassé de trois mois la date limite de consommation, sachant, nous explique la voix off, qu’en réalité les raviolis peuvent être consommés jusqu’à trois ans après la date.
Mais cela les clandestins n’en ont cure.
Au Soudan les femmes préparent des produits frais, pas des conserves périmées.
La tension monte : Salam veut les empoisonner !
L’un d’eux prend la boîte et en renverse le contenu par terre avant de jeter la boîte elle-même.
Ça leur apprendra à ces imbéciles de kouffars à ne pas faire les choses comme il faut.
Il paraît que quand on a faim, on mange tout…
Il faut croire qu’ils n’ont pas si faim que cela.
Sur Youtube, les commentateurs sont ulcérés.
Un Anglo-saxon prévient : « when they become more, they will do the same with your houses ».
Claudine n’est pas très contente.
On ne gaspille pas la nourriture.
« C’est honteux ! J’ai horreur de l’image qu’ils donnent là », peste-t-elle en partant.
Car pour Claudine l’inconvenant n’est pas la mentalité de ces gens décidément bien ingrats, non, c’est l’image négative que cela renvoie devant les caméras.
Pour elle, une telle attitude est à mettre sur le compte de la dérive navrante de la société de consommation, alors qu’on nous explique par ailleurs que ces gens sont démunis dans leur pays.
Cherchez l’erreur…
Caroline Alamachère
« Tout avait été minutieusement préparé. Sacs de riz liés en palanquées, containers d’eau douce, caisses de médicaments furent transbordés en un temps record. Après quoi chacun repartit de son côté, l’armada vers le large et le Sénégal, les chalands vers le port du Cap. C’est alors que se produisit l’invraisemblable. Il ne fallut pas moins de toutes les jumelles des officiers et des journalistes, braquées ensemble sur la flotte du Gange, pour que soit admise l’impossible évidence : la flotte rejetait à l’eau tout ce qu’on venait de lui offrir ! Soudain réveillée, la fourmilière s’était animée, comme prise de folie. Sur les ponts des navires, la foule faisait la chaîne. Les sacs de riz passaient de main en main jusqu’au plongeon final dans l’océan où ils coulaient en chapelet. Par groupes d’une cinquantaine, des hommes s’acharnaient sur les containers d’eau, avec leurs épaules, avec des leviers, parvenant à les basculer l’un après l’autre dans la mer. Surnagèrent seules les caisses de médicaments, plus légères, marquant le sillage de la flotte d’un pointillé dansant. Cessa d’un coup le pointillé. Il n’y avait plus rien à jeter. A bord des chalands sud-africains, la stupeur avait ouvert des bouches qui mirent quelque temps à se refermer. A t-on jamais vu des affamés se conduire de si étrange façon ? » (Le Camp des Saints – Jean Raspail)
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