Posté le 26 mai 2015 à 13h17
Yves Daoudal a décrypté pour nous ce mensonge et ce double langage en citant notamment les propos sans ambiguïté de Natasha Bertaud, porte-parole de la Commission européenne :
Plusieurs articles font état d'une soi-disante opposition du président français et de son premier ministre à la volonté de la commission européenne d'imposer des quotas de réfugiés aux différents pays de l'UE.
Yves Daoudal a décrypté pour nous ce mensonge et ce double langage en citant notamment les propos sans ambiguïté de Natasha Bertaud, porte-parole de la Commission européenne :
"La France soutient notre proposition. Nous avons parlé avec le gouvernement français mardi, après les déclarations de Manuel Valls et de Bernard Cazeneuve, et il nous a répété qu’il était d’accord avec notre mécanisme contraignant de relocalisation des demandeurs d’asile afin de répartir l’effort entre les 28 États membres (...)
C’est manifestement le mot « quota » qui pose problème alors même qu’il ne figure pas dans nos propositions.
Il y a aussi une confusion avec l’immigration de travail"
Il y a aussi une confusion avec l’immigration de travail"
Dès le début, le Salon Beige avait signalé que cette idée de "quotas" était une initiative...française.
Philippe Carhon
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