Le 14/04/2015
Une pratique se développe en Occident dans certains courants de l’islam (chiites ou parfois sunnites). Celle du mariage temporaire.
Alors que les clients des prostituées vont sans doute bientôt être pénalement sanctionnés par une amende de 1.500 euros, une pratique se développe en Occident dans certains courants de l’islam (chiites ou parfois sunnites).
Celle du mariage temporaire.
Pour une heure, une journée, un week-end ou un mois, selon un contrat dûment établi, vous pouvez ainsi être religieusement uni à une femme.
Si vous avez des rapports sexuels avec elle, vous ne commettrez pas l’adultère (qui, dans l’islam comme dans le christianisme, est un péché).
Qu’importe que vous ayez par ailleurs une épouse, puisque vous avez, selon cette religion, droit à quatre femmes.
Évidemment, l’époux de ce contrat temporaire peut prévoir un dédommagement financier pour la dame aussitôt répudiée.
C‘est une coutume de l’islam que l’homme donne, le jour du mariage, à sa femme ou à la famille de celle-ci, une dot afin de la protéger en cas de divorce.
Imaginez, maintenant, un tribunal français devant lequel comparaît, dans quelques années, un musulman coupable d’avoir souscrit un mariage temporaire.
Que concluront les juges ?
Qu’il s’agit d’une forme de prostitution ?
J’en doute fort !
La loi de Mme Touraine sur les amours tarifées s’appliquera donc différemment selon la religion de l’homme qu’on poursuit !
Cet exemple montre que les musulmans, souvent, ne se sentent pas concernés par les lois des pays occidentaux dans lesquels ils vivent.
Pour certains, seule la charia compte !
En Angleterre, combien de femmes tombent des nues lorsqu’elles apprennent qu’elles ne sont pas légalement mariées suivant les lois anglaises avec celui qu’elles croient être leur époux.
Ce dernier a pris plusieurs femmes selon les règles de l’islam, mais une seule a eu droit au mariage civil.
Les droits de ces épouses surnuméraires sont faibles voire inexistants.
J’ai lu des interviews d’actrices musulmanes dans lesquelles ces dames indiquaient être mariées religieusement mais ne pas l’être civilement.
Pour elles, seul le passage devant l’imam est essentiel à leurs yeux !
Imaginez une catholique, une juive ou une protestante tenir de tels propos !
Le curé, le rabbin ou le pasteur qui l’aurait unie sans certificat de la mairie aurait de graves ennuis avec la justice !
Insidieusement, une cassure est apparue.
Une société parallèle s’est mise en place et personne, en France, en Europe ne s’y est opposé. Il est bien tard pour réagir.
Celle du mariage temporaire.
Pour une heure, une journée, un week-end ou un mois, selon un contrat dûment établi, vous pouvez ainsi être religieusement uni à une femme.
Si vous avez des rapports sexuels avec elle, vous ne commettrez pas l’adultère (qui, dans l’islam comme dans le christianisme, est un péché).
Qu’importe que vous ayez par ailleurs une épouse, puisque vous avez, selon cette religion, droit à quatre femmes.
Évidemment, l’époux de ce contrat temporaire peut prévoir un dédommagement financier pour la dame aussitôt répudiée.
C‘est une coutume de l’islam que l’homme donne, le jour du mariage, à sa femme ou à la famille de celle-ci, une dot afin de la protéger en cas de divorce.
Imaginez, maintenant, un tribunal français devant lequel comparaît, dans quelques années, un musulman coupable d’avoir souscrit un mariage temporaire.
Que concluront les juges ?
Qu’il s’agit d’une forme de prostitution ?
J’en doute fort !
La loi de Mme Touraine sur les amours tarifées s’appliquera donc différemment selon la religion de l’homme qu’on poursuit !
Cet exemple montre que les musulmans, souvent, ne se sentent pas concernés par les lois des pays occidentaux dans lesquels ils vivent.
Pour certains, seule la charia compte !
En Angleterre, combien de femmes tombent des nues lorsqu’elles apprennent qu’elles ne sont pas légalement mariées suivant les lois anglaises avec celui qu’elles croient être leur époux.
Ce dernier a pris plusieurs femmes selon les règles de l’islam, mais une seule a eu droit au mariage civil.
Les droits de ces épouses surnuméraires sont faibles voire inexistants.
J’ai lu des interviews d’actrices musulmanes dans lesquelles ces dames indiquaient être mariées religieusement mais ne pas l’être civilement.
Pour elles, seul le passage devant l’imam est essentiel à leurs yeux !
Imaginez une catholique, une juive ou une protestante tenir de tels propos !
Le curé, le rabbin ou le pasteur qui l’aurait unie sans certificat de la mairie aurait de graves ennuis avec la justice !
Insidieusement, une cassure est apparue.
Une société parallèle s’est mise en place et personne, en France, en Europe ne s’y est opposé. Il est bien tard pour réagir.
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