Plus de 800 policiers ont participé hier matin à un vaste coup de filet anti-terroriste mené à l’aube dans des banlieues de Sydney et Brisbane.
C’est sur un site transalpin (LaPadania.net) que l’on découvre avec intérêt l’efficacité exemplaire de l’Australie qui, contrairement à l’Italie, réussit à endiguer efficacement l’immigration clandestine venue par la mer.
L’opération appelée « Souveraineté des frontières » par le nouveau gouvernement conservateur de Canberra consiste, tout simplement, à refouler les embarcations d’immigrants vers les eaux territoriales des pays d’origine, sans les ramener sur leurs côtes, comme c’est le cas des pays européens…
Il suffisait d’y penser !
Et l’ancienne « Nouvelle-Hollande » ne lésine pas sur les moyens pour assurer la souveraineté de ses frontières : ce sont les navires de la marine australienne qui repoussent mare militari les bateaux venus le plus souvent d’Indonésie ou du Sri Lanka.
Ce retour à l’envoyeur des clandestins originaires du Soudan et de la Somalie semble avoir découragé les passeurs indonésiens.
Et l’Australie peut se féliciter que, depuis six mois, aucune embarcation clandestine n’arrive plus à atteindre les côtes australiennes.
Sans états d’âme, le nouveau Premier ministre australien, le conservateur Tony Abbott, balaye d’un revers de la main les mises en garde des Nations unies et des organisations humanitaires, l’accusant de violer la convention des réfugiés de 1951, imposant leur « non-refoulement » et leur droit à une procédure de demande d’asile.
Il affirme qu’il ne cédera à aucun « chantage moral », refusant de « laisser conduire sa politique par des gens qui arguent de la morale à mauvais escient ».
Au pays des wallabys, on le voit, on ne se cache pas la tête dans le sable, et l’on y surveille au plus près les musulmans extrémistes qui, ici comme ailleurs, veulent instaurer leur loi.
Ainsi, plus de 800 policiers ont participé hier matin à un vaste coup de filet anti-terroriste mené à l’aube dans des banlieues de Sydney et Brisbane, interpellant 15 personnes soupçonnées de préparer « des actes de violence ».
Selon la télévision publique ABC, les suspects prévoyaient d’enlever un passant dans la foule à Sydney, de l’envelopper dans un drapeau de l’État islamique et de le décapiter devant une caméra.
Ni laxisme, ni langue de bois : « Ces gens-là, je regrette de le dire, ne nous haïssent pas pour ce que nous faisons, ils nous haïssent pour ce que nous sommes et la façon dont nous vivons », a déclaré sans ambages le Premier ministre Tony Abbott.
« Ceux qui soutiennent la charia en Australie devraient perdre leur droit de vote et leurs prestations sociales. Ils devraient même plier bagages et quitter le pays », avait surenchéri de son côté, ces jours-ci, Jacqui Lambie, sénatrice emblématique de Tasmanie (située dans la zone des quarantièmes rugissants)…
Voilà une thématique qui pourrait inspirer l’émission « Thalassa » de Georges Pernoud, ou plutôt le magazine… « Faut pas rêver ».
L’opération appelée « Souveraineté des frontières » par le nouveau gouvernement conservateur de Canberra consiste, tout simplement, à refouler les embarcations d’immigrants vers les eaux territoriales des pays d’origine, sans les ramener sur leurs côtes, comme c’est le cas des pays européens…
Il suffisait d’y penser !
Et l’ancienne « Nouvelle-Hollande » ne lésine pas sur les moyens pour assurer la souveraineté de ses frontières : ce sont les navires de la marine australienne qui repoussent mare militari les bateaux venus le plus souvent d’Indonésie ou du Sri Lanka.
Ce retour à l’envoyeur des clandestins originaires du Soudan et de la Somalie semble avoir découragé les passeurs indonésiens.
Et l’Australie peut se féliciter que, depuis six mois, aucune embarcation clandestine n’arrive plus à atteindre les côtes australiennes.
Sans états d’âme, le nouveau Premier ministre australien, le conservateur Tony Abbott, balaye d’un revers de la main les mises en garde des Nations unies et des organisations humanitaires, l’accusant de violer la convention des réfugiés de 1951, imposant leur « non-refoulement » et leur droit à une procédure de demande d’asile.
Il affirme qu’il ne cédera à aucun « chantage moral », refusant de « laisser conduire sa politique par des gens qui arguent de la morale à mauvais escient ».
Au pays des wallabys, on le voit, on ne se cache pas la tête dans le sable, et l’on y surveille au plus près les musulmans extrémistes qui, ici comme ailleurs, veulent instaurer leur loi.
Ainsi, plus de 800 policiers ont participé hier matin à un vaste coup de filet anti-terroriste mené à l’aube dans des banlieues de Sydney et Brisbane, interpellant 15 personnes soupçonnées de préparer « des actes de violence ».
Selon la télévision publique ABC, les suspects prévoyaient d’enlever un passant dans la foule à Sydney, de l’envelopper dans un drapeau de l’État islamique et de le décapiter devant une caméra.
Ni laxisme, ni langue de bois : « Ces gens-là, je regrette de le dire, ne nous haïssent pas pour ce que nous faisons, ils nous haïssent pour ce que nous sommes et la façon dont nous vivons », a déclaré sans ambages le Premier ministre Tony Abbott.
« Ceux qui soutiennent la charia en Australie devraient perdre leur droit de vote et leurs prestations sociales. Ils devraient même plier bagages et quitter le pays », avait surenchéri de son côté, ces jours-ci, Jacqui Lambie, sénatrice emblématique de Tasmanie (située dans la zone des quarantièmes rugissants)…
Voilà une thématique qui pourrait inspirer l’émission « Thalassa » de Georges Pernoud, ou plutôt le magazine… « Faut pas rêver ».
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