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vendredi 24 janvier 2014

Trierweiler : «Hollande est en train de céder» selon VSD.

 
Mis à jour le 23/01/2014 à 14:26
Publié le 23/01/2014 à 11:49
REVUE DE PRESSE - La presse magazine continue à scruter l'avenir du couple présidentiel. Pour VSD comme pour Closer Valérie Trierweiler compte bien rester première dame. Colères, guerre de la communication, ces titres décrivent un climat plus que tendu.
C'est un climat de guerre froide qui règne à l'Élysée à en croire la presse magazine.

 Quinze jours après les révélations de Closer sur la liaison de François Hollande avec l'actrice Julie Gayet, l'affaire reste à la une des hebdomadaires.
 Affichant Valérie Trierweiler, Closer multiplie les titres chocs «Ils veulent la faire taire», «son séjour sous contrôle à la Lanterne», «Pendant ce temps-là, Julie Gayet fait la fête».
Le magazine, à l'origine du scandale, décrit une compagne du chef de l'État plus que jamais décidée à rester première dame.
 «Elle n'est pas prête à renoncer à son statut de first lady, ni à son compagnon.
Elle serait prête à pardonner à l'homme qui partage sa vie depuis 10 ans».
Cette réconciliation relèverait de l'exploit, suggère cependant Closer.

 
«Pour se rabibocher, il faut être deux.
 Et Valérie est toute seule.
Leurs relations sont glaciales» commente-t-il sur un ton sibyllin.
Le journal met ainsi en exergue les disputes homériques survenues entre le chef de l'État et sa compagne.
La première a eu lieu le 10 janvier lorsque François Hollande a confirmé sa liaison.
 «L'Élysée bruit encore de leur scène du ménage».
Closer comme Le Figaro démentent que des objets du mobilier national estimés à 3 millions d'euros aient été détruits, mais «Valérie Trierweiler a parcouru au pas de course le couloir qui mène vers le bureau du président avant d'y débarquer avec fracas et d'entrer dans une colère noire, ces fameuses colères qui lui valent sa réputation. Il y a eu un peu de casse».
 
 La seconde s'est déroulée lors de la visite de François Hollande à la Salpêtrière où Valérie Trierweiler était hospitalisée pour se reposer: «Il parle de l' «après» à celle qui reste officiellement sa compagne, il fera tout ce qu'il faut pour prendre soin d'elle, Valérie entre dans une colère noire, aux cris succèdent les larmes.
Elle mettra du temps à se calmer».

Volte-face de certains conseillers

Selon Closer, l'avenir de Valérie Trierweiler doit aussi se lire à l'aune de la lutte des clans des conseillers à l'Élysée.
 Une partie lui est hostile mais d'autres «ont fait volte-face» et ne plaident plus ouvertement pour une séparation, affirme l'hebdomadaire qui cite Aquilino Morelle ou Claudine Ripert-Landler, en charge de la communication, «qui se verrait bien jouer les rabibocheuseues».
 
Pour VSD , qui se demande en couverture si «Hollande est piégé?», cette perspective n'est plus aussi inimaginable qu'avant.
Un proche du chef de l'État explique: «Jusqu'ici il pensait pouvoir acter une séparation mais il vient de comprendre que ce ne serait pas si simple. Valérie compte s'accrocher. Je le connais. Il est en train de céder».
Au contraire de la journaliste de Paris Match.
Elle est plusieurs fois revenue en vain à la charge pour assister aux vœux du président le 14 janvier puis à ceux prononcés en Corrèze, quatre jours plus tard.
«Valérie souhaite un retour alors que Hollande désirait une rupture car la situation de son couple s'était dégradée depuis longtemps.
 Il y avait de réels différends et il espérait une sortie vers le haut», assure VSD qui confirme que François Hollande a passé samedi après-midi et dimanche matin à la Lanterne avec Valérie Trierweiler.
Et de poursuivre: «Entre les équipes du chef de l'État et de la première dame, la guerre fait rage.
Celui qui maîtrisera la com gagnera la partie».
 
 L'hebdomadaire sous-entend même que la journaliste aurait un moyen de pression considérable pour rester: «en un an et demi passé aux côtés du chef de l'État, elle a été témoin de petits et grands secrets de la République».

«La fin des guerrières» pour Paris Match


Quant à l'employeur de la première dame, il met à l'honneur le dernier acteur de ce triangle amoureux.
 Paris Match ouvre sur «Julie Gayet, la discrète, enquête sur le secret du président».
L'hebdomadaire dresse un portrait tendre de l'ascension de cette «fille normale» qui malgré la controverse «n'a pas quitté son quartier et travaille de chez elle par téléphone».
Paris Match publie des photos de la comédienne en train de faire ses courses et mentionne, comme Closer, la soirée entre amis organisée par l'actrice samedi.
«La famille Gayet serait soulagée de ne plus avoir à garder le secret de la relation de l'actrice et du président», révèle l'hebdomadaire qui se demande si après être «arrivé au sommet du pouvoir, le chef de l'État en a fini avec les guerrières, et s'il rêvait de repos près de l'âme sœur?».

Le Nouvel Observateur qui consacre un dossier au pouvoir de nuisance des paparazzis rapporte, lui, l'étrange entrevue entre François Hollande et le photographe Pascal Rostain.
 Le paparazzi qui avait un temps abrité les amours de François Hollande et Valérie Trierweiler a demandé au printemps à voir le chef de l'État pour discuter des rumeurs circulant sur son compte avec Julie Gayet.
 
«Aussitôt surgit Valérie Trierweiler furieuse: «Ah, qu'est-ce que tu fous là? C'est encore pour parler de Julie Gayet! Elle houspille aussi son compagnon -«T'as rien de mieux à faire» -, avant de l'embarquer à son bras», raconte-t-il.

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