Publiée le 03/06/2024
On a transformé un optimum climatique, c'est-à-dire le réchauffement cyclique du climat, profitable à l’humanité, en catastrophe coûteuse qui va mobiliser des milliards en pure perte.
A-t-on vu une aussi massive prise en charge de l'économie depuis les grandes dictatures du XXème siècle ? Revoici le Gosplan, l’organisme soviétique chargé de la planification.
Avec son ouvrage "Climat et CO2 : décryptage d'une manipulation", Jacques-Marie Moranne, ingénieur centralien, ancien alarmiste converti au réalisme, démonte un à un les arguments qui président à l'alarmisme ambiant sur la base du bon sens et des observations officielles. Les bienfaits du CO2 dépassent largement ses inconvénients. Et tout l'alarmisme ne repose finalement que sur des "Modèles" qui n'ont aucune crédibilité pour prévoir le climat dans 75 ans. Jacques-Marie Moranne démontre que la théorie médiatisée de l'effet de serre n’est pas fondée scientifiquement et que le doublement de concentration du CO2 ne saurait augmenter la température de plus d'une fraction de degré °C. Il faut donc chercher ailleurs les causes du réchauffement actuel et, de ceux comparables, qui l'ont précédé. Ce à quoi le GIEC se refuse. Le réchauffement minoéen, puis celui de l’empire romain, celui du Moyen-âge qui permit la construction des cathédrales et enfin le nôtre est un bienfait pour la végétation et l’alimentation des hommes.
La transition énergétique, qui doit conduire au Net Zéro Carbone pour 2050 est une utopie ruineuse, et la France n'a rien à y gagner et tout à y perdre.
Une stratégie d'adaptation, plus pragmatique, serait infiniment moins coûteuse et plus efficace. En réalité, il y a derrière l’impératif de la décarbonation, une volonté de contrôle social.
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