par Dr Gérard Delépine.
« Dis-moi qui te paie, je te dirai qui tu es »
Depuis deux ans et huit mois, le gouvernement et les médias aux ordres nous mentent pour nous inciter à accepter des injections expérimentales abusivement qualifiées de vaccin alors qu’il s’agit de médicaments à ARN dont les essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023.
L’un des derniers mensonges en vogue concerne les femmes enceintes qu’on trompe en prétendant1 :
« Une vaste étude canadienne… confirme que les vaccins à ARN messager contre le Covid-19 sont « sans danger » pendant la grossesse… L’étude a été menée sur 200 000 femmes enceintes canadiennes vaccinées ».
Ce pur mensonge estampillé AFP a été répété partout avec la complicité de France info, Médisite2, La Dépêche3, Elle, 20 Minutes Santé4 le quotidien du pharmacien5 et bien d’autres médias.
Existe-t-il dans ces rédactions des journalistes qui vérifient leurs sources et les données ? Sont-ils paresseux ou volontairement menteurs ? S’ils avaient fait leur travail de journaliste, ils auraient remarqué les faits suivants déjà dénoncés brillamment par Gibertie6.
L’étude7 ne porte que sur 5625 femmes enceintes vaccinées !
Car la lecture de l’article qu’ils citent montre que l’effectif réel des vaccinées est près de 40 fois inférieur à ce qu’ils annoncent !
L’étude se limite à de simples contacts par e-mails et/ou téléphoniques !
Il ne s’agit en aucun cas d’un article médical. Aucun examen clinique ni biologique n’a été réalisé. Il est heureusement douteux que les gynécologues canadiens suivent leurs patientes et l’évolution de leur grossesse par ces seuls moyens !
L’étude ne porte que sur les 7 jours post injection !
C’est quand même très court pour affirmer que les grossesses qui durent 9 mois n’ont pas été altérées par les injections et que les futurs nouveau-nés n’en ont pas souffert.
En 7 jours de suivi, ils ont quand même réussi à avoir chez les vaccinées : 4 qui ont perdu la vue, 7 incapables de marcher, 91 infections respiratoires, 1 paralysie soudaine du visage, et de nombreuses fausses couches.
Il ne s’agit pas d’un essai prospectif randomisé.
Mais d’une analyse rétrospective de cohorte dont la fiabilité scientifique est faible et la valeur probante très faible d’autant que l’effectif du groupe témoin (non vacciné) n’est que 339, chiffre totalement insuffisant pour estimer les risques et les comparer à des groupes numériquement 10 fois plus importants.
Les auteurs sont très liés à l’industrie des vaccins.
Il suffit de consulter les liens d’intérêt détaillés à la fin de l’article :
MS a été chercheur sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Moderna, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, Symvivo et VBI Vaccines.
OGV a été chercheur, co-chercheur ou panéliste expert sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer et Seqirus, en dehors du travail soumis.
JDK a été enquêteur sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Moderna et Pfizer
KAT a été enquêteur sur des projets financés par GlaxoSmithKline.
JEI a été chercheur sur des projets financés par GlaxoSmithKline et Sanofi-Pasteur.
AJM a été chercheuse sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer, Sanofi-Pasteur et Seqirus, et a reçu des honoraires pour sa participation à des conseils consultatifs d’Astra-Zeneca, GlaxoSmithKline, Medicago, Merck, Moderna, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, et pour les présentations d’Astra-Zeneca et Moderna.
GDS a été enquêteur sur un projet financé par Pfizer.
L’étude a été financée par les organismes d’État qui vivent des campagnes vaccinales et en font la promotion constante.
Ce travail a été soutenu par le financement COVID-19 Vaccine Readiness des Instituts en santé du Canada et de l’Agence de la santé publique du Canada CANVAS (numéro de subvention CVV-450980) et par le financement de l’Agence de la santé publique du Canada, par le biais du Document de référence sur la surveillance des vaccins Group et le groupe de travail sur l’immunité COVID-19.
La publication par le Lancet d’un tel torchon rappelle le précédent Lancetgate8,9,10,11
Jamais un tel article bidon n’aurait passé l’examen par un comité de lecture à l’époque où le Lancet était indépendant et que son impartialité faisait sa réputation. Le docteur Richard Horton rédacteur en chef du Lancet a d’ailleurs prévenu ses lecteurs :
« Une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse. Affligée d’études avec des échantillons réduits, flagrants, avec l’obsession de suivre les tendances d’importance douteuse à la mode, la science a pris le mauvais tournant vers les ténèbres. Les grandes compagnies pharmaceutiques falsifient ou truquent les tests sur la santé, la sécurité et l’efficacité de leurs divers médicaments, en prenant des échantillons trop petits pour être statistiquement significatifs, ou bien, pour les essais, embauchent des laboratoires ou des scientifiques ayant des conflits d’intérêts flagrants, ils doivent plaire à la compagnie pharmaceutique pour obtenir d’autres subventions ».
L’agence France presse, et les médias qui ont diffusé sans modération ce mensonge se sont comportés non pas comme des organes d’information, mais comme des propagandistes sans état d’âme d’un pseudovaccin expérimental dont les premiers résultats avérés en population réelle sont très inquiétants.
source : Docteur Nicole Delépine
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