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lundi 4 avril 2022

Crime de guerre ou grosse provocation à Bucha



Au moment où les Russes évacuent la région de Kiev pour assurer leur contrôle sur le Donbass , le gouvernement Ukrainien dénonce un crime de guerre dans la banlieue de la capitale à Bucha.

Les Russes accusent les nazis ukrainiens d’avoir liquidé les collaborateurs pro russes

Si c’est vrai, c’est terrible pour les victimes et la nouvelle montée des tensions repousse l’espoir de paix qui encore une fois passe par la reconnaissance de la neutralité de l’Ukraine , sa protection et la reconnaissance de la Crimée russe ainsi que du Donbass.

Rien n’a changé depuis 8 ans…. Tous ces morts pour tant d’aveuglement…

Les Russes démentent et il faut bien le dire , il y a de quoi douter…. En effet si crime il y a il ne leur profitera pas bien au contraire au moment où ils recherchent un négociation

 Toutes les unités russes se sont complètement retirées de Bucha le 30 mars, au lendemain de la série de pourparlers entre les représentants de la Russie et de l’Ukraine en Turquie.

Le 31 le maire de la ville confirmaitl’absence de Russes et ne parlait pas de massacre

La vidéo du 2 avril montre des cadavres dans les rues. Pourquoi n’ont ils pas été enlevés quatre jours après le départ des Russes… Manque de respect pour les cadavres, mise en scène….

Certains cadavres n’ont pas saigné comme s’ils avaient été déplacés après être morts ailleurs et bien avant

Un chef d’état,Macron, qui parle d’images de CENTAINES DE CIVILS lâchement assassinés à #Boutcha, porte une accusation très grave qui pourrait avoir de lourdes conséquences pour la population française #guerre. Ses allégations nécessitent des preuves.

 

Sur la video certains ont vu le bras se lever mais une vidéo détaillée montre qu’il s’agit soit d’une goutte sur la vitre, soit de terre, mais pas d’une main humaine

Régis de Castelnau

@R_DeCastelnau

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J’ai été horrifié par ces images. Puis j’ai tout regardé attentivement. Il y a la vidéo où un des « cadavres » bouge. Et sur les photos, les morts abattus par balle n’ont pas saigné. Cela demande vérification et confirmation.

Les Russes se sont retirés le 30 mars. Le maire de #Bucha est ravi. Quatre jours plus tard (! ! !) on découvre les cadavres dont on nous dit qu’il y en a dans tout le village. Même avec les images, ça ressemble furieusement à une mise en scène.

31 MARS, le Maire de #Bucha : »On s’est débarrassé des orques russes, aujourd’hui est un grand jour de joie, un grand tournant des forces armées pour la région de Kiev, il faut que ce soit un tournant pour l’ensemble de l’Ukraine, gloire à l’Ukraine » https://twitter.com/NewsOsservazion/status/1510013517738479619

 


Pro russes liquidés à l’arrivée des bataillons nazis après le départ des Russes?

Lat night, Sergey « Boatsman » Korotkikh, infamous Neo-Nazi & member of Azov, posted a video titled « The BOATSMAN BOYS in Bucha ». At the 6 second mark you can clearly hear the dialogue: « There are guys without blue armbands, can I shoot them? » « Fuck yeah »

À l’origine en anglais et traduit par

Tard dans la nuit, Sergey « Boatsman » Korotkikh, tristement célèbre néo-nazi et membre d’Azov, a posté une vidéo intitulée « The BOATSMAN BOYS in Bucha ». Au bout de 6 secondes, vous pouvez clairement entendre le dialogue : « Il y a des gars sans brassard bleu, je peux leur tirer dessus ? » « Putain ouais »

 

 
 

Alors que des photos de victimes sont apparues samedi dans la ville ukrainienne récemment reprise de Bucha, un haut conseiller du président ukrainien a déclaré que certains des morts en civil semblaient avoir été ligotés et exécutés. « Les corps de personnes aux mains liées, qui ont été abattues par des soldats gisent dans les rues », a déclaré le conseiller, Mykhailo Podolyak, sur Twitter, insérant un émoji du drapeau russe devant les soldats. « Ces gens n’étaient pas dans l’armée. Ils n’avaient pas d’armes. Ils ne représentaient aucune menace. Il a inclus une image d’une scène également photographiée par l’Agence France-Presse, montrant trois corps sur le bord d’une route, l’un avec les mains apparemment liées dans le dos. Le New York Times n’a pas été en mesure de vérifier de manière indépendante l’affirmation de M. Podolyak selon laquelle des personnes avaient été exécutées.

Le bureau des droits de l’Homme des Nations unies a déclaré que son personnel sur le terrain n’avait pas encore été en mesure de vérifier ces affirmations.

« Nous sommes très préoccupés par les photos et les vidéos disponibles, y compris les images de corps avec les mains liées dans le dos », a-t-il cependant ajouté.

Il n’a dans le même temps pas exclu que « des corps de soldats ukrainiens ou russes tués pendant les hostilités » figurent parmi les « quelque 300 cadavres que les autorités de la ville disent avoir retrouvés et enterrés ».

« Les civils décédés de causes naturelles, de crises cardiaques ou d’autres problèmes de santé déclenchés par le stress et le manque d’accès aux médicaments et à l’aide médicale au cours du mois dernier, pourraient également faire partie des personnes retrouvées mortes dans les rues de la ville », a-t-il ajouté.

Mais compte tenu de la possibilité que des crimes de guerre aient été commis, l’ONU a estimé qu’il était important « d’exhumer et d’identifier tous les corps » afin d’établir les causes exactes de décès.

« Il est également important de prendre toutes les mesures pour assurer la préservation des preuves », a souligné l’ONU.

Des vidéos d’abus de prisonniers de guerre russes par l’Ukraine « crédibles » équivaudront à un crime de guerre: HRW

Le 3 avril, Human Rights Watch a déclaré que les vidéos d’éventuels abus de prisonniers de guerre russes par les forces ukrainiennes sont suffisamment crédibles pour nécessiter une enquête efficace. Il a également répété que, s’ils étaient confirmés, les abus constitueraient un crime de guerre. L’Ukraine devrait garantir une « enquête effective » sur les allégations d’abus commis par des combattants ukrainiens sur des prisonniers de guerre russes, a déclaré Human Rights Watch.

« Le fait de frapper et de tirer sur des combattants capturés dans leurs jambes constituerait un crime de guerre », a averti HRW, ajoutant que l’Ukraine doit démontrer qu’elle est disposée à prévenir et à punir les violations graves du droit international humanitaire.

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