Elle a 19 ans, habite Annemasse et se fait appeler Nadine pour garder l’anonymat.
Nous sommes en contact avec la journaliste Graziella Delaroche qui l’a interviewée. Son témoignage ci-dessous, a été diffusé dans le quotidien Le Dauphiné Libéré d’Annemasse, en Haute-Savoie, dimanche 10 avril 2022, et comptait déjà jeudi 14 près de 100’000 vues, lesquelles ne font que grimper d’heure en heure. Ce qui montre l’intérêt des lecteurs pour ce sujet encore peu relaté par les médias. Cela souligne le courage de la journaliste et de la rédaction qui a publié son article.
Nadine a reçu une injection Pfizer en août 2021 pour entrer en 1ère année à la faculté de médecine de Grenoble. En juin 2021, Le Dauphiné Libéré relatait que plusieurs personnes avaient fait un malaise suite à leur injection covid dans ce même centre Martin-Luther-King d’Annemasse, pour conclure à des « malaises vagaux à cause de la chaleur… »
« Pas de souci, c’est juste un peu de stress… »
Nadine a elle aussi eu un malaise tout de suite après, on lui a dit que c’était le stress… Quatre jours plus tard elle refait une syncope, qui se reproduit 3 à 4 fois par semaine depuis ! Ce qui signifie qu’elle perd totalement connaissance et tombe subitement « comme une pierre », ce qui est lui déjà arrivé dans des escaliers.
Sa mère craint qu’elle se blesse gravement la tête lors d’une prochaine chute. Comment continuer de vivre dans de telles circonstances ?!De plus, à l’instar de nombreuses femmes qui viennent de témoigner au Sénat français, ses menstruations se sont déréglées et peuvent durer jusqu’à 3 semaines ! Elle souffre également d’une intolérance au soleil, qui lui a provoqué des cloques, un problème qu’elle n’avait jamais eu auparavant.
Elle souhaite que la responsabilité des personnes qui vaccinent ou imposent le vaccin soient évoquée et prévenir un maximum de monde que ces injections ne sont pas sans risques. A Genève, un cardiologue suisse lui a confirmé que ses maux sont bien les effets secondaires de ces injections.
Double violence: les effets graves et le déni
Comme en témoignent les victimes dans le récent documentaire « Effets
indésirables, la face cachée des vaccins », elles font face à une
« double violence ». Il y a d’abord le drame pour tous ceux qui
souffrent dans leur chair au quotidien des suites de ces injections
covid, ou pour les familles qui ont eu la douleur de perdre un proche
dans ce contexte.
Il y a ensuite la réaction de scepticisme de certains médecins, alors
même que l’on n’a jamais constaté autant d’effets indésirables graves et
de morts suite à un « vaccin ».
Une enfant tombe dans le coma après avoir mangé une pizza Buitoni et le produit est retiré du marché. Mais dans le cas des injections géniques contre le Covid, on constate un nombre anormalement élevé de morts, enfants comme adultes, et d’effets indésirables graves… et pourtant les autorités sanitaires continuent à vacciner à tour de bras. D’aucuns attribuent ce paradoxe à la toute-puissance des lobbies pharmaceutiques sur les politiques de santé.
La parole se libère
Mais peu à peu la parole se libère. Tôt ou tard les laboratoires concernés, les Etats, et tous ceux qui ont contribué à forcer de larges secteurs de la société à recevoir ces injections pour pouvoir continuer à travailler, étudier, voyager, rester en maison de retraite, entre autres, devront en répondre devant la justice. De nombreuses plaintes sont actuellement en cours.
- A voir sur Covidhub : « Effets indésirables : la face cachée des vaccins » : un documentaire fouillé qui donne la parole aux victimes.
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