© Stephane Mahe Source: Reuters
Jean Lassalle au 71ème congrès annuel des fermiers, Brest, mars 2017, illustration
«Qu'est-ce qui a changé en six mois ? Qu'est-ce qui a changé en huit jours, pour aller frapper avec [...] le président Trump ? Qu'est-ce qui s'est passé pour que les Anglais nous retrouvent, par hasard, en plein Brexit ? Qu'est-ce qui s'est passé pour qu'on parte avec l'Arabie saoudite, dont chacun sait le rôle qu'elle a eu dans l'émergence de Daesh et d'al-Nosra?», s'est-il interrogé.
Et le député du groupe Les Résistants d'ajouter, ironique : «La France va le [Bachar el-Assad] frapper très courageusement au moment où il finit de libérer son pays.»
Puis, Jean Lassalle déplore l'attitude de l'actuel locataire de l'Elysée : «Je ne me reconnais pas du tout dans les décisions de Monsieur Macron, que je désapprouve totalement. Je retrouve le pire visage de la France, aujourd'hui. J'ai honte, profondément.»
«La France, hélas, paiera les conséquences des décisions d'un homme irréfléchi, qui a voulu se faire valoir. Malheureusement, je crains fort que nous n'en payions le prix du sang dans quelques mois, peut-être un petit peu plus tard», a encore prévenu le candidat malheureux à la dernière élection présidentielle.
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