— par Francesca de Villasmundo — 27 juin 2017
A Vintimille, ville italienne frontalière avec la France, un groupe d’activistes Allemands guide plus de 400 clandestins Soudanais afin qu’ils passent le confins.
Vintimille, c’est un Calais italien en modèle réduit : le même chaos migratoire, le même camp de fortune érigé dans les détritus, la saleté, les chiffons, l’anarchie et la violence, le même désir effréné chez les clandestins de passer de l’autre côté de la frontière, la même aide de la part de militants d’extrême-gauche Allemands ou autres, haineux envers leur propre peuple, et venus participer à la submersion du Vieux Continent.
Les immigrés remontent le Roja en se dirigeant vers la frontière.
Avant ils étaient campées sur les rives du fleuve devenu un véritable dépotoir, maintenant ils se cachent dans les bois autour de Vintimille.
Ils veulent éviter ainsi l’évacuation par les forces de police après que le maire de Vintimille a pris une ordonnance de nettoyage des berges du fleuve.
Avant ils étaient campées sur les rives du fleuve devenu un véritable dépotoir, maintenant ils se cachent dans les bois autour de Vintimille.
Ils veulent éviter ainsi l’évacuation par les forces de police après que le maire de Vintimille a pris une ordonnance de nettoyage des berges du fleuve.
Environ 400 d’entre eux, la nuit dernière ont laissé leur campement et, conduits par les activistes Allemands, ont essayé de passer en France.
Quelle impudence !
La France et l’Europe n’ont strictement aucun devoir envers des clandestins, débarqués illégalement sur le territoire italien, si ce n’est de garantir les droits et la sécurité de leurs propres concitoyens.
Que ces immigrés si sûrs d’eux-mêmes aillent donc revendiquer leurs droits chez eux et non pas chez nous.
La France et l’Europe n’ont strictement aucun devoir envers des clandestins, débarqués illégalement sur le territoire italien, si ce n’est de garantir les droits et la sécurité de leurs propres concitoyens.
Que ces immigrés si sûrs d’eux-mêmes aillent donc revendiquer leurs droits chez eux et non pas chez nous.
« Nous sommes ici depuis des jours et des jours, semaines, mois, se plaint un Soudanais. Nous vivons au bord du fleuve parce que dans le camp de la Croix Rouge il n’y a pas de place pour tous. Certains d’entre nous ont tenté au moins une cinquantaine de fois de passer la frontière mais la police française nous a toujours repoussés. Aucun d’entre nous ne veut rester en Italie : aujourd’hui nous voulons réussir à rejoindre la France pour avoir une vie qui soit plus digne. »
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