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jeudi 15 septembre 2016

Migrants de Calais : on dirait que la France se rebelle…




Le 15/09/2016
Isabelle Surply


« Nous sommes en 2016 après Jésus-Christ. Toute la Gaule est occupée… Toute ? Non ! Plusieurs petits villages d’irréductibles Gaulois résistent encore et toujours à l’envahisseur apatride… »

Souvenez-vous, l’année dernière, d’une commune de la Loire qui a manqué de peu d’être le théâtre d’une invasion de clandestins au sens propre.
Souvenez-vous, 150 migrants allaient débarquer à Saint-Thurin, bourgade ligérienne de 100 habitants : délirant ratio.
 La fronde s’est levée et tout le monde est monté au créneau.
Le voile s’est levé (et non le burkini, de fait) sur ce qui devait se faire dans la plus grande discrétion.

Une fois n’est pas coutume, la Loire est encore visée, et il semble — vu la taille de l’article de presse — que la commune et l’État s’imaginent pouvoir faire avaler une nouvelle couleuvre aux habitants du roannais sans faire de vague… en catimini. 100 migrants de Calais dans un centre de vacances à Saint-Denis-de-Cabanne ?
 C’est hors de question !

Pour Saint-Thurin, le ratio était irresponsable, alors l’État s’est sûrement dit qu’il fallait la jouer plus fine, maintenant que le peuple s’est réveillé.
 Car oui, c’est un problème quand le peuple se réveille.


Par conséquent, les politiques en place vont tenter de continuer à répartir l’immigration de masse par petites doses homéopathiques.
C’est-à-dire chercher à disperser, partout en France, de petites quantités de migrants, dans des communes qui n’oseront pas faire d’histoire.
 Ni vu ni connu.
Pas d’annonce en fanfare, pas d’article de presse, pas de tapage médiatique.
 On leur refile le bébé, qu’ils se débrouillent !

Outre les manières parfaitement scandaleuses de l’imposition de ce vivre ensemble sans consultation du peuple, la commune s’imagine faire croire aux habitants que leurs invités ne resteront que quelques mois.
 La bonne blague !
On se croirait à Forges-les-Bains où la durée provisoire, chez eux, est de quatre ans !
 Seulement, le provisoire qui dure, les Français connaissent.
 Et personne n’oubliera que c’est ainsi que tout a commencé à Calais…

Finalement, les migrants ne sont pas encore arrivés à Saint-Thurin ; avant, ils feront étape à Boën-sur-Lignon ; à Allex, cela risque d’être compliqué ; à Forges-les-Bains, on n’en parle plus : le centre d’accueil a brûlé.

On dirait bien que la France se rebelle…

Par Toutatis, on ne se laissera pas faire !

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