Le 26/09/2016
Guy Millière
Le malaise qu’elle a connu le 11 septembre a révélé au grand jour ce que son entourage s’est efforcé de dissimuler pendant trop longtemps.
Dans les grands médias français, les articles anti-Trump se succèdent.
Ces derniers temps, néanmoins, l’inquiétude vient poindre, et des questions commencent a émerger : et si Trump pouvait gagner ?
Et si Hillary allait perdre ?
Depuis le malaise de Hillary lors des cérémonies du 11 septembre, et la baisse très nette de Hillary dans les sondages, l’inquiétude laisse place à un début de panique.
Chez ceux qui incarnent la bien-pensance à la française, un milliardaire qui ne se dit pas de gauche est nécessairement un imbécile et un salaud, et une femme qui appartient depuis des décennies à la nomenklatura américaine est obligatoirement admirable.
Il importe, néanmoins, de regarder la réalité en face.
Donald Trump n’est pas un imbécile : il mène remarquablement sa campagne depuis le commencement et montre un sens aigu de la stratégie.
Ce n’est pas, non plus, un salaud, et ceux qui ont fouillé les poubelles pour trouver de quoi le salir ont peu d’éléments concrets à brandir.
Hillary Clinton, elle, n’est pas admirable, sinon, peut-être par sa ténacité, digne d’un pitbull affamé. Elle est sans aucun doute le candidat le plus corrompu et le plus dépourvu de scrupules à s’être présenté à une élection présidentielle américaine depuis longtemps.
Des journalistes d’investigation dignes de ce nom et désireux d’informer vraiment leurs lecteurs en France auraient dû s’intéresser, depuis des mois, aux pratiques véreuses de la fondation Clinton, ou à ce qui a conduit le directeur du FBI à accuser Hillary Clinton d’« extrême négligence ».
Donald Trump est porté par un immense élan de colère, d’espoir et d’attachement aux valeurs essentielles de l’Amérique et de la civilisation occidentale.
Hillary Clinton veut le pouvoir, et achever la transformation radicale de l’Amérique enclenchée par Barack Obama.
Donald Trump peut gagner, n’en déplaise aux « bien-pensants ».
Hillary Clinton peut perdre et ne pas être présidente.
Il serait même très souhaitable qu’elle perde : non seulement parce qu’elle est corrompue et sans scrupules, mais aussi parce qu’elle est malade.
Le malaise qu’elle a connu le 11 septembre a révélé au grand jour ce que son entourage s’est efforcé de dissimuler pendant trop longtemps.
Tout ou presque indique qu’elle pourrait avoir la maladie de Parkinson, et que si elle entrait à la Maison-Blanche, d’autres qu’elles gouverneraient à sa place, ce qui ferait que, même élue, elle ne serait pas présidente.
Les bien-pensants balaieront les évidences et parleront de théories de la conspiration, je leur donne
rendez-vous dans quelques mois, quand des dossiers médicaux transparents seront publiés.
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