Le 30/08/2016
Yann Vallerie
Notre identité à nous, Européens, ne se résume pas administrativement à une carte plastifiée avec une photo.
Ce lundi 29 août, la presse nous apprend :
– Que le restaurateur de Tremblay, qui avait refusé de servir dans son restaurant des femmes voilées, a dû déménager, avec sa famille, par mesure de sécurité.
Il venait d’être menacé par de jeunes musulmans venus lui demander, avec virulence, des comptes sur les propos qu’il avait tenus dans une vidéo enregistrée par les deux femmes éconduites.
– Que la famille maghrébine qui avait tenté de privatiser une plage à Sisco en Corse, avant d’agresser des Corses – entraînant une réaction virile des locaux -, avait dû, elle aussi, quitter la Corse précipitamment.
Ces deux événements n’ont aucun lien, ils sont cependant un symbole.
Celui d’un apartheid, d’une séparation naturelle qui va se mettre en place dans les prochaines années entre les différentes communautés qui peuplent désormais l’Hexagone.
Hormis des minorités surprotégées ou aisées, plus personne n’a envie de « vivre ensemble ».
Les musulmans veulent vivre selon les préceptes de leur religion.
Les Chinois veulent continuer à vivre en sécurité dans les quartiers qu’ils dominent économiquement et démographiquement.
Les Africains font de même.
Et les Blancs de France commencent à prendre conscience, petit à petit, qu’ils sont en train de devenir, dans leur pays d’origine, une « communauté comme les autres ».
Communauté qui est déjà minoritaire dans plusieurs villes de banlieue ; la démographie aidant, elle devrait l’être rapidement dans les années à venir dans des cités comme Marseille, Paris, Lyon, Lille …
Et les Blancs de l’Hexagone réagissent, petit à petit, comme à Sisco, où ils ne laissent plus les leurs se faire agresser en toute impunité.
Comme à Tremblay, où ils n’acceptent plus certaines traditions dans leurs entreprises, avant toutefois de devoir faire profil bas sous la pression démographique, religieuse et ethnique.
Et les Blancs de France quittent petit à petit les grandes villes pour rejoindre une France périphérique, une France qui leur ressemble encore ethniquement.
Que nous réserve l’avenir ?
Une révolte des « Gaulois » qui, encore en majorité, prendraient rendez-vous avec l’Histoire pour chasser hors de leurs terres des populations qui n’y ont jamais été invitées, si ce n’est par les décideurs économiques ?
Scénario peu probable, mais l’imprévu dans l’Histoire …
Le pouvoir central à Paris ne pourra bientôt plus empêcher les communautés de s’organiser comme bon leur semble.
Il n’empêchera pas la population de refuser l’installation d’un commerce halal dans la Creuse, comme il n’empêche déjà pas aujourd’hui la fermeture, irrémédiable, des boucheries traditionnelles à Roubaix.
Le pouvoir central ne pourra plus mandater des préfets zélés, pour aller expliquer à ces Gaulois qui auront fui l’islamisation et l’africanisation qu’il faut qu’ils en acceptent, de nouveau, dans leurs refuges.
Tout comme il ne pourra plus imposer l’organisation d’une Gay Pride à La Courneuve ou dans les quartiers nord de Marseille.
Il ne le pourra plus, à moins de vouloir déclencher une guerre civile en France.
Si nous voulons éviter la guerre, alors séparons-nous, reprenons en main nos patries charnelles et que « La République » garde ses nouveaux protégés dans ses grandes métropoles perdues.
Notre identité à nous, Européens, ne se résume pas administrativement à une carte plastifiée avec une photo.
Et si vous voulez nous la prendre, il va falloir vous battre !
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