Le 19/08/2016
19 août 2016 | Jean-Yves Le Gallou
Jean-Yves Le Gallou, essayiste
« Vivre ensemble », c’est l’injonction politiquement correcte pour faire accepter aux Français de vivre dans une société multiraciale et multiculturelle.
Seulement voilà : le « vivre-ensemble » avec l’islam est impossible. Pour une raison simple : le « vivre-ensemble » exige la réciprocité dans les relations (le don/le contre-don) et l’islam ignore la réciprocité.
Ainsi, si vous invitez un pieux musulman chez vous il sera courtois de ne pas lui proposer du cochon et de l’alcool.
Mais si vous êtes invité chez lui vous n’aurez pas d’autre solution que de manger halal.
Lorsqu’une union rapproche un homme et une femme de confessions différentes, chacun peut garder sa religion ou l’un ou l’une adopter la religion de l’autre.
Mais un non-musulman qui veut épouser une musulmane doit se convertir au préalable, tout comme la non-musulmane qui voudrait épouser un musulman.
Avec l’islam la conversion est toujours à sens unique.
Tout comme l’instruction religieuse des enfants.
C’est l’islam qui impose sa loi !
Il en va de même pour la vêture des femmes : l’Européen individualiste et tolérant sera tenté d’accepter, au nom des libertés individuelles, le voile islamique, la burka et le burkini, sans voir que le voile islamique rabaisse au statut de proies les femmes habillées plus légèrement.
Le voile et la minijupe ne sont pas compatibles, comme on le voit dans les quartiers islamisés.
Le burkini et le bikini ne sont pas davantage compatibles, comme on l’a vu sur les plages corses. Tolérer l’expansion des mœurs musulmanes c’est, à terme, renoncer à notre mode de vie.
L’Orient musulman et l’univers européen s’opposent radicalement sur la conception des rapports hommes/femmes comme sur la représentation de la figure ou du corps humain.
Dans une société urbaine policée chacun se préoccupe du bien-être de son environnement.
Il est d’usage, quand on organise une fête amicale ou familiale, de prévenir son voisinage et de limiter le bruit produit tant dans l’intensité que dans la durée.
Mais un maire qui a voulu rappeler ces règles de bon sens (et de droit sur le tapage nocturne) lors du ramadan s’est vu accusé d’ « islamophobie ».
Le carême catholique est un choix individuel qui ne s’impose pas aux autres ; le ramadan est une fête collective que chacun doit pratiquer ou subir pendant un long mois lunaire.
Le crime de Saint-Etienne-du-Rouvray est emblématique des relations entre l’islam et le catholicisme.
Dans un esprit œcuménique le bon curé avait proposé un terrain à côté de l’église pour construire une mosquée.
Démographie et ardeur militante ont fait le reste : Saint-Etienne-du-Rouvray est devenue une commune à majorité musulmane, terre d’islam, en quelque sorte, d’où il est logique, comme en Orient musulman, d’évincer les catholiques : l’égorgement du prêtre par des terroristes de l’Etat Islamique n’est rien d’autre que la traduction symbolique de ce constat.
Encore une fois l’islam ignore la réciprocité : le Coran reconnaît la terre d’islam où la loi islamique (la charia) doit d’appliquer, et la terre de la guerre où le « djihad », sous une forme ou sous une autre, doit être mis en œuvre.
Le Coran enseigne le combat contre les autres religions, non le respect mutuel.
En conflit partout dans le monde – contre les chrétiens, les bouddhistes, les hindouistes, les païens, les animistes – l’islam ignore l’œcuménisme, la tolérance et le dialogue avec les autres.
Il n’y a pas de « vivre-ensemble » possible avec l’islam.
La résistance est la seule alternative à la soumission.
Vivent les Corses !
« Vivre ensemble » : telle est l’ardente obligation que la propagande officielle veut imposer aux Français ! Discours politiques et associatifs, chartes d’entreprise, (dés)informations médiatiques, séries télévisées, films, publicités : tout doit y concourir, tout y concourt !
« Vivre ensemble », c’est l’injonction politiquement correcte pour faire accepter aux Français de vivre dans une société multiraciale et multiculturelle.
Seulement voilà : le « vivre-ensemble » avec l’islam est impossible. Pour une raison simple : le « vivre-ensemble » exige la réciprocité dans les relations (le don/le contre-don) et l’islam ignore la réciprocité.
Ainsi, si vous invitez un pieux musulman chez vous il sera courtois de ne pas lui proposer du cochon et de l’alcool.
Mais si vous êtes invité chez lui vous n’aurez pas d’autre solution que de manger halal.
Lorsqu’une union rapproche un homme et une femme de confessions différentes, chacun peut garder sa religion ou l’un ou l’une adopter la religion de l’autre.
Mais un non-musulman qui veut épouser une musulmane doit se convertir au préalable, tout comme la non-musulmane qui voudrait épouser un musulman.
Avec l’islam la conversion est toujours à sens unique.
Tout comme l’instruction religieuse des enfants.
C’est l’islam qui impose sa loi !
Il en va de même pour la vêture des femmes : l’Européen individualiste et tolérant sera tenté d’accepter, au nom des libertés individuelles, le voile islamique, la burka et le burkini, sans voir que le voile islamique rabaisse au statut de proies les femmes habillées plus légèrement.
Le voile et la minijupe ne sont pas compatibles, comme on le voit dans les quartiers islamisés.
Le burkini et le bikini ne sont pas davantage compatibles, comme on l’a vu sur les plages corses. Tolérer l’expansion des mœurs musulmanes c’est, à terme, renoncer à notre mode de vie.
L’Orient musulman et l’univers européen s’opposent radicalement sur la conception des rapports hommes/femmes comme sur la représentation de la figure ou du corps humain.
Dans une société urbaine policée chacun se préoccupe du bien-être de son environnement.
Il est d’usage, quand on organise une fête amicale ou familiale, de prévenir son voisinage et de limiter le bruit produit tant dans l’intensité que dans la durée.
Mais un maire qui a voulu rappeler ces règles de bon sens (et de droit sur le tapage nocturne) lors du ramadan s’est vu accusé d’ « islamophobie ».
Le carême catholique est un choix individuel qui ne s’impose pas aux autres ; le ramadan est une fête collective que chacun doit pratiquer ou subir pendant un long mois lunaire.
Le crime de Saint-Etienne-du-Rouvray est emblématique des relations entre l’islam et le catholicisme.
Dans un esprit œcuménique le bon curé avait proposé un terrain à côté de l’église pour construire une mosquée.
Démographie et ardeur militante ont fait le reste : Saint-Etienne-du-Rouvray est devenue une commune à majorité musulmane, terre d’islam, en quelque sorte, d’où il est logique, comme en Orient musulman, d’évincer les catholiques : l’égorgement du prêtre par des terroristes de l’Etat Islamique n’est rien d’autre que la traduction symbolique de ce constat.
Encore une fois l’islam ignore la réciprocité : le Coran reconnaît la terre d’islam où la loi islamique (la charia) doit d’appliquer, et la terre de la guerre où le « djihad », sous une forme ou sous une autre, doit être mis en œuvre.
Le Coran enseigne le combat contre les autres religions, non le respect mutuel.
En conflit partout dans le monde – contre les chrétiens, les bouddhistes, les hindouistes, les païens, les animistes – l’islam ignore l’œcuménisme, la tolérance et le dialogue avec les autres.
Il n’y a pas de « vivre-ensemble » possible avec l’islam.
La résistance est la seule alternative à la soumission.
Vivent les Corses !
Jean-Yves Le Gallou18/08/2016
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