Le 17/04/2016
Ces hommes censés fuir la guerre semblent l’importer dans notre pays.
Nous assistons à l’ensauvagement progressif de la France.
Progressif à l’échelle de nos vies mortelles, fulgurant à l’échelle de l’Histoire.
Sous les effets conjugués du laxisme et de l’immigration massive, la tiers-mondisation du pays n’est plus désormais le seul « fantasme » de Jean Raspail et Louis Pauwels, vilipendés en 1985 pour avoir osé jouer les Cassandre avec une certaine prescience, mais un phénomène observable sur lequel nous n’avons, pour lors, aucune influence.
Les exemples prouvant cet ensauvagement sont multiples, il faudrait un véritable almanach pour les recenser.
Deux d’entre eux ont attiré mon attention cette semaine ; ils sont éminemment révélateurs.
Jeudi soir, deux « rixes » sont survenues sous la station du métro aérien Stalingrad à Paris.
Depuis le début du mois de mars, des centaines de « migrants », originaires de plusieurs régions du monde (Érythrée, Soudan ou bien encore Afghanistan), campent à cet endroit.
La cohabitation est difficile entre ces migrants aux origines ethnoculturelles variées, mais tout sauf européennes.
Inévitablement, des tensions se font fait jour pour le contrôle du territoire, des trafics, la domination d’une communauté.
Comme le disait le philosophe anglais Thomas Hobbes : « À l’état de nature, l’homme est un loup pour l’homme (…) » Livrés à eux-mêmes, sans règles, sans menaces de sanctions ou d’expulsions, les migrants sont revenus à l’état de nature.
Au cœur de cet inframonde barbare, la loi est la force.
D’où ces bagarres de grande ampleur.
Une vidéo diffusée par le journal Le Parisien en témoigne : jets de palettes, hurlements monstrueux, coups de bâtons…
Ces hommes censés fuir la guerre semblent l’importer dans notre pays.
La brigade anticriminalité de nuit (BAC N) en a d’ailleurs fait les frais, accueillie par une volée de projectiles lancés par un migrant ivre.
Les riverains sont sous le choc, une habitante du quartier déclarait ainsi au Parisien : « Jamais il n’y avait eu de violences, jusqu’à présent. Là, c’était vraiment impressionnant. »
La crise migratoire amène au milieu de la capitale ce que les habitants des banlieues perdues connaissaient déjà : la violence, l’arbitraire de la rue, le chaos des ensembles multiculturels qui ne font pas société.
Les Parisiens peuvent aussi enfin observer ce que signifie l’impuissance d’un État qui a renoncé à sa souveraineté, à son pouvoir d’agir.
En effet, le 30 mars dernier, Bernard Cazeneuve et Anne Hidalgo annonçaient le démantèlement du camp.
Quinze jours plus tard, les envahisseurs reprenaient leurs droits, installant matelas et tentes de fortune.
L’autre cas qui a retenu mon attention concerne une jeune fille, une très jeune fille.
Sandra, âgée de 12 ans, a été littéralement torturée par des « camarades » à la sortie de son collège à Créteil, en banlieue parisienne.
À la sortie des classes, plusieurs jeunes filles de son âge lui ont demandé la somme de 170 euros.
Elle n’avait pas cette somme.
Un déchaînement de violence d’une intensité sans nom s’est alors abattu sur la collégienne, menacée à l’aide d’un couteau de boucher : brûlures de cigarettes, lacérations, coups de genoux au visage, humiliations (les tortionnaires se sont filmées en train de lui uriner dessus et l’ont forcée à voler dans des magasins)…
Laissée pour morte, à moitié nue sous une voiture, il lui restait à peine la force nécessaire pour rentrer au domicile parental.
Ce cas sinistre montre une autre facette de l’ensauvagement généralisé.
Quel monde laisserons-nous à notre descendance ?
Une France ruinée économiquement, vidée de son peuple, oublieuse de sa culture, envahie ?
Notre pays est gouverné de l’extérieur, mais, avant tout, il s’effondre de l’intérieur.
chronomètre tourne…
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