Traduction du texte original: Turkey: The Business of Refugee Smuggling, Sex Trafficking
Ils proposent une « dot » de 2000 à 5000 livres turques (500 à 1550 euros), ce qui représente une « somme énorme » pour une famille syrienne pauvre.
Les trafiquants classent les femmes en fonction de leur âge.
De douze à seize ans, ce sont des « pistaches » ; de dix-sept à vingt ans, elles deviennent des « cerises » ; puis des « pommes » entre vingt - vingt-deux ans ; et au-delà, il s'agit de « pastèques ». -
Rapport de l'association turque Non à la prostitution enfantine, à la pornographie et à la traite sexuelle des enfants (ECTPA)
De nombreux musulmans ont un problème avec la culture occidentale, quand ce n'est pas une franche aversion pour elle.
Nombreux sont également ceux qui se proposent d'importer en Europe cette culture de l'intimidation, du viol et de la violence qu'ils ont pourtant fui.
Les pays arabes riches n'acceptent pas de réfugiés en dépit de l'aide désespérée dont leurs frères et sœurs musulmans ont besoin.
Les populations de la zone savent que les demandeurs d'asile apporteraient avec eux leurs problèmes économiques et sociaux.
Pour de nombreux musulmans comme ces Saoudiens riches et âgés, l'achat de fillettes syriennes en Turquie, Syrie ou Jordanie est le moyen le plus simple de se fournir en esclaves sexuelles.
Lire la suite: gatestoneinstitute.org
Des criminels affirment aux familles que leur fille aura une vie meilleure en Turquie.
Ils proposent une « dot » de 2000 à 5000 livres turques (500 à 1550 euros), ce qui représente une « somme énorme » pour une famille syrienne pauvre.
Les trafiquants classent les femmes en fonction de leur âge.
De douze à seize ans, ce sont des « pistaches » ; de dix-sept à vingt ans, elles deviennent des « cerises » ; puis des « pommes » entre vingt - vingt-deux ans ; et au-delà, il s'agit de « pastèques ». -
Rapport de l'association turque Non à la prostitution enfantine, à la pornographie et à la traite sexuelle des enfants (ECTPA)
De nombreux musulmans ont un problème avec la culture occidentale, quand ce n'est pas une franche aversion pour elle.
Nombreux sont également ceux qui se proposent d'importer en Europe cette culture de l'intimidation, du viol et de la violence qu'ils ont pourtant fui.
Les pays arabes riches n'acceptent pas de réfugiés en dépit de l'aide désespérée dont leurs frères et sœurs musulmans ont besoin.
Les populations de la zone savent que les demandeurs d'asile apporteraient avec eux leurs problèmes économiques et sociaux.
Pour de nombreux musulmans comme ces Saoudiens riches et âgés, l'achat de fillettes syriennes en Turquie, Syrie ou Jordanie est le moyen le plus simple de se fournir en esclaves sexuelles.
Lire la suite: gatestoneinstitute.org
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