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dimanche 3 avril 2016

Le témoignage d’une travailleuse humanitaire en Turquie sur les « réfugiés »


Une travailleuse humanitaire des Nations Unies en Turquie a exposé au grand jour la nature violente et meurtrière des envahisseurs – dont un cas particulièrement horrible où un syrien a égorgé toute une famille avant de se rendre en Europe.

La travailleuse humanitaire – qui a depuis démissionné, horrifiée – a produit un rapport qu’un journal britannique, le Daily Express, a obtenu en exclusivité.
Selon le Daily Express (en), l’ancienne employée de l’ONU travaillait sur « la ligne de front de la crise des réfugiés en Turquie » et son rapport raconte les « horreurs qui lui ont fait quitter son emploi ».
L’affaire la « plus bouleversante » de sa période comme « conseillère » travaillant pour l’ONU en Turquie était, rapporte le Daily Express, quand elle a « découvert une famille entière assassinée de sang froid par un réfugié qui s’est ensuite enfui vers l’Europe ».
Selon son rapport, elle est tombée sur une « maison pleine de gens égorgés, enfants inclus ».
Elle a déclaré que le tueur était un réfugié syrien qui avait « tout pris avant de se diriger à l’Ouest », vers l’Europe.

Dans une autre « expérience terrifiante », qui l’a ensuite persuadée de démissionner de son emploi, elle a été détenue captive quatre jours et torturée par un groupe rebelle.
Son « travail » en Turquie se fondait sur une initiative du gouvernement consistant à « reloger les réfugiés loin des camps » dans des maisons turques, où ils recevaient un travail garanti et une chance pour une nouvelle vie.
Mais, a-t-elle déclaré, « environ un tiers de ceux qui ont reçu l’opportunité de vivre et de travailler dans les villes turques ont fini par fuir en Europe, leurrés par la promesse du mode de vie occidentale » – confirmant une fois de plus que les « réfugiés » ne fuient pas la persécution en envahissant l’Europe.
Le rapport de la travailleuse humanitaire fournit une preuve supplémentaire en mentionnant que « pas assez n’est fait pour aider – et contrôler – ceux employés dans le cadre du projet du gouvernement turc ».
Elle a déclaré que les demandeurs n’étaient pas évalués adéquatement, et qu’ils « vont faire n’importe quoi pour obtenir une meilleure vie – ils sont suffisamment perturbés pour causer des ravages où qu’ils aillent ».

« Ils quittent leur pays vers l’Occident – c’est notre faute pour leur avoir si bien vendu notre mode de vie. Les publicités pour Coca-Cola et les iPhones agissent comme une carotte. »

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