© Sputnik. Ilnar Salakhiev
De retour de vacances, Pascal Geneste, professeur d'histoire en langue bretonne, a appris que ses élèves avaient été interrogés par la gendarmerie locale sur le contenu de ses cours, plus particulièrement sur ce qu'il avait dit sur la Russie et Vladimir Poutine. Le professeur a lui aussi dû répondre aux questions du procureur.
La scène se passe en France, un pays qui, comme chacun sait, ne contrôle pas ses citoyens, comme certains s'y emploient ailleurs.
Il est d’autant plus étonnant d’apprendre que le 17 février dernier, six élèves du collège Sainte-Anne d'Auray, en Bretagne, ont été convoqués par la gendarmerie pour subir un interrogatoire sur les cours dispensés par leur professeur d’histoire.
Les enquêteurs voulaient savoir ce qu’avait déclaré l’enseignant "au sujet de la Russie et de Vladimir Poutine" durant les cours d’histoire dispensés en langue bretonne par ce dernier.(...)
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