Je pense qu’il est temps de remettre les pendules à l’heure. Je ne suis pas une ville, je ne l’ai d’ailleurs jamais été.
Au lieu de promouvoir la combativité ou la résistance, on tente de nous enrôler dans le pathos permanent.
Ainsi, on nous encourage à allumer des bougies, à faire des dessins dégoulinants de larmes, à se repentir de nos honteux sentiments d’amalgames tout en nous poussant à huer des « hooligans » car, bien évidemment, un homme blanc qui préfère crier plutôt que pleurer ne peut être qu’un raciste empli de haine.
Et puis, pour pimenter un peu notre vie, on nous invite quand même à manifester le temps d’une après-midi afin de jouer au patriote.
Alors, on nous autorise à arborer la banderole « Je suis Paris », « Je suis Bruxelles » ou, si l’on a envie d’exotisme et tenter d’être plus original que les copains, on peut aussi être « Je suis Tunis » ou plus récemment « Je suis Lahore »…
Au moins, les attentats nous permettent de voyager.
Je pense qu’il est temps de remettre les pendules à l’heure.
Je ne suis pas une ville, je ne l’ai d’ailleurs jamais été.
JE SUIS UNE GUERRE !
Et il serait temps d’y faire face correctement.
Quand je vois Federica Mogherini, chef de la diplomatie européenne, pleurnicher en pleine conférence de presse comme si elle était une adolescente malmenée par ses copines de classe, j’ai terriblement honte de me dire qu’elle me représente, et puis je me demande pourquoi elle n’a pas été virée dans la demi-heure qui a suivi afin de mettre à sa place quelqu’un qui aurait un caractère à la Margaret Thatcher.
À la différence de nous, les islamistes savent ce qu’ils veulent et ils l’obtiennent.
Ils protègent leur ambition politique en la déguisant par de la « tolérance religieuse » puis ligotent nos pieds et nos poings en nous menaçant de racisme.
Cependant, le racisme commence quand un immigré refuse de suivre les règles de son pays d’accueil et, à la place, demande à ce dernier de modifier ses lois afin de lui faciliter la vie.
Nous sommes la première génération qui n’a jamais eu à se battre pour sa liberté et cela se voit.
Nous n’avons aucune idée d’où vient notre liberté ni n’avons de reconnaissance pour ce qu’elle a coûté.
Tous les jours, nous voyons ce principe vital s’éroder au nom « d’accommodement raisonnable » afin d’obtenir cette chimère nommée « vivre ensemble ».
Mais au final, nous avons appris à nos dépens que plus un pays est riche en diversité, plus il devient pauvre en liberté.
La première étape dans tout conflit est de s’armer mentalement.
Nous commencerons à gagner cette guerre le jour où l’amour que l’on porte à nos enfants sera enfin supérieur à notre peur d’être traités de racistes, d’islamophobes, de fascistes ou que sais-je encore.
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