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jeudi 4 février 2016

Pour le maire de Bad Schlema, en Allemagne, les fautives, ce sont les petites filles de 10 ans

                                                    

Le 04/02/2016
 
Quand bien même leurs dirigeants décideraient de réduire l'invasion migratoire, cela ne changerait strictement rien au sort réservé aux peuples européens.
 
 La preuve : ils sont maintenant sommés de se plier aux comportements les plus abjects de certains étrangers.
La scène se passe à Bad Schlema, en Allemagne, petite bourgade de 5.500 habitants dans laquelle ont élu domicile 85 migrants.
 Lors d’une réunion municipale, un homme, grand-père, laisse éclater sa colère.
Sa petite-fille n’en peut plus : sur le chemin de l’école comme en cours d’éducation physique, elle se fait harceler par des enfants de demandeurs d’asile.
Et, à juste titre, il s’inquiète de ce qu’il adviendra, les beaux jours venus, quand les petites filles seront plus légèrement vêtues : « C’est facile, elles n’ont qu’à pas aller les provoquer dans ces endroits-là ! » lui rétorque le maire, tout de go.
« Dans notre propre pays ! On n’a plus le droit de se promener dans notre ville ! Les migrants arrivent et nous, on n’a plus le droit d’aller où on veut ! » : le public gronde mais le maire s’en fout, que des petites filles aillent à l’école la boule au ventre.
Après tout, « il n’est pas techniquement nécessaire de passer par là, elles n’ont qu’à prendre un autre chemin ».

 
Et puis, de quoi se plaignent-ils, ces empêcheurs de migrer en rond, « les Allemands aussi, harcèlent ! ».
 « Sauf qu’eux vont en prison, pas les migrants », lui fait remarquer le grand-père.
 Pour l’élu, c’en est trop : « Maintenant, si vous n’obéissez pas aux lois, je vais appeler la police et faire évacuer la salle. »
Voilà toute la considération que porte un élu envers ses administrés : les fautives, ce sont les petites filles de 10 ans.
Et surtout les honnêtes gens qu’il menace…
 
Alors, Angela Merkel a beau affirmer vouloir « réduire le flux de réfugiés » – tout en étant contre le fait d’y mettre une limite, un bel exemple d’information contradictoire destinée à noyer le poisson -, les Allemands, comme tous les autres peuples européens (à l’exception des pays de l’Est dirigés par des patriotes), sont sacrifiés par ceux-là mêmes en qui ils avaient placé leur confiance.
 Et ces « incidents » ne sont que des préludes.

 En effet, sous couvert de pallier une démographie européenne en berne – et largement découragée par nos politiques -, la division de la population des Nations unies a publié un rapport sur « les migrations de peuplement ».

Selon ses projections pour les cinquante prochaines années, elle préconise, pour l’Europe dans son ensemble, « deux fois le niveau d’immigration observé dans les années 1990 ».

 Par exemple, en tenant compte de sa taille et de son niveau de population, « l’Allemagne aurait besoin de 6.000 immigrants par million d’habitants par an ».
 480.000 migrants par an pour ce pays d’environ 80 millions d’habitants.
En dix ans, 4,8 millions d’immigrés auxquels il faudra ajouter les regroupements familiaux et les naissances.

Pour l’Italie et ses 60 millions d’habitants, l’ONU avance le chiffre de 6.500 migrants sur le même principe.

 Et pour la France ?
 Le démographe Le Bras, en juin 2015, dans son rapport pour le Parlement européen, annonce le chiffre « énorme » de 1,2 million par an.

 Au fait, le rapport de l’ONU date… de l’an 2000 !

Le Grand Remplacement, théorie du complot, vraiment ?

 Avec de telles directives, on se dit que les petites filles européennes n’ont pas fini de pleurer…

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