Le France serait menacée par un apartheid, mais aussi par l’islamophobie, le racisme, le libéralisme, etc.
Les mots sont jetés, comme des pierres, dans le but d’intimider ou de faire taire.
Mais ils sont creux, leur sens est détourné.
Ils ne peuvent décrire le réel.
Au contraire, ils obscurcissent les diagnostics.
Au bout du compte, le mensonge ressort de ces jeux de dupes.
Il est bien beau de vouloir parler vrai.
Le poids des réalités y oblige.
Mais alors, il faut employer les mots justes.
Le chef de l’Etat et son premier ministre n’en donnent pas l’exemple, quand le premier dit vouloir lutter contre l'islamophobie, qui n'est littéralement qu'une peur et non une haine et quand le second parle d'apartheid pour décrire le repliement des cités.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.