Le 24/01/2015
Le déferlement de « migrants » venus de Syrie ou d’Afrique est en train de passer d’une phase artisanale à une phase industrielle.
Le déferlement de « migrants » venus de Syrie ou d’Afrique est en train de passer d’une phase artisanale à une phase industrielle : après les embarcations de fortune venant généralement de Libye pour gagner l’Europe via Lampedusa, la Sicile ou Malte, voilà que les migrants arrivent par pleins bateaux par la mer Ionienne.
Ils payent aux passeurs entre 2.000 et 6.000 euros suivant la taille de la famille.
Il s’agit généralement de bateaux hors d’âge comme le Blue Sky M avec 747 migrants syriens et kurdes, ou l’Ezadeen avec 359 Syriens, bateaux prévus pour un voyage sans retour.
Plus grave encore, le ferry Norman Atlantic, allant de Patras à Ancône, victime d’un incendie dans le hangar à véhicules.
Plusieurs passagers clandestins étaient cachés dans des camions transportés par le ferry…
En 2014, 3.419 personnes ont officiellement péri en tentant de gagner l’Europe par la mer – en fait probablement beaucoup plus – et 160.000 personnes sont arrivées en Italie, du moins officiellement, dont plus de la moitié sont syriens ou érythréens.
Un ancien commissaire européen déclarait récemment au cours d’une conférence que 80 % des migrants arrivaient par voie de terre, notamment par la Grèce.
En 2014, l’Union européenne aurait accueilli 700.000 clandestins.
Il s’agit donc d’une véritable invasion qu’il faudrait tarir.
Ce n’est pas ce que l’on fait, il suffit de lire les articles parus à la suite de l’arrivée du Blue Sky M à Gallipoli, où l’on s’apitoyait sur l’inconfort à bord de ce bâtiment prévu pour le transport de bétail, en rendant pratiquement les Européens responsables.
L’agence européenne FRONTEX, chargée de la protection des frontières en Méditerranée, a vu sa mission de contrôle et de police détournée en mission de sauvetage, les navires italiens qui étaient affectés à l’opération Mare Nostrum se consacrant à la recherche et au sauvetage des naufragés volontaires, pour les conduire à bon port en Italie, d’où ils cherchent ensuite à gagner d’autres pays d’Europe.
Mare Nostrum a mobilisé 32 bâtiments, des avions et des hélicoptères.
Elle a été abandonnée car elle coûtait trop cher au contribuable italien et on l’accusait d’encourager l’immigration clandestine en diminuant les risques.
Aujourd’hui, l’opération Triton fait de même avec moins de moyens.
Plutôt que de patrouiller près des côtes européennes, il conviendrait de patrouiller le long des côtes de départ et d’y reconduire les migrants.
Les côtes de Libye, d’une partie de la Syrie, de la Turquie et du nord de Chypre ne sont plus contrôlées.
Dans le cas du Blue Sky M, on sait d’où sont partis les migrants : du port turc de Mersin.
D’où, semble-t-il, beaucoup de départs sont organisés : c’est donc en Turquie que devraient être reconduits les migrants dont le droit d’asile n’est pas reconnu.
En fait, rien de tel ne se fera, l’Union européenne n’a aucune politique commune d’immigration et chaque pays cherche à refiler le mistigri au voisin.
Dans nombre de pays, les populations excédées votent pour des partis dits xénophobes, demandant en fait le contrôle de l’immigration : c’est le cas des pays scandinaves, de l’Allemagne, de la France, du Royaume-Uni, des Pays-Bas…
Ils payent aux passeurs entre 2.000 et 6.000 euros suivant la taille de la famille.
Il s’agit généralement de bateaux hors d’âge comme le Blue Sky M avec 747 migrants syriens et kurdes, ou l’Ezadeen avec 359 Syriens, bateaux prévus pour un voyage sans retour.
Plus grave encore, le ferry Norman Atlantic, allant de Patras à Ancône, victime d’un incendie dans le hangar à véhicules.
Plusieurs passagers clandestins étaient cachés dans des camions transportés par le ferry…
En 2014, 3.419 personnes ont officiellement péri en tentant de gagner l’Europe par la mer – en fait probablement beaucoup plus – et 160.000 personnes sont arrivées en Italie, du moins officiellement, dont plus de la moitié sont syriens ou érythréens.
Un ancien commissaire européen déclarait récemment au cours d’une conférence que 80 % des migrants arrivaient par voie de terre, notamment par la Grèce.
En 2014, l’Union européenne aurait accueilli 700.000 clandestins.
Il s’agit donc d’une véritable invasion qu’il faudrait tarir.
Ce n’est pas ce que l’on fait, il suffit de lire les articles parus à la suite de l’arrivée du Blue Sky M à Gallipoli, où l’on s’apitoyait sur l’inconfort à bord de ce bâtiment prévu pour le transport de bétail, en rendant pratiquement les Européens responsables.
L’agence européenne FRONTEX, chargée de la protection des frontières en Méditerranée, a vu sa mission de contrôle et de police détournée en mission de sauvetage, les navires italiens qui étaient affectés à l’opération Mare Nostrum se consacrant à la recherche et au sauvetage des naufragés volontaires, pour les conduire à bon port en Italie, d’où ils cherchent ensuite à gagner d’autres pays d’Europe.
Mare Nostrum a mobilisé 32 bâtiments, des avions et des hélicoptères.
Elle a été abandonnée car elle coûtait trop cher au contribuable italien et on l’accusait d’encourager l’immigration clandestine en diminuant les risques.
Aujourd’hui, l’opération Triton fait de même avec moins de moyens.
Plutôt que de patrouiller près des côtes européennes, il conviendrait de patrouiller le long des côtes de départ et d’y reconduire les migrants.
Les côtes de Libye, d’une partie de la Syrie, de la Turquie et du nord de Chypre ne sont plus contrôlées.
Dans le cas du Blue Sky M, on sait d’où sont partis les migrants : du port turc de Mersin.
D’où, semble-t-il, beaucoup de départs sont organisés : c’est donc en Turquie que devraient être reconduits les migrants dont le droit d’asile n’est pas reconnu.
En fait, rien de tel ne se fera, l’Union européenne n’a aucune politique commune d’immigration et chaque pays cherche à refiler le mistigri au voisin.
Dans nombre de pays, les populations excédées votent pour des partis dits xénophobes, demandant en fait le contrôle de l’immigration : c’est le cas des pays scandinaves, de l’Allemagne, de la France, du Royaume-Uni, des Pays-Bas…
Nos fonctionnaires découvrent le monde, cela en est touchant de candeur.
RépondreSupprimerDe toute façon il est trop tard.
Il n'est jamais trop tard. Je milite depuis longtemps pour un service Européen de l'immigration !
RépondreSupprimerLes visas doivent être supprimés ! Les gardes côtes doivent intervenir pour faire la police !
Rigueur et fermeté !