Jeudi 14 Août 2014 à 08:55 (mis à jour le 14/08/2014 à 08:58)
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Michel Sapin reconnait "de mauvais chiffres". Photo © AFP
Perte de vitesse. Coup dur pour la France : les chiffres publiés ce jeudi par l’INSEE ne sont pas bons. La France a connu un deuxième trimestre de stagnation économique au printemps, avec une croissance nulle du PIB, comme au premier trimestre.
Croissance zéro
Voilà des chiffres qui ne vont sûrement pas faire plaisir à Michel Sapin.
L’INSEE, dans ses chiffres publiés ce jeudi, annonce que la France a connu la croissance zéro pour le deuxième trimestre consécutif.
Cela s’explique notamment par le recul de l’investissement des entreprises et le déficit du commerce extérieur.
Les valeurs qui augmentent
Les chiffres de l’INSEE indiquent cependant deux hausses : la consommation des ménages et la dépense publique (+0,5% chacun).
Le ministre de l’Economie Michel Sapin, dans une tribune publiée dans le journal Le Monde, avoue la «panne» de la croissance en France et évoque une réponse européenne, plus précisément une «adaptation des règles budgétaires» de la Banque Centrale Européenne (BCE).
Michel Sapin estime également que a France atteindra 0,5% de croissance et non 1%, comme l’avait fixé le gouvernement.
Voilà des chiffres qui ne vont sûrement pas faire plaisir à Michel Sapin.
L’INSEE, dans ses chiffres publiés ce jeudi, annonce que la France a connu la croissance zéro pour le deuxième trimestre consécutif.
Cela s’explique notamment par le recul de l’investissement des entreprises et le déficit du commerce extérieur.
Les valeurs qui augmentent
Les chiffres de l’INSEE indiquent cependant deux hausses : la consommation des ménages et la dépense publique (+0,5% chacun).
Le ministre de l’Economie Michel Sapin, dans une tribune publiée dans le journal Le Monde, avoue la «panne» de la croissance en France et évoque une réponse européenne, plus précisément une «adaptation des règles budgétaires» de la Banque Centrale Européenne (BCE).
Michel Sapin estime également que a France atteindra 0,5% de croissance et non 1%, comme l’avait fixé le gouvernement.
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