Dans cette affaire, la FIFA donne d'elle une image pitoyable.
Le crâne d’œuf suisse allemand est parfois bien cavalier !
Diantre, le fieffé Sepp a en effet déblatéré de bien sombres minutes lors de son procès d’intention à la Radio Télé Suisse.
Comme si le vieux grigou prenait l’envie soudaine de miner le terrain à son possible successeur, Platini.
Répondant à un journaliste assez direct, l’homme ne l’a pas joué langue de bois, préférant néanmoins le coup franc brossé de l’extérieur à la frappe de mule en pleine lucarne.
Au coup de sifflet final, le résultat est le même.
Si on lit entre les lignes, on a compris que la FIFA a fait une bourde, une très grosse bourde, en sacrifiant sa compétition mythique à d’inavouables passions.
La coupe du monde au Qatar, ce gigantesque poisson d’avril prévu pour 2022 ?
« Une erreur » selon le président de la FIFA, qui précise que « Le rapport technique du Qatar indiquait bien qu’il faisait trop chaud en été, mais le comité exécutif (de la FIFA) avec une majorité assez large a quand même décidé : on va jouer au Qatar ».
Une « erreur », c’est l’incroyable aveu, jamais entendu dans l’histoire d’un président de la plus puissante organisation sportive du monde.
Même pour la coupe du monde organisée en Argentine en 1978, en pleine dictature militaire, on n’avait à ce point déconsidéré l’organisateur.
Les accusations de corruption ?
« Je ne dirai jamais qu’ils [les Qataris] ont acheté le Mondial. C’était la volonté politique, aussi bien en France, qu’en Allemagne. Nous ne pouvons pas intervenir dans les choix politiques. De grandes entreprises françaises et allemandes interviennent au Qatar, vous savez… ».
Roublard, Sepp Blatter en rajouta alors en évoquant le fameux dîner qui avait réuni l’Emir du Qatar, Platini…et le président Sarkozy.
Tout le monde aura compris que le critère « sportif », incontestable pour le Brésil en 2014, était le dernier souci des décisionnaires à ce moment-là. Platini (secondé par l’inénarrable Zizou) avait pourtant soutenu cet absurde projet de faire disputer une coupe du monde dans un endroit désertique où le ballon rond était une culture aussi ancrée que le hockey sur glace en Amazonie !
Dans cette affaire, la FIFA donne d’elle une image pitoyable.
Ah ça, elle peut nous pomper l’air avec sa propagande antiraciste qu’elle nous fait ingurgiter de force avant chaque match.
Elle a le mot « respect » qui dégouline de ses bouches d’égout, qui se colle au bas des tribunes ou sur le maillot des arbitres.
Cerise sur le rösti, l’aveu hallucinant de Blatter arrive peu après l’ignoble déclaration de Platini qui, parlant des émeutes sociales au Brésil, a déclaré « s’ils peuvent attendre un mois avant de faire des éclats un peu sociaux, ben, ça serait bien ! (…) Il faut (…) dire au Brésil : faites un effort pendant un mois, calmez-vous ! ».
Irréel mais vrai.
Si la coupe s’était jouée en Corée du Nord, il aurait demandé aux prisonniers des camps de ne pas trop gémir entre deux séances de torture.
Diantre, le fieffé Sepp a en effet déblatéré de bien sombres minutes lors de son procès d’intention à la Radio Télé Suisse.
Comme si le vieux grigou prenait l’envie soudaine de miner le terrain à son possible successeur, Platini.
Répondant à un journaliste assez direct, l’homme ne l’a pas joué langue de bois, préférant néanmoins le coup franc brossé de l’extérieur à la frappe de mule en pleine lucarne.
Au coup de sifflet final, le résultat est le même.
Si on lit entre les lignes, on a compris que la FIFA a fait une bourde, une très grosse bourde, en sacrifiant sa compétition mythique à d’inavouables passions.
La coupe du monde au Qatar, ce gigantesque poisson d’avril prévu pour 2022 ?
« Une erreur » selon le président de la FIFA, qui précise que « Le rapport technique du Qatar indiquait bien qu’il faisait trop chaud en été, mais le comité exécutif (de la FIFA) avec une majorité assez large a quand même décidé : on va jouer au Qatar ».
Une « erreur », c’est l’incroyable aveu, jamais entendu dans l’histoire d’un président de la plus puissante organisation sportive du monde.
Même pour la coupe du monde organisée en Argentine en 1978, en pleine dictature militaire, on n’avait à ce point déconsidéré l’organisateur.
Les accusations de corruption ?
« Je ne dirai jamais qu’ils [les Qataris] ont acheté le Mondial. C’était la volonté politique, aussi bien en France, qu’en Allemagne. Nous ne pouvons pas intervenir dans les choix politiques. De grandes entreprises françaises et allemandes interviennent au Qatar, vous savez… ».
Roublard, Sepp Blatter en rajouta alors en évoquant le fameux dîner qui avait réuni l’Emir du Qatar, Platini…et le président Sarkozy.
Tout le monde aura compris que le critère « sportif », incontestable pour le Brésil en 2014, était le dernier souci des décisionnaires à ce moment-là. Platini (secondé par l’inénarrable Zizou) avait pourtant soutenu cet absurde projet de faire disputer une coupe du monde dans un endroit désertique où le ballon rond était une culture aussi ancrée que le hockey sur glace en Amazonie !
Dans cette affaire, la FIFA donne d’elle une image pitoyable.
Ah ça, elle peut nous pomper l’air avec sa propagande antiraciste qu’elle nous fait ingurgiter de force avant chaque match.
Elle a le mot « respect » qui dégouline de ses bouches d’égout, qui se colle au bas des tribunes ou sur le maillot des arbitres.
Cerise sur le rösti, l’aveu hallucinant de Blatter arrive peu après l’ignoble déclaration de Platini qui, parlant des émeutes sociales au Brésil, a déclaré « s’ils peuvent attendre un mois avant de faire des éclats un peu sociaux, ben, ça serait bien ! (…) Il faut (…) dire au Brésil : faites un effort pendant un mois, calmez-vous ! ».
Irréel mais vrai.
Si la coupe s’était jouée en Corée du Nord, il aurait demandé aux prisonniers des camps de ne pas trop gémir entre deux séances de torture.
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