Il faut se débarrasser des lunettes à verres colorés en vert, du masque idéologique et surtout de ce fichu principe de précaution.
Le gaz de schiste refait surface, si l’on peut dire.
La Commission européenne vient d’adopter une recommandation qui laisse la voie libre à l’exploitation du gaz de schiste en Europe, « à condition de respecter des “principes communs, notamment sanitaires et environnementaux” ».
Lundi 10 février, Laurent Fabius dit « oui, trois fois oui », à la recherche sur de nouvelles méthodes d’extraction de ce gaz naturel.
Une position proche de celle de Montebourg et qui rappelle la proposition déjà faite par Louis Gallois dans son rapport de novembre 2012, suggestion balayée alors par François Hollande d’une main solidement maintenue par Batho, Duflot and Co.
Les Verts seraient-ils assiégés dans leur château-fort écologique par des pragmatiques reconnaissant enfin tout le bénéfice que la France pourrait tirer d’une manne inutilisée, dormant dans son sous-sol ?
Trésor qui pourrait notablement diminuer notre facture énergétique et du même coup le déficit commercial de la France qu’elle aggrave de 80 % !
Le Président déjà au fond du trou ne risquerait plus rien à creuser cette opportunité et redonner de l’énergie aux entreprises prêtes à la recherche et l’innovation dans ce domaine.
Avec de nouveaux emplois à la clef !
Ce serait aussi une bonne occasion de mettre en balance les convictions de ses ministres écolos et leur attachement à leur maroquin.
Et si le fléau penchait par trop, de reprendre le balai pour les renvoyer à leurs activités civiles et associatives, s’ils n’avaient encore le courage et l’honnêteté intellectuelle de le décider eux-mêmes !
Les gaz de schiste ne sentent encore mauvais en Europe que dans deux pays, la Bulgarie et la France, avec quelques provinces ou régions d’États fédéraux qui rechignent.
La Grande Bretagne – encore européenne ? – en a confié l’exploitation à Total qui va se faire les dents de trépan chez notre voisin.
Et pourquoi ne pas réexporter ce gaz rare chez nous ?
Oui, il faut se débarrasser des lunettes à verres colorés en vert, du masque idéologique et surtout de ce fichu principe de précaution, alibi commode à l’immobilité et agent pathogène de la fièvre frileuse affectant la société !
La Commission européenne vient d’adopter une recommandation qui laisse la voie libre à l’exploitation du gaz de schiste en Europe, « à condition de respecter des “principes communs, notamment sanitaires et environnementaux” ».
Lundi 10 février, Laurent Fabius dit « oui, trois fois oui », à la recherche sur de nouvelles méthodes d’extraction de ce gaz naturel.
Une position proche de celle de Montebourg et qui rappelle la proposition déjà faite par Louis Gallois dans son rapport de novembre 2012, suggestion balayée alors par François Hollande d’une main solidement maintenue par Batho, Duflot and Co.
Les Verts seraient-ils assiégés dans leur château-fort écologique par des pragmatiques reconnaissant enfin tout le bénéfice que la France pourrait tirer d’une manne inutilisée, dormant dans son sous-sol ?
Trésor qui pourrait notablement diminuer notre facture énergétique et du même coup le déficit commercial de la France qu’elle aggrave de 80 % !
Le Président déjà au fond du trou ne risquerait plus rien à creuser cette opportunité et redonner de l’énergie aux entreprises prêtes à la recherche et l’innovation dans ce domaine.
Avec de nouveaux emplois à la clef !
Ce serait aussi une bonne occasion de mettre en balance les convictions de ses ministres écolos et leur attachement à leur maroquin.
Et si le fléau penchait par trop, de reprendre le balai pour les renvoyer à leurs activités civiles et associatives, s’ils n’avaient encore le courage et l’honnêteté intellectuelle de le décider eux-mêmes !
Les gaz de schiste ne sentent encore mauvais en Europe que dans deux pays, la Bulgarie et la France, avec quelques provinces ou régions d’États fédéraux qui rechignent.
La Grande Bretagne – encore européenne ? – en a confié l’exploitation à Total qui va se faire les dents de trépan chez notre voisin.
Et pourquoi ne pas réexporter ce gaz rare chez nous ?
Oui, il faut se débarrasser des lunettes à verres colorés en vert, du masque idéologique et surtout de ce fichu principe de précaution, alibi commode à l’immobilité et agent pathogène de la fièvre frileuse affectant la société !
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