Publié le 28-02-2014 à 07h53Mis à jour à 10h41
En moins de 2 ans, ils sont déjà près de 100 conseillers à avoir fait leurs valises. Mais certains ministères sont plus touchés que d'autres. Tour d'horizon.
C’est un véritable exode !
En s’appuyant sur la base de données du site Acteurs publics, Challenges a constaté qu'en moins de deux ans, près d’une centaine de conseillers ont quitté leur ministre.
Une petite minorité des transfuges ont rejoint d’autres cabinets au sein du gouvernement.
Mais la plupart ont fait leur valise, essentiellement pour rejoindre l’administration, certains pour aller dans le privé.
Un turn-over bien plus précoce que sous Nicolas Sarkozy.
Les raisons sont multiples: dysfonctionnements récurrents à Matignon et dans certains cabinets ministériels, volonté des politiques de placer leurs hommes à des postes sensibles de l’administration, impatience des hauts fonctionnaires de gauche qui veulent des promotions éclairs après dix ans de nominations tenues par la droite...
"Le premier intérêt d’aller en cabinet c’est de donner un coup d’accélérateur à sa carrière, décrypte un haut-fonctionnaire.
Mais d’habitude, les conseillers partaient plutôt après deux ou trois ans.
Cela fait un peu tousser que certains soient récompensés au bout d’à peine un an".
D’après le palmarès établi par Challenges, c’est Matignon qui tient le haut du panier avec neuf départs juste devant les cabinets de Marisol Touraine à la santé et Pierre Moscovici à Bercy.
source
En s’appuyant sur la base de données du site Acteurs publics, Challenges a constaté qu'en moins de deux ans, près d’une centaine de conseillers ont quitté leur ministre.
Une petite minorité des transfuges ont rejoint d’autres cabinets au sein du gouvernement.
Mais la plupart ont fait leur valise, essentiellement pour rejoindre l’administration, certains pour aller dans le privé.
Un turn-over bien plus précoce que sous Nicolas Sarkozy.
Les raisons sont multiples: dysfonctionnements récurrents à Matignon et dans certains cabinets ministériels, volonté des politiques de placer leurs hommes à des postes sensibles de l’administration, impatience des hauts fonctionnaires de gauche qui veulent des promotions éclairs après dix ans de nominations tenues par la droite...
"Le premier intérêt d’aller en cabinet c’est de donner un coup d’accélérateur à sa carrière, décrypte un haut-fonctionnaire.
Mais d’habitude, les conseillers partaient plutôt après deux ou trois ans.
Cela fait un peu tousser que certains soient récompensés au bout d’à peine un an".
D’après le palmarès établi par Challenges, c’est Matignon qui tient le haut du panier avec neuf départs juste devant les cabinets de Marisol Touraine à la santé et Pierre Moscovici à Bercy.
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Scandaleux! Dire qu'ils dirigent la France! La laisse sombrer avec indifférence avec une incroyable idéologie des années 80 mais surtout ce qui compte en 1er : leur carrière, c'est elle qui prime avant tout! De la France et des Français, ils en ont rien à faire!
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