Publié le 5 février 2014
C'est nouveau, ça vient de sortir
"La question est une vraie patate chaude pour Jean-Marc Ayrault" affirme l'un des conseillers du Premier ministre.
En effet, alors qu'il vient de lancer le chantier de la fiscalité des ménages, deux députés socialistes ont rendu un rapport sur la question de la déductibilité de l'impôt sur le revenu dont bénéficie une partie de la CSG.
Christian Eckert, le rapporteur général du budget et Dominique Lefebvre, le coprésident du groupe de travail sur la fiscalité des ménages, ont donc lancé cette piste.
Selon eux, il faudrait rendre non déductible de l'impôt sur le revenu (IR) la partie qui l'est, c'est à dire 5,1 % sur les 7,5 % de CSG sur les revenus d'activités.
Une mesure qui, si elle était prise, rapporterait 9 à 10 milliards à l'État.
Les classes moyennes et supérieures seraient touchées de plein fouet.
Pierre Moscovici a indiqué dimanche sur RTL que "rien n'est décidé".
L'exécutif souhaite réduire "les effets de seuil" afin que les travailleurs les plus modestes ne basculent pas dans l'impôt.
Cette piste a provoqué l'ire de Jean-François Copé.
"La nouvelle folie, c'est de dire aux Français vous allez payer la CSG et maintenant on va vous faire payer de l'impôt sur le revenu sur la CSG" a critiqué le président de l'UMP mardi soir sur Public Sénat. "
C'est un nouveau hold-up sur le pouvoir d'achat des Français.
L'intention de M. Eckert de vouloir fiscaliser la CSG donnera lieu de la part de l'UMP à une dénonciation massive. (...)
Des millions de Français se trouvent, du fait des hausses massives d'impôt, dans des situations véritables de précarité" a dénoncé Jean-François Copé.
De son côté, Christian Eckert maintient qu'en la matière, il y a "une injustice à corriger" dans le fait que la CSG puisse actuellement être en partie déduite de l'impôt sur le revenu.
En effet, alors qu'il vient de lancer le chantier de la fiscalité des ménages, deux députés socialistes ont rendu un rapport sur la question de la déductibilité de l'impôt sur le revenu dont bénéficie une partie de la CSG.
Christian Eckert, le rapporteur général du budget et Dominique Lefebvre, le coprésident du groupe de travail sur la fiscalité des ménages, ont donc lancé cette piste.
Selon eux, il faudrait rendre non déductible de l'impôt sur le revenu (IR) la partie qui l'est, c'est à dire 5,1 % sur les 7,5 % de CSG sur les revenus d'activités.
Une mesure qui, si elle était prise, rapporterait 9 à 10 milliards à l'État.
Les classes moyennes et supérieures seraient touchées de plein fouet.
Pierre Moscovici a indiqué dimanche sur RTL que "rien n'est décidé".
L'exécutif souhaite réduire "les effets de seuil" afin que les travailleurs les plus modestes ne basculent pas dans l'impôt.
Cette piste a provoqué l'ire de Jean-François Copé.
"La nouvelle folie, c'est de dire aux Français vous allez payer la CSG et maintenant on va vous faire payer de l'impôt sur le revenu sur la CSG" a critiqué le président de l'UMP mardi soir sur Public Sénat. "
C'est un nouveau hold-up sur le pouvoir d'achat des Français.
L'intention de M. Eckert de vouloir fiscaliser la CSG donnera lieu de la part de l'UMP à une dénonciation massive. (...)
Des millions de Français se trouvent, du fait des hausses massives d'impôt, dans des situations véritables de précarité" a dénoncé Jean-François Copé.
De son côté, Christian Eckert maintient qu'en la matière, il y a "une injustice à corriger" dans le fait que la CSG puisse actuellement être en partie déduite de l'impôt sur le revenu.
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