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vendredi 17 janvier 2014

Petit message à Valérie Trierweiler, première cocue de France.

Ecrit le 16 jan 2014 à 12:09 par Eudes Turanel dans Poing de vue

ValerieTrierweiler

Ah, Valérie, toi qui incarnes cette bien-pensance en tailleur dont le prix tient en quatre-cinq chiffres, toi qui es toujours prête à défendre les pauvres opprimés du lobby LGBT et à ne pas t’attarder sur le sort des chrétiens d’Orient, qui l’ont bien mérité.

Toi, Valérie, qui as été témoin d’un « mariage pour tous » et qui refuses le mariage traditionnel car, justement, cela renvoie à cet engagement de vie réactionnaire et pétainiste que tu abhorres.
 Toi qui côtoies ces grandes cautions morales que sont Pierre Bergé, BHL, Audrey Pulvar et Laurence Ferrari pour dénoncer cette France pourrie, traditionnelle et réactionnaire qui ose défiler dans les rues de Paris revêtue de chemises brunes avec des poussettes arborant des svastikas (au moins).

Voilà, Valérie, tu comprendras que je ne te porte absolument pas dans mon cœur car tu représentes toute cette arrogance de la bobocratie argentée, nouvelle caste prétendument éclairée mais adoratrice du culte hédoniste dont je rejette le diktat.


Oui mais voilà, je ne peux me dérober à mon devoir de charité chrétienne.
 Valérie, je peux comprendre ta colère et ta tristesse d’avoir été ainsi trahie.
Et oui, toi pour qui la fidélité conjugale n’était sans doute que l’un des derniers feux ringards et réactionnaires de cette France moisie catholique, tu fais l’apprentissage douloureux de l’infidélité.
Sans conteste, c’est très difficile pour toi, d’autant plus que celle qui a pris ton homme dans ses rets vient de ton propre camp ; le camp du spectacle, du cinéma de gauche (pléonasme), de ce cinéma français qui n’est produit et réalisé que pour ta caste !
Alors Valérie, pardonne-moi si je n’arrive pas à compatir à ta douleur mais je peux comprendre ta colère.
Aller, sers-toi un verre de vin pour oublier la mijaurée qui t’a enlevé l’homme auquel tu étais attachée (je n’ose pas dire celui que tu as pu aimer), car le vin, lui, ne sait trahir !

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